Bonjour à tous,
Ce matin le titre de mon article est un peu spécial. Je ne vais pas vous parler de ma relation avec des disparus cependant. Je n’en ai pas. J’ai beau être médium, ce n’est pas ce type d’esprit que je vois. Ils ne viennent pas vers moi.
Je voudrais plutôt parler de ces fantômes que l’on se crée nous-mêmes et qui, par la force de notre capacité de création, deviennent des entités à part entières. Ce sont les fameuses larves. Elles nous créent l’illusion que les choses vont de mal en pis, elles nous maintiennent dans la peur et parfois la violence inétrieure. Les larves sont des calamités. Mais ce sont aussi les fantômes de nos fantômes.
C’est parce que parfois nous restons sur des peurs ou des sentiments négatifs, abandonnant tout espoir ainsi, que nous créons ces larves. Elles naissent de notre négativité et se nourrissent en nous encourageant à nous enfoncer davantage dans notre propre obscurité. Autrement dit elles craignent la Lumière !
C’est de cette manière d’ailleurs qu’on peut les vaincre. Il faut les faire transmuter au travers notre propre Lumière. Nous pouvons tous y parvenir. De la même manière que nous pouvons créer ces larves, nous pouvons les détruire.
Je suis capable de me faire beaucoup de soucis moi aussi. Je suis de nature anxieuse et hier j’ai eu l’occasion de mieux comprendre pourquoi. Sur le coup cela ne m’a pas été agréable mais le travail que j’ai fait avec mes guides et l’aide appréciée d’une certaine personne m’a été utile.
Je ne nourris pas de larve actuellement. Pour deux raisons, je n’évoquerai que la seconde : je suis très bien entourée.
Toutefois, mes guides m’encouragent vivement à ne craindre aucun fantôme. A accepter les choses comme elles viennent, quelles qu’elles puissent être. On apprend de tout. Il n’est pas nécessaire que ce soit dans la douleur. Il existe des » refuges » pour chacun de nous. Je développerai ce point ultérieurement. Quand j’aurai accédé au mien qui se trouve bien évidemment dans mon coeur. Ils ne se trouvent jamais à l’extérieur.
Bonne journée à tous 
