Bonjour à tous,
A un moment donné, je m’étais intéressée à la cookingcraft.
» Tu t’es plutôt intéressée aux recettes », me rappelle Samuel. » Tu es gourmande Sylvie et boulimique. Tu ne te fais pas vomir, mais tu manges parfois pour te remplir l’estomac. Tu es surprise que je te dise cela, pour toi la boulimie est une maladie.
Tu n’es pas obsédée par ton poids et tu apprécies assez ton image pour ne pas faire une fixation dessus. Cela indique une certaine confiance en toi. Mais tu ne sais pas gérer tes émotions. Tu ne manges pas compulsivement, la nourriture n’est pas un refuge pour toi.
Mais de temps en temps, il t’arrive de voir la nourriture comme un palliatif affectif. Notamment qund tu es frustrée.
Parce quand tu es contrariée c’est l’inverse, tu ne veux plus manger. Même si tu sens la faim.
Tu sais, en réalité, ce double comportement est répandu. Pas seulement chez les femmes d’ailleurs, toutes les personnes qui mangent par ennui et par gourmandise pure le font pour combler quelque chose sur le plan affectif. Dans ton cas, c’est un manque d’assurance que tu cherches à combler.
Tu n’as pas encore la certitude absolue, la foi, que ton chemin est le bon. Parce que tu vois des zones d’ombre devant toi là où pourtant il n’y a que de la Lumière. Note toutefois, que ce besoin de remplissage tend à s’atténuer sérieusement.
Tandis que tu restes facile à contrariée. »
Tu exagères ! Mdr !
» Non je n’exagère pas, tu l’es de moins en moins mais tu restes susceptible et cela en raison du fait que tu resteras toute ta vie hypersensible. Mais c’est une bonne chose que tu aies décidée de l’accepter, c’est un trait de ta personnalité.
C’est pour cette raison en tout cas, du fait de ce manque d’assurance à combler, que tu t’es prise de passion pour les livres de cuisine alors que tu ne cuisines que peu et ce même quand tu vivais chez toi. Tu faisais souvent les mêmes plats, ceux que tu aimes. Quand tu ne dînais pas d’un paquet de chips. »
Lol !
» Tu feuilletais des livres de cuisine comme d’autres avalent des gâteaux plein de crème. Ta boulimie n’a jamais été énorme, tu ne te jettes pas sur la nourriture. Mais tu sais bien qu’il t’ait arrivé de manger sans faim et surtout parce que tu sentais que ça te ferait du bien. »
C’est vrai…
» Alors Sylvie, comment as-tu fait pour ne pas remplacer une béquille par une autre puisque ton envie de nourriture redevient un simple plaisir ? Car tu as toujours aimé manger. »
Oui c’est vrai lol ! C’est bon la nourriture faut dire, je ne comprends pas qu’on passe sa vie à se priver pour entrer dans une taille qui n’est pas la nôtre. Mais pour répondre, je sais que mon chemin est le bon. Même si je reconnais que ce n’est pas encore une certitude parfaite lol.
» Oui, tu sais, voilà comment tu t’y es prise. Tu as gagné en confiance. C’est bien.
Maintenant, il te reste à accepter l’idée que ce n’est pas parce que tu es affectéee par quelque chose ou quelqu’un que tu dois ignorer ton propre bien-être. Cela est le signe que tu restes trop sur des choses qui pourraient glisser sur toi si tu le voulais. Tu sais ce que tu vaux. Souviens-t’en toujours. »
Merci Samuel.
» Si tu veux me remercier, prends acte. »
Lol ! Ok.
Bonne journée à tous
Miss X
20 novembre, 2014 à 16:02
Salut,
j’ai ris , vos commentaires.. xD
vieil article , je déterre je sais..;)
bisou
crystallia
22 février, 2010 à 11:36
Mais ! Mdr !
Bise Jasmintea
jasmintea
22 février, 2010 à 9:07
Coucou!
Ce texte là tu l’as pas appelé « miam, miam », après vroum vroum lol
biz