De l’autre côté du pont se trouve celui qui m’obsède. Tous les matins je l’observe, bien à l’abri derrière ma fenêtre, J’esquisse à peine mes rideaux, je ne voudrais pas qu’il sache, Qu’il devine mes fantasmes quand je le vois avancer vers sa voiture, Insignifiante petite voiture qui l’emmène loin de moi… Où te conduit-elle les soirs où tu …
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