Je me souviens de ce soir où tu m’as vue nue pour la première fois.
Je me souviens de tes yeux, de ton désir,
Je sens encore tes caresses, notre extase,
Je redécouvrai l’Amour.
Pourtant,
Je me souviens de ce matin où je suis rentrée chez moi.
Je me souviens de cette frayeur, cette solitude,
J’entends encore le vide, le silence,
Je réalisai.
Nous ne souhaitions pas nous engager,
Ce ne devait être qu’une nuit.
Heureusement tu m’as rappelée,
Mais sache que de toutes façons je l’aurais fait.
Je me souviens de la dernière fois que tu m’as vue nue.
Je me souviens de cette matinée tendre et coquine,
De ce café devenu tiède et de la pluie au-dehors.
Il pouvait bien pleuvoir, le café aurait pu être froid.
Je sais surtout que tu es là.
Fleur
27 avril, 2015 à 11:04
Oh ! je l’aime beaucoup celui-ci !
très beau texte Sylvie, Merci !
tous tes poèmes sont magnifiques, mais celui-ci parle du « quotidien » et j’adore !
Je t’embrasse !
crystallia
12 mai, 2010 à 17:40
Lol !
Bise à toi
qualine
12 mai, 2010 à 13:47
quel romantisme !!!!!!!!!!!
c’est simple mais ça parle tellement au coeur !
merci !
ça fait u bien !
lol
bisous mon ange