Dans le silence et dans le calme je me suis éloignée,
Je souhaitais me couper du monde, me retrouver,
Pourtant ce vide que je souhaitais fuir, se trouvait ici,
Parmi tous ceux que je connais.
Un jour je tends la main, je sens mon bras disparaître,
Le lendemain me pousse des ailes, et l’Amour me transporte comme si de rien n’était,
Je ne sais finalement jamais, je prends, je laisse,
Le plus souvent j’accepte cependant,
Il arrive que je gonfle volontairement ce qui me contrarie,
De manière à pouvoir m’énerver, me défouler, me soulager,
Quand je ne sais plus ce qui me gêne, que je ne comprends pas tout ce qui passe,
Tout ce qui me blesse ou même m’exalte.
Quand la violence en moi se fait, je sens ma bonté qui s’élève et la fait taire,
Je ne sais plus trop où j’en suis, qui je suis,
Alors même que quand je plonge mon regard dans le miroir,
C’est moi que je vois et j’en suis fière.
crystallia
28 février, 2018 à 3:06
Amandine
27 février, 2018 à 20:43
Ce poème m’est apparu en premier page tout seul au hasard ..
Si j’avais pris la plume ce soir c’est ce que j’aurai pu ecire ou du moins ça aurait ressemblé à ça .. Tres sincère merci bonne soirée
crystallia
5 novembre, 2010 à 23:04
Merci à toi.
Bise
Mirage
5 novembre, 2010 à 19:42
Bonne fête Sylvie !
Gros bisous
crystallia
5 novembre, 2010 à 14:18
Bise
galine4
5 novembre, 2010 à 13:41
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