Les larmes coulent sur mon coeur à mesure que mes mots se perdent,
Mon reflet dans le miroir devient flou, petit, lointain,
Je n’entends plus que ma douleur,
Mais dans un ultime sursaut de ces forces que je croyais évanouies,
Je m’ouvre à nouveau et je crie,
Je crie qui je suis, je cris à la vie,
J’enfonce les portes invisibles et tel l’oiseau qui dormait sous la cendre,
Je renais.