« Quand la beauté de l’Etre apparaît, souffle la fraîcheur du soir qui s’éloigne tandis que sur l’humain se fait sentir la chaleur du matin. Le ciel couleur de feu laisse filer les nuages qui n’ont plus ni raison d’être ni consistance, tout s’éclaire, pourtant tout reste à deviner. L’aube naissante, timide encore, aveugle l’enfant qui s’éveille, le protège aussi, encore incapable …
Nos échanges