Et au pied de la source tarie je regarde passer les baleines,
Au loin s’envolent des oiseaux gris tandis que les souvenirs demeurent.
Au pied de la source asséchée je me rappelle les jours bleus, les jours gais,
Je revois également les jours sans couleur, les jours tristes.
Je souris et me retourne, devant moi une autre source, large, belle, profonde,
J’admire le soleil qui se reflète dessus et je regarde danser les cygnes avec grâce, avec légèreté.
Yahadefendirive
26 septembre, 2012 à 12:49
shaka
26 septembre, 2012 à 1:17
en fait je parlais surtout de la tienne, mais bon. Pour moi…je sais même pas…probablement.
–>
crystallia
26 septembre, 2012 à 0:39
Salut,
Merci pour vos messages.
Shaka, à toi de voir.
Bise
isabelle
25 septembre, 2012 à 21:47
Coucou Sylvie
Très beau poème, qui te ressemble, tout comme la photo;)
bises
Camille
25 septembre, 2012 à 18:37
Coucou Sylvie,
J’absorbe ton poème comme une éponge…. ou plutôt comme une baleine goberai un banc entier de poissons….
Très joli.
Merci
shaka
25 septembre, 2012 à 18:32
salut sylvie,
elle se suffit à elle même cette deuxième source ou y’a quelque chose dedans ?
Le Pèlerin
25 septembre, 2012 à 17:13
Salut : )
C’est vraiment très beau Sylvie. : )