Je pose la plante de mes pieds nus sur le sol humide et ose relever la tête,
Plonger mes yeux dans l’espace, dans le vide.
Le ciel cotonneux devient plus doux, plus gai, à mesure que j’avance,
Cri, dans mon cœur qui se serre, mes peurs se déchaînent un instant,
Ma faim est grande et les domine, toutes.
Je souris, ôte mon manteau, je suis nue, marchant sur une terre inconnue,
Elles le sont toutes,
Mes ailes me portent, le ciel est vert,
Je vois, me vois, je ne crains plus le froid,
Juste la morsure du vent.
Jusqu’à quand ?
crystallia
29 janvier, 2013 à 3:33
Amour
28 janvier, 2013 à 20:05
Voilà
Bisous Princesse !
crystallia
28 janvier, 2013 à 11:12
Salut,
Au fond je réalise que je ne tiens pas à arriver au bout de cette expérience-là lol !
Bise
Amour
27 janvier, 2013 à 21:25
Jusqu’à temps que tu te décides à avancer, et à oser dire « stop »… c’est assez, ma belle
Manue
27 janvier, 2013 à 13:42
jusqu’à ce que ton coeur cède?
Sa solidité sera testé!
Bisous doux