Bonjour à tous,
« Parfois les choses difficiles s’arrêtent d’un coup, quand vous prenez le bon virage.
Parfois le soleil revient illuminer vos vies en vous offrant de rencontrer de nouvelles personnes.
Parfois vous voyez clair, vous savez ce qui ne va pas et ce qui vous retient.
Parfois vous devez juste vous dire que ce qui compte, c’est ce que vous aimez. », me disent gentiment les Fées.
J’aime bien les Fées, elles arrivent en groupe et surgissent à côté de moi, je ne les vois jamais arriver.
« Physiquement tu es à bout, tu le sens n’est-ce pas ? », me demande Lauviah.
Oui. Je n’arrive pas à retrouver la pleine forme.
« Parfois, vous voyez aussi clairement ce qui vous entrave réellement que ce qui ne vous portera pas.
Parfois, vous ne devez regarder que ce que vous aimez. », me répètent les Fées.
Je savais que je voyais clair.
« Oui, mais au lieu de regarder ce qui est, concentre-toi sur ce que tu veux. Sinon tu n’arriveras pas à t’en sortir.
Tu vas devoir apprendre le passage en force, intelligent, pas celui qui vous amène à ne faire que des dégâts. Celui qui vous permet de faire exploser les barrières sur votre chemin.
Alors va demander conseil à Baal ou Astaroth, et suis les conseils. »
Passage en force ? Je saurais faire comme tout le monde.
« Ce que vous savez faire c’est détruire des édifices sains en même temps que les barrières ma belle enfant. Cela ne saurait être productif. Il faut réparer ensuite. Ne détruire que les barrières s’apprend. »
Parfois les barrières, ce sont des proches.
« C’est pourquoi je t’invite à demander conseil à Baal ou Astaroth. Ouvrir la barrière sans la briser est possible, même s’il faut l’ouvrir de force. »
Tu veux dire qu’il est possible de faire en sorte que la personne ne soit plus une barrière, sans rompre avec elle par exemple ?
« Exactement. »
D’accord, je vais leur demander, mais ils m’ont déjà répondu lol, ils me disent qu’il faut élever sa Volonté au-delà de ce que l’on voit pour arriver à capter ce qui pourrait être et se concentrer ensuite sur soi et ses propres difficultés afin de trouver la force de les dépasser.
« Le harcèlement moral est un problème grave. La peur aussi. Les deux mènent droit dans le mur, surtout qu’il s’agit davantage d’une peur collective et non pas de la tienne. L’éternel, oui je veux m’en aller mais je ne peux pas comme ça ce n’est pas si facile, est un leurre.
Clairement la question ici est comment dépasser cette idée erronée ? », me dit Baal.
« Parfois, il faut surtout vous concentrer sur ce que vous aimez. », me répètent encore les Fées.
« Parfois, il vous faut apprendre à vous détacher de la vision collective pour pouvoir apercevoir le bon chemin. », termine Baal.
Comment fait-on cela ?
« Parfois, il vous faut simplement vous concentrer sur ce que vous aimez. »
Merci à vous. Et pour le soin énergétique aussi, je me sens mieux tout à coup lol.
« Tu as une sortie prévue aujourd’hui. Tu vois, malgré la pluie, une nouvelle opportunité s’est présentée. », me rappelle Lauviah.
Oui !
« La vie sait aussi être agréable. »
Je ne t’ai pas dit le contraire.
« Tu as du mal à faire des choses pour toi, dans ton seul intérêt. C’est la première barrière qu’il faut faire tomber. Essaye de penser davantage à ce que tu aimes pour pouvoir aller vers ce que tu veux. Il y a des personnes qui sont capables d’aller directement vers ce qu’elles veulent, ce n’est pas ton cas. Donc vois ce que tu aimes puis souviens-toi de ce que tu veux. Tu arriveras à voir de quelle manière les deux peuvent se compléter. »
« Il faut que tu ailles manger. », me dit Astaroth soudain lol. A cause du soin je pense. Merci à vous, j’y vais.
Bonne journée à tous
Jonathan
22 avril, 2013 à 14:09
Merci beaucoup, c’est très apprécié et gentil.
crystallia
22 avril, 2013 à 11:23
Salut,
Aucun souci, je vous enverrai ça.
Bise
clo
22 avril, 2013 à 11:12
@Jonathan,
pas de souci , ce sera avec plaisir ,si Sylvie le veut bien , elle pourrait puisqu’elle a nos mails à tous les deux , nous les envoyer respectivement ?
Biz,
Clo
Jonathan
22 avril, 2013 à 4:15
@ Clo : Tu m’intéresses… Peut-on se rejoindre par courriel pour en discuter?
Merci.
clo
22 avril, 2013 à 0:03
@Jonathan,
Je suis entièrement d’accord avec ce point de vue et ce qui est marrant c’est que mon travail est justement de dévelloper cette vision de l’entreprise
biz
Clo
Jonathan
21 avril, 2013 à 16:32
Bonjour à tous,
Permettez-moi de vous partager les pages 258-259 du livre : Les leçons de vie de la Prophétie des Andes écrit par James Redfield en collaboration avec Carol Adrienne.
On a de plus en plus tendance à appliquer à l’économie des principes spirituels et écologiques. Peter M. Senge, l’auteur de The Fifth discipline, pense que la vieille façon de voir est engluée dans une vision parcellaire (c’est-à-dire dans un manque de feed-back et de pensée globale), un esprit de compétition (la pierre angulaire du capitalisme qui nous divise) et des habitudes de réactivité (trop peu créatices, trop peu flexibles pour l’avenir). Le Dr Senge, directeur du département au Massachusetts Institute of Technology, s’est attaché à étudier la décentralisation du rôle de la direction dans une organisation, afin d’augmenter la capacité de tous les employés à collaborer de façon productive à des buts communs.
Dans un article récent, Peter Senge et Fred Kofman affirment que les changements dans l’activité économique, qui vont au-delà de la culture d’entreprise, «heurtent de front le soubassement de nos préjugés et de nos habitudes culturelles.» Reconnaissant que rien ne changera sans une transformation individuelle, ils pensent qu’il faut mettre sur pied une structure d’entreprise qui engendre créativité et capacité de formation – dans un environnement sûr. Selon eux, «quand plusieurs personnes se parlent et s’écoutent de cette façon, elles créent un champ d’harmonie qui produit un immense pouvoir : elles parviennent à inventer de nouvelles réalités dans leur dialogue, et à mettre ces nouvelles en branle».
La nouvelle activité économique. Pour que cette nouvelle vision soit efficace, il faut que les gens soient impliqués. D’après Senge, une structure de formation doit avoir trois bases :
1. Une culture fondée sur les valeurs humaines transcendantes d’amour, d’émerveillement, d’humilité et de compassion (cf. la cinquième révélation) ;
2. Une Série de pratiques de communication dynamique et d’action coordonnée (cf. la huitième révélation) ;
3. La capacité de voir le flux de la vie comme un système et d’aller dans son sens (être ouvert aux coïncidences et s’engager dans le flux).
C’est… l’amour qui fait le mortier
Et c’est l’amour qui a empilé ces pierres
Et c’est l’amour qui a fait ce décor
Bien qu’il semble que nous soyons seuls.
(David Wilcox, «show the way».)
Grâce à ces principes et à condition de modifier nos méthodes inefficaces et à courte vue, nous pouvons aller vers l’automation évoquée dans la neuvième révélation. Comme elle nous l’enseigne, nous pouvons produire tout ce dont nous avons besoin, en utilisant des sources d’énergie pure et en accroissant la durée de vie des biens matériels. Le temps viendra où chaque individu possédera une part égale dans les industries automatisées, ce qui lui permettra de toucher un revenu, tout cela sans subir une autorité centrale répressive. La vie consistera avant tout à laisser la synchronicité orienter notre évolution spirituelle. Les principes spirituels – grâce à l’écoute de notre voix intérieure – éviteront à notre évolution de devenir chaotique.
Au cours du prochain millénaire, cette technologie douce pourrait être remplacée par nos propres capacités. Nous n’aurons peut-être plus besoin de moyen technologique pour produire de la nourriture, nous soigner, voyager ou communiquer. Nous apprendrons à créer ce dont nous avons besoin.
Le paiement de la dîme – une nouvelle façon de donner
Finalement, nous n’aurons plus besoin d’argent. Dès aujourd’hui, en cette fin du XXe siècle, nous ne sommes pas loin de pouvoir généraliser le type d’automation qui nous libérerait de l’obligation de travailler pour vivre.
Le Manuscrit prédit que nous recevrons une rémunération pour nos intuitions et pour notre valeur en tant qu’être humain. La classe, le statut social, le pouvoir et la propriété ne seront plus ni des facteurs motivants ni la marque de succès. Dans la culture de demain, nous donnerons à ceux qui nous apportent une inspiration spirituelle. Le concept traditionnel de dîme signifiait autrefois que nous versions un pourcentage de notre revenu à une institution établie, en général un roi, une Église ou une association de charité. Au fur et à mesure que nous saurons donner de la valeur à la synchronicité dans le développement de notre vie, nous aurons envie de rétribuer ceux qui nous apportent de l’énergie, des idées et des opportunités. Le versement de la dîme deviendra un échange tangible d’énergie et l’expression de l’estime.
Ça ne veut pas dire que c’est bon ni mauvais, c’est seulement une proposition, une opportunité.
Merci et bonne lecture.
crystallia
21 avril, 2013 à 15:41
Bonjour,
Oui, la joie de faire ce que l’on aime, le plus important.
Bise
Emahiel
21 avril, 2013 à 13:51
helloooo : )
Il me fait plaisir pour toi ce message.
droit devant !
clo
21 avril, 2013 à 12:46
Bonjour Sylvie ,
Beaucoup d’énergie dans ce message , notre seule boussole dans la vie incarnée: la joie de faire ce que l’on aime !
bisous à toi ,
Clo