Bonjour à tous,
Il fait beau, il fait chaud, ce qui n’était pas le cas les deux derniers jours alors, je vais tranquillement profiter de la journée et je vous invite à faire de même.
« Tu vas passer la journée à jouer à Zelda. », me dit Sammael.
N’est-ce pas une excellente manière de prendre du bon temps ? J’adore Zelda.
« Tu t’es couchée hier soir en ayant bien conscience de ton envie de déménager. Tu t’es réveillée avec en tête un simple mot, attends. Tu t’en souviens ? »
Je m’en souviens. Où ai-je posé ma console ?
« Sur le canapé de la chambre. »
Ah oui…
« Tu n’aimes pas attendre n’est-ce pas ? »
Tout dépend de ce que j’attends et pourquoi. Je peux être très patiente quand je suis déterminée et que je comprends que quelque chose prendra forcément du temps. Je le suis moins quand je sens une urgence et que je voudrais un changement rapide.
Mais d’une manière générale il m’est beaucoup plus facile d’attendre en étant dans l’action qu’en ne faisant rien. Alors autant jouer à Zelda.
« La sagesse c’est d’être capable d’attendre en sachant que le nécessaire a déjà été fait. »
J’ai reçu un avertissement Sammael. Dans le rêve de la nuit de vendredi. Et dans le tirage que j’avais fait avant. Elémiah m’a dit que la gérante était très en colère contre moi.
« Ce qu’elle ne montre pas, mais c’est ressorti dans tes rêves, dans celui de jeudi aussi. Elle est fâchée que tu aies refusé de venir quand elle te l’a demandé et lorsqu’elle a commencé à te dire qu’elle ne comprenait pas ton manque d’investissement vu que tu n’avais même pas envoyé un mail pour donner quelques directives, tu lui as dit que tu avais été très surprise qu’elle te demande de venir ou plutôt qu’elle l’exige. »
C’est la vérité, j’ai été surprise.
« Oui, tu as précisé que de toute manière tes absences étaient légalement justifiées et que tu ne comprenais pas qu’elle t’ait demandé de venir comme s’il s’agissait d’une obligation. Ce qui l’a conduite à reculer devant toi. Et à te dire qu’elle aurait simplement voulu que tu envoies un mail. Loin de saisir la perche qui aurait pu vous ramener sur le même rivage, tu as enfoncé le clou en lui rappelant que tu n’y étais pas obligée non plus.
Légalement, elle ne peut effectivement pas te le reprocher. Ce que vous savez toutes les deux. Mais elle a eu le sentiment que tu bafouais son autorité. »
Elle n’aurait pas dû essayer de l’exercer en-dehors du travail.
« Objectivement, c’est elle qui a eu tort de te demander de venir alors que tu étais encore en arrêt maladie. »
Je sais.
« Elle le sait aussi. Concrètement, tu as autour de toi des tas d’exemple de personnes qui ont accepté à contrecœur les demandes de leur patron alors qu’ils étaient en congés. Cela les as ennuyés, mais le travail passe avant le reste. Tu as également connu des personnes qui trouvent normal de se mettre en quatre lorsqu’ils sont absents pour être joignable ou qui travaillent pendant leurs congés, telle la directrice. »
C’est à chacun de voir.
« Certains ne comptent pas leurs heures espérant se faire bien voir. Ou par envie tout simplement. Elle t’a fait remarquer ta charge de travail, tu n’as pas réagi. »
A l’absurde on ne peut répondre que par l’absurde Sammael. Dis-moi de quelle façon je vais pouvoir traiter les 1500 dossiers dont j’ai la charge en une journée et je le fais. Si tu ne peux pas, ne me fais pas de reproche. Je ne suis pas une machine. Quand je parvenais à en traiter plus de 200, la directrice m’a dit fais attention, on va t’en confier beaucoup plus. Et c’est ce qui s’est passé. Sauf que, je n’ai toujours qu’un cerveau et deux mains. Et tous les dossiers ne se traitent pas rapidement. Ce que la gérante sait bien.
« Certains voient des challenges personnels dans l’augmentation de leur charge de travail. »
Ce serait peut-être aussi mon cas si le système de rémunération était plus attractif. Je fais des efforts en fonction de ce que cela peut me rapporter et je n’ai pas oublié les vilaines blagues des primes.
« Tu es une forte tête à ses yeux. Elle espère pouvoir te faire plier. Elle ne va pas te renvoyer, elle veut te voir plier. »
Tenir tête ne m’intéresse pas en vérité. Seulement je pense qu’on ne peut pas tout exiger des autres. Je n’ai pas l’intention de ruiner ma santé dans un boulot qui ne me permet pas de m’épanouir et me rapporte si peu d’argent.
Je n’ai pas l’intention de faire des heures supplémentaires qui seront juste considérées comme normales et donc absolument pas prises en compte. Je n’ai pas l’intention de m’investir là où je sais que je n’ai rien à espérer.
Moi je trouve absolument illogique de considérer la boite de son patron comme la sienne. Et j’ai toujours pensé ainsi. Je pense que les efforts d’une manière générale, ont pour but un résultat proportionnel à ce qu’on a fourni. Si ce n’est pas le cas, pourquoi en faire ? Si quelqu’un est capable de m’apporter une réponse qui ne soit pas, parce que c’est ça la vie, je veux bien l’écouter.
Je ne compte plus le nombre de personnes qui me disent qu’elles ne supportent plus ceci ou cela mais qui trouvent quand même le moule dans lequel elles sont, normal.
Pas moi. J’en ai marre du moule. J’ai le droit. Je vois que ça ne choque personne d’accourir quand le patron l’exige tout en étant fâché. Mais moi le fait d’être fâchée me contrarie.
Je sais, avec certitude et sans l’avoir expérimenté pourtant, qu’il n’est pas nécessaire d’être fâché.
Si quelqu’un est capable de m’expliquer pourquoi j’ai tort de ne pas vouloir travailler dans n’importe quelle condition, je veux bien écouter. Mais ce sont des arguments que j’attends, pas un sermon.
Les gens ont peur de leur patron, je le sais bien. Tout le monde a peur de se retrouver sur le carreau, sans rien. Moi aussi j’ai peur. Mais j’ai encore plus peur de voir les années passer et de réaliser que finalement je n’ai jamais pu agir en adulte.
J’écoute les reproches quand ils sont justifiés. Mais j’ai été, pour des raisons de santé, incapable de me rendre au travail quelques jours avant mon départ en congés. Je l’ai justifié. Je n’ai pas de reproche à recevoir. Certes je n’ai pas pu préparer mon départ du coup. Mais objectivement, je ne suis pas la seule à avoir reconnu que j’ai plus de travail que je ne peux en traiter seule. Alors je vais dire une chose qui va certainement me faire passer pour une fainéante mais, je dors parfaitement bien la nuit quand je sais que j’ai fait ce qui était en mon pouvoir.
« Tu n’es pas une personne fainéante. Et tu ne dors pas assez, arrête de te coucher si tard. Ou de jouer avant d’aller te coucher, fais des activités douces le soir. »
Jouer c’est doux.
« Non. »
Non ?
« Non et tu le sais bien puisque tu es là tendue et concentrée sur les ennemis à abattre ou les énigmes à résoudre. »
Lol.
« Elle reste très en colère contre toi. Parce qu’elle a l’impression que tu ne la reconnais pas comme la patronne. »
Ce qu’elle sent c’est que je n’ai pas le même respect pour elle qu’envers sa mère.
« C’est juste. Pourquoi ? »
Parce que je la vois tous les jours glander des heures durant. Je n’agis pas en singe aveugle ou sourd moi. Je ne vois pas d’urgence là où un patron n’en voit pas non plus. J’ai du respect pour ceux qui travaillent. Pour ceux qui sont capables de comprendre les difficultés qu’on rencontre aussi et qui nous soutiennent quand c’est nécessaire.
Lorsqu’en revanche je vois que le patron ne travaille plus, il a beau me rappeler ma charge de travail, je ne vois pas d’urgence là où lui-même n’en voit pas. Je fais partie des gens qui pensent que l’exemple vient d’en haut. Ne me dis pas, on se bat, quand je vois que toi tu glandes. Je me bats pour moi en premier lieu. Je regarde midi à ma porte. Pas à celle des autres.
« Tu réagis de la même manière vis-à-vis des discours des politiques. »
Les faits me donnent souvent raison, aussi je les privilégie aux mots.
« Elle a reculé devant toi. »
J’ai vu. J’ai écouté tout le reste de ce qu’elle m’a dit sans broncher. Je n’étais simplement pas d’accord avec la manière dont elle m’avait parlé au téléphone. Je le lui ai dit. Elle m’a parlé d’envoyer un mail, je n’y étais pas obligée et je le lui ai dit aussi puisqu’elle me faisait un reproche. Maintenant, je peux comprendre qu’il eut été plus simple pour elle que je précise les urgences que j’avais dû laisser en plan. Je peux en tenir compte une prochaine fois. Et si elle ne m’avait pas fait de reproche injustifié, elle n’aurait pas eu à reculer. Elle pouvait juste m’expliquer son histoire de mail.
« Nous pouvons te le dire maintenant, lorsque soudain, vous sentez fortement une aspiration vous pousser, c’est que vous êtes en danger. »
Comment ça ?
« C’est pour cette raison que tu veux une maison. C’est simplement une bouée de sauvetage psychique, pour vous empêcher de vous concentrer sur un problème ce qui conduit à la dépression.
Tu as repris ton dictionnaire et tu as travaillé dessus, te fixant un objectif simple et clair, être publié. Il est en réalité plus difficile de trouver un éditeur qu’un nouveau patron. Toutefois puisqu’il s’agit d’un challenge plus grand, vous trouvez la force de voir au-delà du problème qui se trouve devant vous et vous éloignez du danger, pourtant toujours là.
Que ton point de vue soit juste ou non n’est pas le problème. Et partir pour partir ne t’aurait pas aidé en vérité. Cela t’aurait affaibli, même le fait de fuir vers une autre boîte t’aurait affaibli. Surtout vu ton domaine d’activité, tu aurais eu le sentiment de ne pas réussir à atteindre des objectifs personnels de plus en plus flous.
Certains ont dû penser en te lisant que nous étions trop doux envers toi, à ne pas te dire clairement, pars n’importe où ou bats-toi là pour les faire tous changer d’avis à ton sujet. Mais tu vois juste depuis le début. Cette femme ne t’aime pas et quoi que tu fasses, rien ne changera cela. Au contraire. Elle t’a félicité pour tes bons résultats avant de te donner une prime de moitié inférieure à celle du mois précédent en invoquant un tout nouveau mode de calcul.
Tu vois juste et nous le savons. Néanmoins nous voulions que tu retrouves ton calme et que tu admettes que tu n’avais pas échoué là par fatalité. Tu l’as fait, tu as pu recevoir ta bouée de sauvetage. Tu as trouvé le moyen, la force de retourner sur le bateau. Il te reste seulement à rallier la terre ferme. C’est la prochaine étape. »
Et si je ne trouve pas d’éditeur ?
« La saison des cyclones est passée, il y a peu de chance pour que tu chavires. Reste confiante. »
Merci Sammael.
Bonne journée à tous
Miss X
19 décembre, 2014 à 19:58
Pourquoi travailler?
Pourquoi ne pas travailler?
Travailler pour notre bien , à nous , oui d’accord!
Le travail n’est pas mal en soi.
@ Jonathan.
Bisou!;)
Sapin
9 décembre, 2013 à 15:59
Bonjour : )
Si tu ne trouves pas d’éditeur d’emblée, peut-être qu’une pensée à propos du fait qu’il y a déjà des gens qui veulent acheter ton livre avant même que tu l’aies édité, peut aider, moralement. En plus il semble venir combler un vide avec « appel d’air »… Tendresse!
Sapin
Jonathan
9 décembre, 2013 à 0:32
Salut,
Pourquoi travailler? L’être humain se fatigue et se rend malade à travailler. L’être humain est fait pour aimer et être aimé. Est-ce que le bonheur réside vraiment dans le fait de pouvoir se payer une bébelle qui se démodera ou se brisera? Sommes-nous esclave et dépend à ce point de l’argent et de ces biens matériels?
Est-ce pour cela Sammael suggérait de jouer à Zelda une autre période que le soir et faire des activités tranquille le soir comme lorsque nous n’avions pas l’électricité.
Il y a de quoi nourrir 12 milliards de personnes selon Jean Zigler. Serait-ce possible que certaines personnes seraient trop gourmandes, possessives, jalouses et avares?
Le vrai travail s’effectue surtout la nuit durant le sommeil. Ce n’est pas pour rien que Sylvie travaille sur ce projet.
Bonne journée.
Shaka
8 décembre, 2013 à 22:01
Coucou Sylvie,
En fait c’est comme un jeu de stratégie. Et le skill nécessaire ici est la subtilité. Tu prends des risques. Tu refuses certaines concessions que tu comprends inutiles et avilissantes. Tu gères en fonction de ton propre optimum de satisfaction tout en protégeant tes arrières.
ça se contrôle comme un jeu, et comme dans un jeu il y a « game over » et « retry ».
Je sais bien au final que ce n’est pas un jeu mais la vraie vie. Pardon si le parallèle est maladroit. C’est juste pour te permettre, peut-être, de prendre un peu de recul et d’aborder la difficulté avec plus de sérénité
Camille
8 décembre, 2013 à 21:40
Coucou Sylvie,
Ecoutes, tu vas rire…
J’ai rêvé que je lisais un nouvel article de ton blog.
Dessus, tu venais d’écrire tous les interprétations des rêves spirituels, et je les lisais un par un.
Tu avais créé de jolis images, même sublimes pour les illustrer. Elle était en illustrations. En cliquant sur chaque image, chaque type de rêve spirituel était expliqué sous forme de dessin animé. C’était tout simplement sublimement fait et oh ! les belles couleurs !!
Tous les rêves spirituels avaient le même but : de faire évoluer et grandir la petite qu’on y voyait, mais l’art et la manière changeait radicalement d’un rêve-type à l’autre.
Je me souviens de ceux qui étaient relié à des formes géométriques, notamment, au carré, et l’autre qui était relié au serpent, tiens d’ailleurs celui là, ce rêve était dans un univers blanc avec un magnifique serpent blanc(ressemblant d’ailleurs au cobra…)
Ensuite, une fois les rêves spirituels achevés, tu avais commencé un nouvel article sur l’importance de la nourriture,session que tu avais appelé « l’alimentation » je crois ou l’alimentation truc qqchose.
C’est si beau, si bien fait… je me suis levée en me disant que tu avais largement de quoi écrire tout un bouquin là-dessus…
Et je me suis dit, « merde, si seulement je pouvais me rappeler de tout ce qui a défilé, j’aurai pu l’écrire aussi ! hahaha » « mais pourquoi ca défile siiiii viiite ! C’est dingue bordel !! »
Pourquoi tout défile si vite dans ma tête… pourquoi je vois tout ça ? et surtout….pourquoi je me souviens pas de tous les détails ??? C’est méga-fruuuuuustrant !!
bref… sinon pour en revenir au sujet de ton article.
Sylvie, tu sais, …euh comment dire… tu te fais déchirer au travail. c’est clair.
Moi perso, j’ai tenu 2 jours avec un stress pareil après, je me suis dit plus jamais… j’ose même pas imaginer comment tu fais pour tenir tous les jours avec ces boules de nerf dans le ventre… mais tu sais, quoi que tu fasses, n’oublies pas que tu fais au mieux.
J’ai relu une phrase que j’avais écrite dans un petit journal qui disait « mon patron n’est pas un connard, il est juste aveugle. »
Bises
Nicolas
8 décembre, 2013 à 16:40
Salut sylvie
Ecoute, fais ton boulot,ne fais pas les 200 dossiers, fais en 100, ou meme 90, moins meme. Tranquille, travailles puis basta. Qu’es qui t’empeche de discuter un peu avec des collegues, qu’es qui t’empeche de rire avec des collegues. Ne regardes pas ailleurs, si untel ou untel glandouille, et bin il glandouille, tant pis, c’est comme ca.
Si ta responsable, ta patronne n’est pas contente, c’est rien. Pas la peine de faire la forte tete et d’affronter parce que c’est un patron ou je ne sais quoi… Un boulot c’est une somme d’argent, cela représente humainement parlant la part d’une vie. C’est l’argent que tu recois pour t’acheter tes robes, ton derniers jeu vidéo (c’est la suite du zelda sur super nintendo ^^)
Sylvie, tran-qui-lle
Sois respectueuse, aimable, sympa mais n’affronte pas.
Tu as eu raison quant au fait que tu ne sois pas aller à ton boulot alors que tu n’étais pas bien (je fais confiance à tes écris), mais pareil, ce n’est pas dans le sens de l’affront que tu dois faire ce genre d’action, mais dans le sens de dire à ta patronne, tes responsables » je suis pas bien, je suis désolé, comprenez que etc…. »
Une image intérieure pour ta compréhension :
Il faut que la balance soit équilibré dans ton milieu professionnel comme personnel, que tout soit propre sur chaques plateaux.
Je sais sylvie que c’est difficile parce que tu es toi sylvie untel, mais voila.
Je vais te dire une chose, ma mere avait 45 ans quand elle est décédé, elle travaillait énormément beaucoup. Elle fumait beaucoup aussi.Elle transpirait la colere par moment tellement elle était éreinté. Le boulot l’appelait à la maison alors que c’était son jour de repos, et elle y allait. Demande la permisson de la voir et de discuter avec elle. Je suis sûr que maintenant, elle a compris
La mere à l’un des chefs du secteur où je bosse est décédé d’un cancer à 1 ou 2 ans de ca retraite. Elle travaillait beaucoup aussi et avait donné beaucoup à ces enfants. Elle avait dans les environs de la soixantaine.
Travailles mais pas la peine d’en faire des masses, regardes pas ailleur puis voila. N’habitues pas tes patrons à de l’affront ou à en faire des masses. A la fin ca sera toujours eux qui auront le dernier mot, quoi que tu fasses, quoi que tu dises, quoi que sois ton caractere.
90 ans sur terre environ, c’est tres court par rapport à des vies énergétique qui peuvent etre de 200, 300, 400 ans et beaucoup beaucoup beaucoup plus, certains etre énergétique ont des millions années. Actuellement sylvie, revois ta maniere de voir ton boulot, ta vie personnelle, parce que si tu venais à partir en étant jeune à cause de tout ce que tu vies, ils te feraient revenir. En plus tu ferais de la peine à ceux qui t’aiment en cette vie. Ils te feraient revenir sérieusement parce que la roue est vraiment grippé dans ta vie. Et en plus ils te diraient ce qui en est avec une certaine sévérité divine.
Penses bien que la vie terrestre est à notre image, c’est nous par nos actions qui créons ce que nous vivons. Tu le sais en plus, les anges, tes amis te le disent. Là ca m’est facile de te dire cela parce que dans ma vie tout est bien aplani. J’aimerai dans tes messages te ressentir tranquille, que tu es compris franchement et pas illusoirement, s’il te plait sylvie. Assez de te ressentir en boule sur toi meme, assez s’il te plait mademoiselle.
( à travers ce message je t’ai écris comme je te parlerai si tu étais en face de moi physiquement parlant)
J’espere du fond du coeur que tu comprendras et que tout changera dans le bon sens du therme, pour toi….
salut