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Invoquer Dieu

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Bonjour à tous,

A Mélissa qui m’a demandé comment invoquer Dieu, voici la réponse.

Mélissa, je ne connais pas d’être plus accessible que la Source. Aucun de mes guides n’est plus aimant, rassurant, présent que la Source. Même pas mon cher Lauviah.

Je me souviens il y a quelques années, alors que je ne savais même pas ce que signifiait le mot médium, je me demandais si j’allais être admise en troisième cycle à la fac et surtout ce que je ferai si tel n’était pas le cas.

Comme plusieurs années auparavant, ne sachant vers qui me tourner et ressentant un besoin viscéral d’être rassurée et accompagnée, j’ai prié. A l’époque je priais tous les soirs par habitude, une petite prière rapide qui me réconfortait, pour remercier de la journée qui venait de s’écouler. J’avais commencé à 15 ans, au moment de faire mes choix pour un lycée. Il y en avait un où j’avais toutes les chances d’aller et tu vois Mélissa, chaque fois que je passais devant, j’avais juste envie de pleurer. Je ne pouvais pas m’y projeter, il était moche, sombre et avait mauvaise réputation. Je ne voulais pas y aller.

Tout près de chez moi, il y avait un bel établissement flambant neuf qui ne proposait pas les options qui m’intéressaient. Pas de chance. Je me suis mise à prier parce que je ne savais pas quoi faire d’autre pour échapper à la fatalité du vilain lycée dans lequel j’avais toutes les chances d’être admise. Et ça a marché, j’ai été envoyée dans un troisième établissement, pas exactement à côté mais sympa. Il avait une particularité, il n’était pas délimité, il n’y avait aucune barrière car il était situé sur une base de loisirs. Alors le cadre m’a vite plu.   

Bref, peu après ma maîtrise donc, j’étais là, me torturant l’esprit pour savoir ce que je pourrais bien faire si je n’étais pas admise en troisième cycle quand soudain j’ai demandé tout haut dans ma chambre à Dieu de se manifester et de venir me parler, comme il voudrait mais de venir. Et j’ai précisé que de toutes façons je le reconnaitrais.

Deux jours après je rencontre un gars dans la rue. On décide de se voir et à cette occasion il m’a dit exactement tout ce que j’avais besoin d’entendre à ce moment-là. C’est en le quittant, quand il m’a dit de ne pas m’en faire pour mon admission en troisième cycle que j’ai compris.

Tu veux que Dieu vienne te voir et s’adresse à toi, t’entende, demande-lui. C’est la seule méthode que je connaisse. D’une façon ou d’une autre, il te répondra. A moi il répond en tout cas.

« La foi est une route pavée d’incertitudes, c’est aussi le chemin le plus sûr qui soit. »

C’est le message de Lauviah.

Bise ;)  

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26 Commentaires

  1. Liliane

    10 février, 2016 à 10:23

    Bonjour,

    …en gros tu n’en as rien à faire de ce que les autres personnes de ce blog peuvent te dire il n’y a que Sylvie qui te comprend et qui a les clés de ton salut…ok

    J’attend avec impatience le jour où tu vas t’écrouler de fatigue après avoir dépensé autant d’énergies à te plaindre peut être que ce jour là enfin tu regarderas les choses autrement. Quand je vois comment tu tournes en rond, à forcer des portes qui ne sont clairement pas les tiennes mais qui laissent passer du monde, alors que la tienne qui a une drôle de tête je l’avoue et qui ne te fait pas envie est là entrouverte et tu ne veux simplement pas la traverser, ça me dépasse. Si seulement tu savais ce qui t’attend de l’autre côté de cette porte tu courais vers elle mais bon c’est la vie, tu te fatigueras un jour même si c’est au crépuscule de ta vie, tu te fatigueras un jour.

  2. Mélissa

    10 février, 2016 à 9:46

    Salut,

    Les filles, j’apprécie d’avoir essayé de me parler, mais j’avoue que j’ai du mal à lire.
    J’ai trop peur de m’en prendre plein pour l’heure alors je lis pas.

    Je sais que Sylvie, prends des pincettes, ou du moins, on va dire que c’est bon.
    Tu es la seule personne, à qui je peux lire quelque chose, même si je sais que j’ai parlé de ça.

    Je recoup ce que tu as dis sur la difficulté d’une entrée dans la vie adulte, par cette voie.
    Et oui, je vois les autres, et j’aurai aimé être là, et pas là.

    Lauviah avait déjà mentionné ça, et non, je ne changerai pas d’avis, même si vous n’avez pas le bac ni fait d’études, il y a des choses meilleures que d’autres, objectivement.

    Qu’importe.
    Oui, je déteste ma vie.
    Oui, je la déteste d’autant que je souhaiterai qu’elle soit d’une autre manière.
    Oui, ça me panique, et ça fait que. Et oui, je me pourris la vie moi-même.

    J’ai l’impression d’avoir fait ENFANT – Aieul, et j’ai manqué cette partie de la vie normale et agréable de tout le monde qui consiste à avoir des amis, à profiter, et pas à construire.

    Du moins, pas comme ça.
    La partie agréable de se découvrir dans un monde, sans aucune spiritualité, enfin.

    Que j’ai brûlé une étape.
    Qui à intérêt à être agréable et belle, et longue, pour la suite.
    Sinon il n’y a pas de vie sur Terre.
    Elle ne peut pas être une simple suite d’obstacles, de difficultés, dénuées de prairie, et d’eau.

    Quand à la difficulté actuelle, même mes voisins en ont marre de moi et de ma mère.
    C’est conflictuel.

    Je tente de faire ce que je peux, et le mieux que je peux, c’est de ne pas pouvoir faire pour que je n’éclate pas, et avec ma mère.
    Enfin, qu’importe.

    Au fond, toujours, qu’importe, ça n règle rien.
    Mais j’avais besoin de parler et de dire tout ce que j’avais à dire.

    Je hais, cette vie.

    J’ai fais un rêve hier, et comme quoi, j’étais morte de « ce » suicide.
    Celui qu’on fait quand on à un parcours et une difficultée avec une âmé liéé, soeur, ou jumelle, et je m’en suis tuée.
    C’était écrit sur un mur, et ma mère complétait le discours.

    Au fond, qu’importe le rêve.

    Ce que je veux dire, c’est que j’aimerai parfois reconnaître la douleur, ou reconnaître quelque chose, qui ferait que chaque jour, ça ira, que chaque jour, je ne paniquerai pas, que chaque jour, ne soit pas sujet à la douleur, car la vie, ce n’est pas ça.

    Alors oui, entrée en l’âge adulte, il y a mieux, infiniment mieux.

    C’est difficile. Sylvie.

  3. Eve

    10 février, 2016 à 4:37

    Bonjour tout le monde,

    Sylvie, je t’admire pour ta patience, ta compassion, ton courage, ta compréhension et la sagesse dont tu fais preuve…. (j’ai hâte d’arriver à autant de sagesse)

    Melissa, je n’ai pas fait d’études, je n’ai jamais présenté le bac, mais je ne galère pas tant que ça…
    Alors, tu vois bien qu’à force de regarder les autres, tu finis par croire qu’il n’existe qu’une seule voie dans la Vie! Hé ben non!!! Arrete de regarder les autres. (c’est Sylvie qui m’a conseillé ça un jour, et c’est vraiment cool…à faire sans modération)

    J’ai galéré quand je m’obstinais, quand mon égo me disait que j’aurai pu exercer tel métier si je n’avais pas été adopté, si mes parents adoptifs n’avaient pas divorcés et si et si et si…. bref, c’est facile de trouver des coupables et des excuses à tout…

    Ta vie est telle que tu l’as choisi avant incarnation parce que tu as les moyens de la gérer.

    Allez, bouge toi le popotin, accepte de vivre tout ça, lâche prise, regarde ta vie sous un autre angle.
    Dans ton coeur…dis-toi: « j’accepte ma vie telle qu’elle est aujourd’hui ». Demande à l’Univers de te donner un peu de courage, la force d’accepter, demande lui tout ce dont tu aurais besoin pour accepter, pleure, râle, parle-lui avec ton coeur ».

    Essaye! moi, je te dis que tu te sentiras plus légère après…

    Ecoute les conseils aimants de Sylvie et des autres membres de la famille (j’ai envie de dire :-)

    Voilà, finalement t’as plusieurs choix devant toi… Au fait, l’Univers est bienveillant avec toi puisque tu as été guidé jusqu’à Sylvie…elle a déjà tracé la route…

    Après, nous ne pouvons pas vivre les choses à ta place, nous avons déjà assez avec nos épreuves et nos expériences, nos égos et tout le tralalala…mais quelle joie quand même d’avancer… :-)

    Allez, rejoins-nous! Mets-toi en route!

    Gros bisous :-)

  4. crystallia

    10 février, 2016 à 1:29

    Le problème Mélissa est que ne faire que parler, ne va pas t’aider. Au vu de ta situation, il faut faire preuve d’abnégation et de courage.

    Apprendre l’abnégation, corollaire à l’apprentissage de l’humilité, est un moyen difficile d’entrer dans l’âge adulte, je te le concède.

    L’ego en prend un sacré coup.

    Mais crois-moi si je te dis que tu apprendras.

    Concrètement tu ne peux pas envoyer balader ta mère, tu ne peux envoyer balader personne et surtout pas ceux qui te regardent de haut en raison de tes échecs matériels.

    Je sais ce que tu refuses d’admettre. Tu as autant de valeur que n’importe qui après tout, c’est vrai.

    Mais justement, les autres aussi ont autant de valeur que toi. Tu souffriras moins si tu admets que ce n’est pas le parcours qui démontre la valeur d’une personne mais bien la manière dont elle a su manœuvrer.

    Je sais que ton en ego en prend pour son grade actuellement. Toutefois, tu pourrais souffrir bien moins en changeant d’angle de vue.

    Tu n’es pas une victime. Tu es une femme adulte, conduis-toi comme telle.

  5. Camille-fraise

    10 février, 2016 à 0:51

    Bonjour Mélissa,

    Tu continues encore de te plaindre ?…
    Tu ne t’arrêteras que lorsque tu seras satisfaite, mais tu ne seras jamais satisfaite au vue de ta situation. Comprends-tu ?

    Sais-tu combien de médium sommes nous à commenter et à écrire ici ? On te transmettrait des messages de guides que tu t’en ficherais totalement.

    Sylvie est vraiment gentille. Tu ne te rends pas compte tout ce qu’elle te permet.
    Tu fais tes caprices d’enfant. Ce que tu cherches en Sylvie, c’est une mère, une mère que tu n’as pas pour le moment.

    On a tous nos problèmes, les autres ne sont pas une pompe ou un exutoire, déjà qu’on se permet de le faire de temps à autre, mais toi, ça fait combien d’années qu’on entend les mêmes arguments.

    Tu préfères geindre pour qu’on s’apitoie sur ton sort. Le problème c’est qu’ici, on n’est pas des sauveurs. On n’est pas des faiseurs de miracles.

    Tu te plains, mais tu sais, il y a pire que toi. Il y a des gens aussi qui n’ont pas quatre murs comme tu dis.
    Tu vois, il y a toujours pire. Alors il y aura toujours mieux.

    Quand cesseras-tu de râler et de mettre cette énergie à profit ?

    Renseigne toi sur des forums ou pour participer à des groupes de paroles.

    Quand je te lis, je vois un enfant de 5 ans qui fait un caprice.
    Ta douleure est réelle, ta difficulté l’est aussi. On le sait tous. Alors tu attends quoi de Sylvie ? Du blog ?
    Juste te lâcher comme ça ?
    C’est ça, donc en fait, on est ton exutoire ?

    Sylvie a raison, lèves toi et marche. Fais en sorte que tes larmes servent à grandir. Car tu peux le faire, mais encore faut-il que tu acceptes d’avoir une voie difficile.

    Pour l’instant, tu rêves d’avoir une autre vie. Mais voilà, c’est ça ton problème, tant que tu refuses ta situation, rien ne s’arrangera. Tu as la vie dure. Acceptes le et avances.

    Peace

  6. Mélissa

    10 février, 2016 à 0:22

    Salut,

    Non, j’espère à peine encore qu’un médium puisse me répondre, ce n’est pas de l’ironie.

    Quand je parlais de relire, j’étais sincère,
    J’aimerai reprendre tout ce que j’ai pû lire, et revoir.

    J’aime bien directement écrire ici, car je n’arrive pas à le faire dans un carnet.
    Du coup, même si je devrais pas le faire, je n’arrive pas à trouver un moyen concluant.

    Je me rappelle tout ce que tu as dis, de mémoire.

    C’est juste que j’espérai éclaircir des points, et que tu répondes, ou non, (bien que ça s’appelle l’espoir) mais j’avais compris depuis un moment que ça ne serait pas le cas, le fait d’écrire, c’est comme une prière.

    Quand je parlais d’Ismael, c’est pareil.

    Je tiens un carnet, déja.
    J’ai contacté une coach, bref, je fais des démarches pour m’en sortir, et de manière concrète : obtenir un travail.

    J’ai un tel démantelement d’amour propre.
    Comprends que je regarde les autres, heureux, du moins, objectivement plus enviables, et ils sont dans leur monde.

    Moi aussi, j’aimerai.
    Sauf qu’a l’heure actuelle, j’ai (comme pour ton appart, comme pour ton cycle, comme ton propre parcours) je suis en train d’arpenter une route, que j’aurai préféré n’avoir jamais avoir à prendre.

    Je ne veux pas t’énerver, et tu dois le savoir.
    C’est le dernier des trucs dont j’ai besoin.

    J’aimerai juste tout foutre en l’air, tu comprends?
    Vraiment, je trouve que c’est une vie dure, et c’est pas pour pleurer avec quelqu’un que je parle.

    C’est que je n’arrive pas à accepter.
    Je n’arrive pas à accepter la vie que je mène.
    Je n’accepte pas non plus que je doive faire ce que je dois faire pour me sentir mieux.
    Ce n’est pas acceptable pour moi, de travailler, à 20 ans, dans un métier précaire ou emmerdant, un endroit où je ne voudrais, n’aurait pas voulu être, et au final, admettre que je souhaiterai partir de chez ma mère.

    Pour un logement HLM transitoire?
    même si c’est transitoire, ça n’a pas l’air d’être la bonne route.

    Même, si.

    Bref, franchement, j’ai aussi envie d’ajouter que toi, ça à laché alors que tu avais déja un M2.
    Tu avais aussi déja 25 ans.

    J’en ai 20.
    ça à lâché carrément plus tôt.

    Mes appels, je les ai plus tot, mais ce qui importe, c’est que toi, tu as à un M2.
    J’ai même pas le Bac.

    Rien,: pas de compagnon non plus.

    Et je devrais partirn, trouver un travail, pour des raisons, qui ne m’aspire pas, que ma vie ne ressemble en rien à celle que j’ai voulu/ j’aurai voulu construire, mais à ce qui est, avec ma mère, entre autre?

    Que mon père est parti faire, on ne sait trop quoi, dans un pays en guerre, et qu’il ne compte pas revenir, alors que je l’implore de le faire?

    Je sais pas quoi te dire d’autre, je sais juste que j’essaye juste de montrer à quel point, j’arrive pas à comprendre.

    Je ne comprends pas.
    Et c’est encore plus dur d’admettre.
    Je ne veux pas de ce parcours, j’aimerai juste tout envoyer se faire fout.

    J’ai des amies qui font ce qu’elles veulent.

    Moi je fais pas ce que je veux.
    Je fais au moins pire.
    Je fais des trucs à cause de ma mère.

    Je fais des trucs que je veux pas faire.
    Je suis dans la merde.
    Dans la vraie merde.
    Matérielle.
    Personnelle.

    J’ai PERSONNE.
    j’ai pas de PERE, qui est au chômage.
    J’ai qu’une MERE, avec qui je veux rompre, et JE DORS PLUS le soir, et le JOUR, j’arrive pas à me concentrer et à lire MES COURS.

    Je ne VEUX PAS, travailler dans un 35heures, en tant que caissière, et cela veut en plus dire, PLUS DE CANDIDAT LIBRE.

    J’ai pas de FRERE, quand je rentre, chez moi, le soir,c ‘est le DESERT.

    J’ai pas de FAMILLE.
    J’ai pas de SOEUR

    Je n’ai plus d’AMI.
    Elles vont devenir vétérinaires, ou elles vont devenir traductrices, professeurs..
    Moi, qu’est ce que je vais être?
    Je pars d’un milieu, pour atterir dans un autre, avec des personnes, avec qui j’ai pas grand chose à voir (ceux qui je fréquente encore) et qui devraient, eux aussi, reprendre des études pour espérer s’en sortir.

    Des personnes avec qui je suis pas vraiment amie, pour des raisons qu’elles ne sont pas ce que je recherche.
    Déja y’a ça à rajouter en plus.

    Qui va m’acceuillir si je vis plus avec ma mère, Sylvie?
    Tu as eu un oncle, que je me souvienne?

    J’ai QUI, à part moi?

    Le seul gars, en qui, j’ai de l’intêret (et encore)je pense que ça passera, pareil.

    ca va pas pour lui.

    Je l’ai VU traverser un tunnel spirituel.

    Et moi, je peux RIEN FAIRE, pour lui, d’ailleurs.
    Personne ne peut RIEN pour les personnes comme nous.

    Je crois que je suis comme lui.

    AUCUNE personne que je connais, ne partage l’ampleur de mes convictions, ou de ma foi.
    PERSONNE, est-ce que je dois te décrire tout, où ces aspects principaux, qui sont vraiment la raison pour laquelle je souffre, et que ma mère souffre (oui, car elle souffre, du manque de famille.) font qu’a 20 ANS, je vois tout le monde, autour de moi, sauf (Lui, et EUX) s’épanouir, avoir des amies, mener une vie universitaire, tout frais payés, par leur parents?

    Et, moi, je cherche à me délivrer de ma mère, et en plus, comme si c’était pas assez dur, j’ai ce BAC à préparer SEULE.

    Comment tu peux croire que je vais ça pour emmerder qui que ce soit?

    Alors qu’il n’y a que douleur, douleur, douleur, quand je porte mon regard!

    As-tu lu le livre de Job? Je n’avais jamais lu un auteur parler aussi bien de désespoir. C’est un texte biblique qui m’a marqué.

    Ne crois-tu pas que je vois mes propres défauts, et mes défauts de caractère, mais je ne sais pas être d’une autre manière?

    Ne crois-tu pas que j’ai envie de me frapper contre un mur?

    Je ne sais plus quoi dire!

    Tu vois ton père, ta mère, ta soeur, tu as un travail rémunérateur!

    Je n’ai RIEN de ton père, ta mère, ta soeur, et de ton travail rémunérateur, ni de ton master!

    Ma famille NE SE REUNIT pas pour les fêtes.
    Je rentre chez moi, j’ai MES QUATRES MURS.

    même mon cousin, qui à fait bac pro, continue en BTS à Chatres! (ou Versailles, j’ai plus souvenir.)

    Aucun n’a de telles blessures d’amour propre qu’il était incapable de sortir ou de se montrer aux autres!

    Ils sont tous diplomés, ceux de ma génération.

    Oui, Je suis D’ACCORD avec toi, depuis le début, Ceux QUI GALERENT le plus, sont ceux qui ont le MOINS de DIPLOMES, de qualification et j’en fais partie!!!

    Mais bien entendu, cet aspect là ne suffisait pas!!!
    Regarde ma SITUATION PERSONNELLE aussi!

    Il manquerait plus que je me fasse violer, et là, ça serait l’idéal.

    Moi aussi, je crois que je pourrai rentrer dans un livre de records pour vie de merde.

    Job, je te rejoindrais.

    Qui sait, peut-être qu’un jour je contribuerai à des écritures liturgiques? *rire noir*.

    Comprends ce que je veux dire!

  7. crystallia

    9 février, 2016 à 23:43

    Bonjour,

    Je vais juste m’énerver.

    Je ne suis pas à ta disposition, mes guides non plus.

    J’ai été expulsée de mon appartement, j’ai perdu la confiance de toute ma famille et de tous mes amis.

    Tous ceux que je connaissais m’ont cru en état de faiblesse psychologique.

    Et encore à ce jour pourtant, personne n’est venu me sauver.

    Alors heureusement que je ne suis pas restée à attendre.

    Je me suis éveillée seule, il n’y avait personne pour m’expliquer ce qui m’arrivait, pourquoi je ne parvenais plus à étudier ou pourquoi soudain je vivais des manifestations ésotériques.

    Je n’entendais pas mes guides à l’époque et il a fallu que je m’ouvre et que je fasse, seule, tout un paquet de recherches.

    Je l’ai dit une fois, je vais le dire pour la dernière fois, je ne pleurerais pour ou avec personne ici.

    Lève-toi et marche, comme on dit.

  8. Mélissa

    9 février, 2016 à 23:30

    « La foi est une route pavée d’incertitudes, c’est aussi le chemin le plus sûr qui soit. »

    Est-ce qu’on peut revenir sur ça, s’il te plaît?
    Et concrètement, qu’est-ce que ça veut dire en terme de parcours..?

    Mon parcours.

    Car je hais mon parcours. Lauviah, réponds!

  9. Mélissa

    9 février, 2016 à 23:27

    Salut,

    @Céline,
    Je ne pense pas ‘être d’un très grand secours, mais est-ce que tu as essayé : la prière, un pelerinage, un acte de foi particulier.

    Est-ce que tu as essayé d’écrire, est-ce que tu as essayé de parler à un professionnel ou à un prêtre?

    Ce sont tout les deux des personnes qui ne vont rien dire, et bien que parler à un prêtre sera surement peut-être différend.. c’est un confident.

    L’idée est là, quelqu’un à qui tu voudras bien t’ouvrir sans risquer d’avoir peur, ou de prendre cher.

    Bon courage.

    Je sais que parfois, c’est dur.
    ;)

  10. Mélissa

    9 février, 2016 à 23:23

    Merci d’avoir écrit cet article.

    Je vais le relire.
    Je pense que je vais tout relire.

    Jusqu’a ce que je trouve, complètement, la paix, avec ma mère.
    Et avec mon parcours.

    à plus tard! ;)

    En espérant que je saurai me taire, et que je ne dirai que des choses intéressantes à dire, jusqu’a suppression du mal-être, et début du réel bien-être.

    Bise. ;)

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