Bonjour à tous,
Je me sens aimée, c’est comme ça. Je sais que je suis profondément aimée et que ce sera toujours le cas, c’est juste normal pour moi. La Source m’aime, Dieu m’aime, le nom que vous voulez m’aime.
Je sais, avec certitude et contrairement à ce qui m’a été enseigné enfant, qu’il n’y a rien que je puisse faire qui me ferait perdre cet Amour, rien du tout. La Source telle que je la perçois ne punit pas si on n’obéit pas, elle nous laisse libre et elle est neutre. Elle ne juge pas, n’approuve pas et ne désapprouve pas. Elle aime c’est tout, mais d’une telle manière que l’on est obligé de savoir que l’on sera toujours aimé.
Pourquoi est-ce que soudain je tiens un tel discours, je ne sais pas trop. Ou plutôt si je sais, je sens que j’ai besoin de me pencher un peu plus sur ma propre spiritualité, ses fondements, mes croyances, mes certitudes et ce qui n’a plus de raison d’être.
La foi est une flamme vivante me disait avec sagesse Fatima, je constate que la spiritualité évolue à mesure que cette flamme grandit ou non. En l’occurrence, je suis paumée. Ca fait vraiment bizarre, j’ai vécu des choses difficiles au cours desquelles ma foi et ma spiritualité me permettaient de continuer à vivre.
Aujourd’hui que je vois un horizon plus favorable se dessiner devant moi, je sens le sol devenir instable sous mes pieds. Aurais-je fait fausse route quelque part ? Parlons de ce nouveau boulot, nettement plus intéressant et mieux payé, à deux pas de chez moi (encore plus près que l’actuel qui est à moins de 5 km de la maison), au départ en vérité il ne me faisait pas rêver. Mais quand j’ai compris que j’avais vraiment ma chance, j’ai vu l’opportunité de quitter enfin une situation qui me déplaisait.
Ensuite les choses se sont si bien enchainées, j’étais contente. Je le suis toujours quand je repense au fait que dans cette nouvelle entreprise, il existe de vraies possibilités d’évolution. Seulement ça me parait secondaire. J’ai compris qu’en fait je suis toujours là où je dois être sur le plan matériel, qu’il n’y a pas d’erreur.
Donc pourquoi suis-je paumée ? Je ressens un appel, de plus en plus fort mais je ne parviens pas à l’identifier. En même temps, il n’est pas pressant, comme si j’avais tout mon temps pour arriver à quelque chose d’essentiel qui de toute façon m’attendra.
Et cette chose essentielle c’est la Source, je le sais. Qui attend que je l’aime comme elle m’aime.
Est-ce que j’aime Dieu ? Est-ce que j’aime tout court ? J’ai appris à m’aimer en tant que personne humaine. Aujourd’hui puis-je aimer Dieu aussi ? Comme je sais être aimée ? J’ai envie de dire oui, cet Amour-là est tel que j’ai envie de dire oui.
Mais est-ce bien ce que je ressens, je ne suis pas si sure. Je contemple ma propre foi tout à coup et je sens Son Amour, je sens toujours Son Amour. La sérénité qu’il procure et que je n’ai jamais trouvé ailleurs.
Je ne doute pas d’avoir la foi, je veux bien explorer davantage.
Bonne journée à tous
crystallia
2 février, 2014 à 0:53
Salut,
Merci à vous tous.
Bise
Lilianah
31 janvier, 2014 à 18:02
Moi aussi je t’aime, cocote
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Jonathan
31 janvier, 2014 à 17:10
Prise 2 sans les guillemets.
Il y avait un homme qui avait deux fils. Un beau jour, le cadet des fils demanda : Donne-moi la part des bénéfices auxquels j’ai droit. Le père partagea tous ses biens et ses richesses entre ses deux fils et sans plus attendre, ce fils cadet partit pour un pays éloigné. Et là, il dissipa tout son bien en vivant dans la débauche.
Or peu de temps après cela, une grande famine s’abattit sur le pays. Le jeune homme se trouva dans le besoin. Il vint supplier un fermier qui élevait des porcs pour soigner ses pourceaux. Mais il avait tellement faim que même les gosses de caroube qu’il donnait aux porcs lui paraissaient un délice. Les gorets s’en régalaient. Et personne ne lui permettait d’en manger.
Alors, étant entrer en lui-même, il se dit : Chez nous, chacun même un serviteur a du pain à volonté et de tout en abondance. Tandis qu’ici, moi je meurs de faim. Je vais retourner chez mon père et je lui demanderai de m’engager comme serviteur.
Et aussitôt, il se mit en route. Et comme il était encore à une bonne distance de sa maison, de loin son père le vit qu’il venait vers lui. Il fut profondément ému de compassion. Il courut vers son fils, il serra contre lui et l’embrassa.
Le jeune homme dit : Mon père, j’ai péché conte le ciel et contre toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Mais son père fut venir ses serviteurs et ils leur dit : Apporter –lui vite la plus belle robe et l’en revêtez. Mettez-lui un anneau au doigt et des souliers aux pieds. Tuez le veau gras et mangeons et réjouissons-nous. Mon fils que voici était mort et il est revenu à la vie.
Or, le fils ainé, pendant ce temps, travaillait dans les champs. Lorsqu’il revint et approcha de la maison, il entendit le son de la musique et des danses. Il appela un des serviteurs et demanda ce que c’était. Le serviteur le lui dit. Et à cette nouvelle, le fils ainé fut saisi d’une violente colère et il refusa d’entrer dans la maison.
Le père sorti et tenta de lui parler mais il ne voulait rien entendre.
Quoi, j’ai travaillé pour toi tout ce temps toute ces années sans avoir jamais transgressé une seule fois à tes ordres. Et en tout ce temps, jamais tu ne m’as offert un chevreau pour enfin que je puisse me réjouir un peu avec mes amis. Et quand mon frère cadet arrive, celui qui a mangé ton bien avec des prostituées. Pour lui, tu fais tuer le veau gras. Mon fils, dit le père. Mon fils, essaie de comprendre. Toi, tu es toujours avec moi et tout ce que j’ai est à toi, mais il fallait festoyer et se réjouir car ton frère était mort et il est revenu à la vie. Il était perdu et il est retrouvé.
Un homme qui écoutait l’histoire arriva devant lui et dit : Pardonne-moi maître. Il se mit à pleurer et dit : je ne suis qu’un homme stupide. Le maître s’approcha de lui, en mettant sa main sur son épaule et permettra la réconciliation avec celui qu’il détesta.
Merci.
Jonathan
31 janvier, 2014 à 17:07
Bonjour à tous,
Ça me rappelle une histoire qu’un homme a raconté il y a fort longtemps.
Il y avait un homme qui avait deux fils. Un beau jour, le cadet des fils demanda : <>. Le père partagea tous ses biens et ses richesses entre ses deux fils et sans plus attendre, ce fils cadet partit pour un pays éloigné. Et là, il dissipa tout son bien en vivant dans la débauche.
Or peu de temps après cela, une grande famine s’abattit sur le pays. Le jeune homme se trouva dans le besoin. Il vint supplier un fermier qui élevait des porcs pour soigner ses pourceaux. Mais il avait tellement faim que même les gosses de caroube qu’il donnait aux porcs lui paraissaient un délice. Les gorets s’en régalaient. Et personne ne lui permettait d’en manger.
Alors, étant entrer en lui-même, il se dit : <>.
Et aussitôt, il se mit en route. Et comme il était encore à une bonne distance de sa maison, de loin son père le vit qu’il venait vers lui. Il fut profondément ému de compassion. Il courut vers son fils, il serra contre lui et l’embrassa.
Le jeune homme dit : <>. Mais son père fut venir ses serviteurs et ils leur dit : <>.
Or, le fils ainé, pendant ce temps, travaillait dans les champs. Lorsqu’il revint et approcha de la maison, il entendit le son de la musique et des danses. Il appela un des serviteurs et demanda ce que c’était. Le serviteur le lui dit. Et à cette nouvelle, le fils ainé fut saisi d’une violente colère et il refusa d’entrer dans la maison.
Le père sorti et tenta de lui parler mais il ne voulait rien entendre.
<>.
Un homme qui écoutait l’histoire arriva devant lui et dit : Pardonne-moi maître. Il se mit à pleurer et dit : je ne suis qu’un homme stupide. Le maître s’approcha de lui, en mettant sa main sur son épaule et permettra la réconciliation avec celui qu’il détesta.
Merci et bonne journée.
shaka
31 janvier, 2014 à 10:05
Coucou Sylvie et Carene,
Moi aussi je veux une pensée personnelle !
« Mon idéal s’appelle vie »
« Il est la moitié et le tout »
« là et pas là »
« Un truc que je n’atteindrais peut-être jamais »
« Mais bon… »
« C’est aussi ça la vie. »
*Pokerface*
Plus sérieusement (et pourquoi devrait on être plus sérieux d’ailleurs ?)…
Si l’appel n’est pas pressant je suppose qu’il n’y a plus qu’à « observer le paysage défiler en voiture » en alternant entre le volant et le siège passager
La sérénité, je crois que c’est très important pour un humain.
A peluche
Carene
31 janvier, 2014 à 7:58
Bonjour Sylvie
A la lecture de ton billet, il me vient l’envie de partager une petite pensée personnelle que je viens d’écrire. La voici :
« Mon idéal m’appelle encore et toujours. Impossible d’y échapper… à défaut je me renie…
Un tel idéal réclame la force de la conviction, le courage de ses opinions et surtout la patiente d’être construit pas après pas.
J’invoque mes anges pour me donner la force, le courage et la patiente d’y parvenir.
A compter d’aujourd’hui, je suis sereine car je sais que chaque jour me rapproche un peu plus de mon idéal… »
Il faut savoir que mon idéal permet de mettre en phase l’être humain et l’être spirituel que je suis et cela me donne l’espoir d’être un jour à l’image de la source : pur Amour ! Le lien avec ton billet se trouve peut être ici ?! A toi de voir !!!
Bises et à bientôt