Bonjour à tous,
Aujourd’hui je vous propose un petit exercice. Nous allons dessiner notre route spirituelle idéale. Dans un premier temps.
Allons-y simplement, pas question d’objectif à atteindre, de but, de dépassement. Notre route idéale est un simple banc. Ou un bateau. Ou un avion. Une paire d’ailes. Une sublime paire de chaussures. Une vieille paire de chaussures. Ou une corde à sauter ? Une balançoire, un ballon de foot…
Quel que soit ce qui vous touche ou vous apparait, si vous ne voyez rien d’autre qu’une longue et interminable route, vous ne pouvez pas être sur cette route idéale. Vous ne pouvez pas. Si vous le comprenez, allez vous servir une bonne tasse de thé, vous réessaierez demain, après-demain, peu importe.
Si vous ne le comprenez pas, dîtes-vous bien que long et laborieux, ce peut être une option aussi. Si elle vous tente, allez-y. Personnellement, je serais davantage intéressée par la tasse de thé toutefois. Avec une bonne part de gâteau au chocolat, ou votre gâteau préféré. Non, laborieux c’est mieux ? C’est vous qui voyez.
Donc, pour ceux qui sont assis sur leur banc ou en train de courir après le ballon de foot, ceux qui profitent de cette agréable route, la première partie de l’exercice est terminée.
Passons à la seconde. Votre cœur s’ouvre et vous sentez cette force particulière qui est un mélange d’intuition, d’assurance, de calme et de puissance. Elle passe au travers vous, vous entoure et surtout vous guide sur ce chemin.
Si vous ne la sentez pas, si au contraire vous avez la sensation de n’être entouré que d’Amour, restez encore un moment ainsi puis retournez à vos occupations tranquillement, cet Amour vous accompagnera et vous le savez.
Si vous sentez tout autre chose, demandez simplement à que l’on vous ramène chez vous, vous serez exaucé. Ensuite allez tranquillement vous servir un peu de thé. Vous réessaierez plus tard, il n’y a pas d’urgence.
Pour ceux qui sentent cette force particulière, qui sont donc parvenus à dissocier l’espace d’un instant leur état humain de leur être spirituel, visualisez à présent votre chemin terrestre idéal.
Visualisez le parcours qui vous permettra de vous réaliser sur tous les plans. Pour ce faire, il suffit de savoir qui nous sommes et de l’accepter. Si vous êtes parvenus jusqu’à cette étape vous savez déjà que si vous aviez dû vous appelez Heidi Klum ou Steven Spielberg, ce serait le cas.
Vous êtes de ceux qui savez que le bonheur est accessible à chacun. Vous allez simplement tendre la main et regarder la route prendre forme. Vous allez regarder ce qui devant vous est accessible, parce que vous êtes humainement et spirituellement la personne que vous êtes.
Passons maintenant à la dernière étape. Nous allons faire le trajet inverse et revenir à notre état humain. Sentez cette force particulière rentrer en vous, sentez que de toute manière elle est là, à disposition. Sentez la présence des êtres qui vous sont chers, oublier la voie terrestre idéale, demandez à l’oublier. Demandez à l’oublier en ayant confiance, en vous, en l’univers, en la vie.
Demandez à retourner tranquillement chez vous avec la certitude que vous vous réaliserez comme vous le devez. En temps et en heure. Le chemin facile est celui de la Foi de celui qui sait pour avoir éprouvé. Celui-là n’attend rien, il sait que ce qui est pour lui est pour lui.
Bonne journée à tous
crystallia
10 février, 2014 à 17:10
Coucou !
En même temps c’est bon le thé, avec des petits gâteaux…
Bise
Camille
10 février, 2014 à 13:01
COucou,
OUa, c’est beau ce que ton rêve Camille !
Moi j’ai lutté pour faire cette médit ! mdr
Déjà rien qu’au début, je voyais un trait en spiral … mdr le coup de la tasse de thé, hein ^^ ca tombait bien !
Bises
crystallia
10 février, 2014 à 2:39
Salut Chouchou,
L’Amour t’accompagne, je comprends ton désir.
Bise
lapriereducompositeur
9 février, 2014 à 21:55
Coucou,
en lisant ton article cette nuit une image me venait sans cesse, celle d’une main qui tenait la mienne. Et je marchais sur du sable dans une sorte de jungle assez accueillante, touffue cependant, mais avec un petit chemin de sable sinueux.
Sinueux mais mignon.
Et cette main ne me lâchait jamais.
Je n’ai pas envie d’oublier cette main que je tenais, cette personne qui cheminait avec moi en riant, dans une joie palpable, une légèreté précieuse.
Des bisous.