Bonjour à tous,
En fin de compte ces quelques coups de soleil de dimanche dernier étaient de trop. Insolation, a dit le médecin. Ok, je tâcherai d’acheter de l’écran total avant dimanche prochain parce que j’ai un autre plan de prévu. Il est important de ne jamais se laisser abattre.
« Et de boire de l’eau. »
Aussi, il parait que je suis déshydratée. Autant pour moi. Mais je vais me remettre.
« Eh oui, tu vas te remettre, petite Sylvie. Tu as fait une bonne sieste ? »
Oui, c’était sympa.
« Mieux que d’être au travail ? »
Voyons je suis malade, il est normal que je reste à dormir.
« Comment vas-tu Sylvie, pas physiquement, à l’intérieur ? »
Pas mal au point de vouloir faire des siestes tout le temps.
« Mais encore ? »
Il y a une drôle de zone calme. Elle n’était pas là avant. En fait il y a quelque chose de bizarre…
« C’est-à-dire ? »
Comme un palier que j’aurais atteint.
« Bon. Tu as fini l’histoire de Yahetel finalement. Tu l’as relue également. Qu’en as-tu pensé, sincèrement ? »
Yahetel est un démon n’est-ce pas ?
« Oui. »
Je ne le savais pas au départ. Il était souvent avec Roéchel, j’ai cru qu’il était aussi un ange sombre. C’est récemment seulement qu’il m’a montré ses énergies. Elles sont beaucoup plus grandes que les miennes.
« Oui. »
Pourtant, il n’a pas dirigé mon inspiration.
« Non. »
L’histoire, elle est la réponse à la question que je me posais, à quoi ressemble l’initiation au milieu. C’est Eledahiel qui m’a guidée.
« Eledahiel t’a appris à analyser tes rêves et t’a aidé à développer ta médiumnité. Quand tu as été prête à écrire, elle t’a aidée à laisser venir ce que tu voulais formuler. Les anges du milieu vous montrent ce qui est accessible. »
Oui mais du coup, moi je me suis lancée dans une fiction. Là, ça ressemble à un roman. Un roman jeunesse en plus.
« C’était amusant à écrire ? »
Oui.
« Alors le message a pris la forme qu’il devait. C’est tout. »
Tu m’as en demandé une aussi Astaroth.
« Oui. Quand tu seras physiquement remise de ton insolation, petite fille imprudente. Si tu avais bu davantage tu ne serais pas malade. Souviens-t’en. »
Je vais m’en souvenir t’inquiète…
« Évelyne a perdu son travail. »
Oui. Liquidation judiciaire, c’est fini.
« Tu connais le sentiment d’usure personnelle ? »
Non, qu’est-ce c’est ?
« Écris-moi une histoire. Ce que tu voudras. Dès que tu seras remise et que tu n’auras plus ni nausée ni mal de crâne ni envie de dormir. Une histoire qui t’amuse, écris-là pour te faire plaisir, comme la première. D’accord ? »
Ok. Merci à toi.
Bonne journée à tous
crystallia
8 août, 2014 à 1:33
Bonjour,
Émilie, j’aime bien l’image.
Bise
emilie
6 août, 2014 à 10:47
Bonjour,
Eh, moi aussi je suis bloquée ! j’ai un torticolis un peu douloureux et je n’arrive plus à tourner ma tête à droite. Je me doute que c’est de ma faute car j’ai encore voulu trop en faire et soulevé des poids trop lourds pour moi.
Ce qui est possible n’est pas forcément bon et adapté car même si on a l’énergie pour soulever une montagne, nous ne somme pas forcément capable de supporter physiquement la dépense.
Entre le coup de soleil et l’insolation, on retrouve le même problème de conscience de nos besoins physique qu’il est nécessaire d’apprendre à respecter.
camille
6 août, 2014 à 9:55
Coucou Sylvie,
j’allais te renvoyer un message ce matin pour te dire « ….nevermind », mais comme tu as repondu alors soit !
snif ! je ne comprends meme pas mes besoins ! rahhhh ca m’agace !!!
faut que j’essaie de me faire plaisir…. c’est bien deja de commencer par se faire plaisir….. faudrait que j’essaie.
Merci pour ton doux rappel….
bises !
crystallia
6 août, 2014 à 1:58
Salut,
Si je ne me suis jamais sentie bloquée ? Si. Des tas et des tas de fois.
Pourquoi veux-tu créer ? Qu’est-ce qui te motive vraiment ?
La panne d’inspiration vient souvent d’une motivation qui ne correspond pas à nos vrais besoins.
Bise
Camille
5 août, 2014 à 22:15
Coucou Sylvie,
Comment tu fais pour te lancer à écrire ?
C’est marrant, mais je n’arrive plus à écrire, et plus à rien d’autres d’ailleurs et pourtant, je sais que beaucoup de choses n’arrivent pas à sortir.
Un ange que j’ai rencontré en rêve m’a conseillé de choisir 6 thèmes et de tirer le fil. Mais ca m’énerve, je n’arrive même pas à choisir les premiers mots.
Ca me frustre.
En même temps, qu’est ce qui ne me frustre pas ces derniers temps ?
Nan mais franchement, c’est dur parce que je sais que je pourrai écrire des tas de choses et pourtant c’est comme si j’avais un boulet qui m’empêchait d’ouvrir la porte.
Parfois, je me demande pourquoi on me dit des trucs et que derrière après ça ne me sert à rien ou ça ne marche pas.
Pourquoi me conseille t on d’écrire si rien ne sort ?
ou de peindre une toile et rien ne vient.
Tu vois… et par contre, quand je ne demande rien, mais que par hasard, je me demande où tu en es sur lécriture des rêves spirituels, un guide me les montrent tous les uns après les autres en me les explicant…
Ca m’énerve.
Purée…. il est où le mode d’emploi.
Je repense à ces personnes qui disent, les génies ne sont rien sans leur inspiration.
J’ai l’impression de n’être rien sans la mienne. Je ne peux ni peindre, ni écrire.
J’en ai marre de ce décalage entre les conseils des rêves et la réalité.
Tu aurais un truc pour passer le cap ?
J’essaie les mangas, ca me déporte de la réalité, me fait du bien le temps de lire et dès que je retourne à la réalité, à ce vide face à la porte bloquée, c’est pareil.
Tu ne t’es jamais senti bloquée?
Bises