Bonjour à tous,
C’est enfin le weekend, l’heure est venue de profiter de notre temps libre. Ceux d’entre vous qui n’habitez pas la Martinique ou à proximité d’une plage agréable avez certainement des projets intéressants aussi je pense. Je suppose…
C’est vrai, même la grisaille parisienne à son charme par exemple. Je suppose, une fois de plus…
Au fond l’essentiel c’est d’avoir un ou des lieux dans ou près desquels il nous est possible de ressourcer. Et je suis bien obligée d’admettre qu’un centre commercial n’est pas un lieu de ressourcement. Oui, même moi je l’admets.
Il arrive qu’on ait besoin de cette magie que l’on ne trouve qu’au cours d’une balade. Quand notre cœur, touché par des énergies que l’on ne croise que lorsqu’on va à leur rencontre, sourit et soudain tout notre être s’élève.
Pourquoi a-t-on besoin d’aller à la rencontre de certaines énergies ? Pourquoi ne peut-on pas simplement les appeler ?
En réalité cela est possible oui. Mais il arrive que l’effort le plus intéressant, celui qui nous permettra de récolter les plus beaux fruits, soit celui qui nous amène à sortir de notre routine habituelle.
Bonne journée à tous
crystallia
24 août, 2014 à 15:42
Bonjour Arc,
Je me lève rarement au-delà de 6h30. Même le dimanche. Et même si je me suis couchée tard. Mon corps n’a pas l’air d’apprécier les grasses matinées.
Les médecins que j’ai vu, même le dernier, me disent tous d’attendre d’être prête à faire un enfant.
Mais en attendant je me sens embarrassée avec. Je serais contente que tu te renseignes, merci.
Bon dimanche.
Arc
24 août, 2014 à 13:48
Bonjour Sylvie,
Alors on efface on oublie ça. Nous avons toutes les deux besoin de renouveau il me semble.
Dis-moi, tu te lèves avant le soleil ? Un dimanche…
C’est drôle, je suis aussi en train de peindre un cadre depuis hier.
Est-ce que tu as un traitement pour ton fibrome ? Voudrais-tu que je me renseigne précisément la prochaine fois que je verrai mon médecin anthroposophe ?
Pour régir à ton texte d’aujourd’hui, l’humour-venin m’inspire surtout du mépris. Par contre, j’adore l’autodérision et l’humour léger-joyeux-complice.
Bon dimanche
crystallia
23 août, 2014 à 23:04
Bonjour,
Ça m’apprendra à écrire comme je parle alors que tu ne pouvais pas entendre à ma voix que je ne te donnais pas d’ordre.
Je m’excuse de t’avoir offensée.
Bonne soirée.
Arc
23 août, 2014 à 21:29
Bonjour,
Avec plaisir, dans un contexte sympa. Puisque je le propose. Il y a même une possibilité que les portes te soient ouvertes.
Cela dit, si au contraire c’est dans le but de t’apporter une preuve, ce sera sans moi.
Je n’aime pas le ton de ta réponse. « M’en tirer à si bon compte »… tu parles comme si j’avais commis un méfait et que tu allais me coincer. Non mais ça va pas ? Tu n’es pas la seule à être sensible Sylvie.
Quand au « Salut », je n’ai jamais pu m’y faire. Il a quelque chose de cinglant. Je préfère un vrai bonjour, plein. Ou rien du tout. Si nous étions de petits scouts, ce serait autre chose ; mais à notre âge… ceux qui sont sensibles à l’énergie des mots comprennent surement.
Je ne suis pas une lèche-bottes, et comme beaucoup d’êtres liés à la Lumière, je peux me montrer exigeante, voir intransigeante ou sévère selon le contexte, ce qui ne plaît pas toujours… (et juste chiante, aussi. Mais ça ce n’est pas lié exclusivement à la Lumière je crois.) Cela ne m’intéresse pas d’ériger une façade lisse et inauthentique : j’assume ma condition d’être humain sur ce point.
A plus
crystallia
23 août, 2014 à 17:50
Salut,
Tu ne vas pas t’en tirer à si bon compte, tu peux m’envoyer la photo par mail.
Merci bien.
Bise
Arc
23 août, 2014 à 13:20
Bonjour,
Et bien, si nous pouvions partager nos photos personnelles dans les commentaires, j’aurais placé la vue qui s’offre de ma fenêtre, et qui ressemble à celle de la plage que tu avais publiée le 28 juillet, version terre celte. De la fenêtre d’où j’écris, ou je ne vois que chênes et hêtres, le jeu de couleurs entre l’eau et le ciel mouvant, et un filet de montagne. Si je me déplace à la cuisine, la vue est identique, dans un cadre parme. Il y a deux étagères pleines de livres culinaires, une pour le salé, une pour le sucré. Je tend à ne jamais manquer un coucher de soleil sur cette magnifique étendue d’eau (si je suis à la maison).
Tu as raison, c’est important de sortir et de faire notre part du chemin à la rencontre des énergies qui vont nous transformer. C’est important de vivre vraiment.
Bonne journée, soleil