Bonjour à tous,
Je reprends le travail demain. Et dans quinze jours je pars en vacances !!!
« Ça va mieux ma douce Sylvie ? », me demande Lauviah.
Oui.
« Je ne te parle pas de ta cheville. »
Je sais, ça va…
« Tu vois, il est normal par moments de se sentir un peu impatient. Et dans la foulée de faire des choses que vous regrettez dans l’instant.
Il arrive aussi que vous ayez de bonnes raisons d’éprouver des regrets. Pourtant ce qui importe, ce sont les raisons de votre impatience.
Alors, pourquoi étais-tu impatiente ? »
Je ne sais pas.
« Tu ne sais pas ? »
Non.
« Tu ne veux pas m’en parler peut-être. »
Pas maintenant. Je suis juste dégoutée. Parce que je sais que j’ai fait une bêtise et je l’ai faite toute seule.
« Y aura-t-il des conséquences matérielles préjudiciables ? »
Non…
« Pourras-tu te relever ? D’un point de vue égotique. »
Je me remettrai oui.
« Remets-toi dès à présent dans ce cas. Souviens-toi de ce que nous t’avons toujours dit. Si tu dois pleurer, prends cinq minutes pour le faire. Et ensuite relève la tête, tes larmes sècheront tandis que tu avanceras. »
Ok, alors on va prendre cinq minutes. Je me sens frustrée, à plusieurs niveaux. C’est la cause de mon impatience. Je ne sais pas que faire d’un tel sentiment. Il me dérange. J’ai l’impression que je ne parviens pas à faire des efforts dans la bonne direction. Et je ne sais pas comment m’y prendre.
« Peut-être n’y a-t-il pas de bonne direction. Peut-être n’as-tu pas commis autant d’erreurs que tu le penses. Peut-être que même aujourd’hui tu as fait ce que tu avais à faire, car tu as fait ce que tu souhaitais faire.
Et peut-être que l’absence de préjudice réel est bien le signe que tu n’as pas commis l’erreur que tu penses.
Quand tu as été expulsée et que tu es retournée vivre chez tes parents, il y a une chose que tu as comprise. Une chose que jusqu’à maintenant tu es la seule à savoir. Vous n’avez jamais été inquiétés, vous n’avez rien eu à payer, tu as trouvé du travail en un mois.
Peut-être que pour d’autres choses non plus, tu n’as pas commis tant d’erreurs. »
Tu vois, j’aimerais mieux que tu me dises qu’il est tant que je me reprenne et que je me mette au travail, parce que ça au moins, c’est un langage que je connais et je sais faire. Tu comprends ce que je suis en train de te dire ?
Je suis toute seule à savoir que je n’ai pas fait d’erreur il y a cinq ans. Tu comprends ce que je te dis ? Ma sœur et ma mère commencent seulement à réaliser que finalement, Dieu nous réservait de bonnes choses, ce sont les mots de maman. Quand elle regarde, aujourd’hui. Ma sœur le pense également. Mais, cinq ans. Tu comprends ?
Aujourd’hui, seulement aujourd’hui, maman commence à réaliser que peut-être, je n’ai jamais perdu la tête. Aujourd’hui.
J’ai l’habitude de me relever, de ravaler ma fierté, mes déceptions, de faire avec le peu que j’ai devant moi et malgré tout ce que je voudrais et que je n’ai pas. Je pourrais continuer encore, je sais avoir les nerfs et le mental qu’il faut.
Néanmoins, il arrive, je le reconnais, que je fatigue par moments. Et en pareils moments je sens arriver, resurgir devrais-je dire, la frustration de celle qui est incapable de prouver avoir raison.
Et tu vois, je m’en veux de me plaindre encore ainsi quand effectivement, aujourd’hui, je n’ai aucune raison concrète d’être inquiète.
Pourtant je n’arrive plus à respecter mon régime, mes taux de vitamine baissent, ma tension baisse, je suis éprouvée physiquement et je sais que le problème n’est pas extérieur.
Alors, cela ne m’aide pas de penser que je ne me suis pas trompée en route. Cela ne peut pas m’aider, parce que ça veut dire que tout est juste normal. Tu comprends ?
Tu vas certainement trouver cela ridicule mais, si demain je rencontre quelqu’un je me demande comment je vais lui parler de moi et de mon parcours atypique. Si bien que je n’ai pas hâte en fait que ça arrive.
Mon père n’a toujours pas confiance en moi.
Je n’ai jamais perdu la tête. Et j’avais raison, sur le retour chez mes parents, sur mes précédents jobs et sur celui-ci aussi.
« Nous le savons. »
Pourtant je n’arrive pas à être dans la bonne position. Je suis toujours dans la mauvaise, pourquoi ? Pourquoi est-ce toujours à moi d’encaisser ? Tu vois quand on fait des erreurs, on peut les corriger. Mais si je n’ai rien à corriger, quel espoir tu veux que je garde ?
« Nous ne te demandons pas d’avoir de l’espoir, nous te demandons d’avoir la foi. »
Une chance que je sente si bien la Source et son Amour pour moi. C’est la seule chose qui me permette de dépasser la frustration.
Le problème c’est qu’elle revient. Quand l’occasion de faire une bêtise apparait par exemple. »
Ce n’est pas grave. Tu sais bien que ce n’était pas une grosse bêtise. Je t’aime ma belle Sylvie. »
Je t’aime aussi.
« Il y a une toute nouvelle semaine qui commence, une semaine sans gluten. »
D’accord lol !
« Et pourrais-tu te passer des tartines de galettes de riz au chocolat fondu ? »
Non !
« Non ? »
Si j’ai autre chose je peux…
« Passe une belle semaine. »
Merci à toi.
Bonne journée à tous
Miss X
16 novembre, 2015 à 11:31
Bonjour;),
Je l’ai relu, il ya vraiment des choses indémodables, à quel point que j’avais oublié avoir déjà posté sur celui-là. Dingue hein.
Bon, bonne journée, bisou.
Ps: Le gars que j’aime bien est aussi timide que moi. Un comble. On est allés nul part durant la soirée avec des amis, mais j’ai été très heureuse de venir, malgré tout.
Je trouve pas que ça été une erreur totale si s’en était une.
Je peux pas toujours dire que je fais des erreurs quand j’essaye quelque chose qui me plaît et qui me tente mais qui finit pas comme je veux, non?
Le problème il est pas là..lol.
Je parle plus c’est bon.
Bise, et bonne journée.
Amen pour l’article et toi encore!
Et puis tout le monde! Voilà!
Miss X
17 décembre, 2014 à 0:07
J’ai pensé à toi:
Je savais pas ou le poster vu que tu n’as pas (encore!!!) créer de rubrique mode(!!!) (but what are you waiting !!!)lol
http://stylishad.blogspot.com.tr/2014/03/black-tee-shirt-and-shoes-green-bag-and.html
elle est belle , la femme , et la tenue , je trouve..Bon , voilà parce que le lien vaut mieux que les mots xD
bise!
Miss X
16 décembre, 2014 à 23:50
Hm..la nourriture, c’est dingue.
, ah , le goût..lol le plaisir de manger.
Un peu de savoir faire , et , quand tu trouves les goûts qui vont ensembles..
(tomate et fromage caprice des dieux omg)$il était trop salé à mon goût pour être mangé seul.
J’ai eu un pépin de tomate dans une assiette , je l’ai mis machinalement dans ma bouche , j’ai aimé le goût et après je me suis dis…maaaaais! Je peux tenter de le manger comme ça ce fromage , bah , c’est passé crème. Lol , depuis je le mange avec un autre aliment , et je le trouve bon!
Mais seul..non. Bref
La cuisine , quelques aliments , simple , (qui n’a jamais pensé que le truc le plus basique au monde , c’est quand même de se nourrir?
La terre , tu plantes , et ..bon , voilà..je m’y connais pas , mas pas besoin d’avoir fais des études de cinglé pour avoir à se nourrir.)Je me demande comment était la gastronomie à l’époque des Mämmouth xD..bon.
Rudimentaire? xD
Aucune idée..
ils devaient avoir avec leurs propres aliments de l’époque..mamouth écrasé lundi , mamouth avec baies le mardi.. XD
..OOOOk! J’ai ris dis xD (et la mode? xD)avec un peu de terre tu te fais des jolis dessins LOL , y’a eu des moments où ils flanaient , quand même.
Bon , et y’a encore des aborigènes qui vivent de chassent de cueillette , en Australie , non?
Voilàquoi. xD
Article intéressant qui..débouche sur des commentaires culinaires.Lol!
c’est le dernier article où tu ne publies pas avec un dialogue avec tes guides dans la rubrique spiritualité, d’ailleurs! Bise