Bonjour à tous,
Trop d’excès durant la période des fêtes ont mis mes intestins à très rude épreuve. Je sens bien que les pauvres ont envie d’une pause. Alors que moi je n’ai jamais envie de diète et de bouillon. Voilà ce qui arrive quand on mange n’importe quoi n’importe quand, même sans gluten ou lactose.
A l’arrivée mon ventre est tout gonflé. Pauvre ventre. En plus il est douloureux. Pauvre moi. Non ? J’aurais dû être plus raisonnable ? C’est que je n’aime pas du tout ce mot, raisonnable. Il est bien vilain, vous trouvez aussi n’est-ce pas ?
Ah la la…
C’est comme pour le shopping, l’excès en tout, nuit. Alors puisque j’ai décidé de ne plus me blâmer, essayons de voir la raison de tous ses excès. Et quand je me pose la question, je vois toutes ces énergies plombantes qui me donnent envie de fuir, à ma manière. Je sens que la solution ne se trouve pas dans « je dois » mais bien dans « j’aime ». Restons dans j’aime.
J’aime ne pas avoir mal au ventre par exemple. Et justement je connais une solution toute simple, cuisiner. Comme quoi, il n’y a pas besoin de se casser la tête parfois, il suffit de réaliser qu’une petite sauce miel citron, comme chez le chinois à côté de mon travail c’est bon et simple à préparer. Je peux trouver la recette. Et au moins, je saurai tout ce qu’il y a dans le plat. Car la sauce soja ne me réussit pas toujours.
En fait, faire des choses moi-même me permet toujours de me sentir mieux et d’évacuer plein d’énergies difficiles. Un peu comme quand j’ai eu le chikungunya. C’est curieux mais plus je restais prostrée parce que j’avais mal, plus j’avais mal. Dès que je me décidais à bouger, je sentais que mon corps retrouvait sa vigueur.
Eh ben c’est pareil avec les énergies plombantes. On n’est pas obligé de rester à les subir. On peut se bouger un peu. Et ça marche en plus.
Allez, parfois le vrai problème c’est simplement sa propre fainéantise. La mienne en l’occurrence. Heureusement, je connais le remède.
Bonne journée à tous
crystallia
7 janvier, 2015 à 2:49
Lucie, j’ai plein de rappel de cet article, toutes les filles s’appellent Lucie…
Enfin, c’est vrai la fainéantise appelle la fainéantise. Mais lorsqu’on se donne du mal on est content et la satisfaction aussi appelle la satisfaction !
Bise
Emilie
6 janvier, 2015 à 13:02
Coucou,
Une amie était passée me voir en fin d’année et a entendu une voix dire : « le facteur passe aussi le dimanche ».
Dimanche matin, j’avais cette phrase sur l’expérimentation qui permettait la progression et puis aussi « Lucie » (ma nièce s’appelait Lucie et puis toutes les filles s’appellent Lucie…).
Le juke box 2015 s’en donne à coeur joie et je ne sais pas si cela fait partie de l’expérimentation (à quoi on joue en fait ?).
Néanmoins, si quelqu’un d’autre que moi se sent touché et a envie de lire au travers de ses lignes, voici la dernière chanson en date
https://www.youtube.com/watch?v=WB6pN5r4ZZU
Jenny
5 janvier, 2015 à 23:02
Et oui la fainéantise appelle la fainéantise. Dur dur parfois de bouger et pourtant on est tellement plus heureux d’avoir fait des trucs plutôt que rien. Faut juste s’en souvenir pour la fois suivante