Sur les flots déchaînés je vois passer des hordes de chevaux sauvages,
Je fais un effort alors, je tempère ma fureur, je me calme.
Sur les flots endormis j’observe le lever du soleil,
Je souris, je me dis que tout est encore à faire et que rien n’est donc jamais perdu.
Sur les flots magnifiques je réalise pourtant que tout se mêle en fait et que le plus important,
C’est que j’accepte mon chagrin.