Bonjour à tous,
Pour démarrer cette belle semaine, je vous propose un petit exercice extrêmement simple.
Vous arrivez devant un pont qui ne s’abaisse qu’à minuit. Qu’est-ce qui vous attend de l’autre côté ?
Une fois n’est pas coutume, voici la bonne réponse : cet Autre.
Mais qui est-ce ? Et dans quel cadre ? Voici encore une fois la bonne réponse à cette dernière interrogation : chez vous.
Alors, qui est cet Autre et à quoi ressemble donc votre chez vous ?
Pour la dernière fois voici la seule réponse correcte : vous ne savez ni l’un ni l’autre.
Voilà, extrêmement simple donc. J’ai bien hâte de vous lire. Une dernière chose, l’indication de départ au sujet du pont, a son importance.
Je vous dis tout de suite pourquoi, le pont de minuit est l’élément qui me permet de vous inviter à vous projeter énergétiquement dans une « direction » donnée.
Ceux d’entre vous qui se sentent donc capables de se passer du cadre de départ, peuvent le faire.
Bonne journée à tous
crystallia
23 avril, 2015 à 1:00
Magnifique Chouchou !!!
Bise
lapriereducompositeur
23 avril, 2015 à 0:34
Coucou!
trop de Camille tue la Camille… -_- de toutes manières je suis presque déjà morte vu comment je suis malade d’où le fait que je ne passe que maintenant.
Bon alors.. le pont est un pont manifestement en bois, pas très grand, avec de jolies arches pas trop hautes.
Et la chose manifeste qu’il y a c’est que… dans le ciel il y a une lune très lumineuse qui se reflète à la surface de l’eau.
J’arrive dans un endroit très verdoyant (même si vu l’heure, il fait plutôt noir, mais il y a plein d’arbres), il y a une maison un peu plus loin, mais tout est silencieux comme dans la nuit, l’eau est tranquille, pas de vent. C’est très beau.
Et cet autre qui est en face de moi a comme deux visages qui changent comme si je zappais devant ma télé. Parfois le visage est celui d’un homme brun, jeune, beau (naturellement XD ), et parfois c’est une femme rousse au cheveux longs et lisses et à la peau blanche (évidemment), et très belle (évidemment).
Je ne comprends pas bien qui est ce personnage en face de moi donc. Mais j’ai des éléments précis le concernant, qu’il aie un visage de femme ou d’homme, il a toujours un sourire très doux sur les lèvres, pas un sourire très très marqué, juste le genre de sourire tendre et rassurant.
Il a des yeux très doux eux aussi, assez brillants, foncés je crois, et surtout… il me prend la main, de manière très lente, comme une question, le temps que j’accepte qu’il me prenne la main.
Tout est flou en somme, sauf le fait qu’il me prenne la main avec cette infinie douceur, cette choses qui donne infiniment confiance, et ce sourire léger.
C’est évidemment un personnage qui ne me fait aucunement peur. Ni en femme ni en homme. Il m’intrigue juste. Mais je n’ai finalement pas tant de questions que ça au fond de moi.
Voilà… bon je suis peut être à coté de la plaque hein, j’en sais rien. Peu importe.
Des bisous.
crystallia
22 avril, 2015 à 23:41
Bonjour,
Cesse de croire à ce qui peut tout consumer.
Tu verras ce qui ne peut être détérioré.
Bise
Emilie
22 avril, 2015 à 8:01
Bonjour Sylvie,
Désolée d’intervenir en aparté par rapport à ta réponse pour Camille et Camille.
Ces mots « voir pour avoir » résonnent douloureusement car ils font échos à un message assez obscure qui date déjà de près d’un an. On me disait de Voir; que je pouvais voir mais que j’avais peur de prendre ce qui ne m’appartenait pas. On me disait que ce n’était pas grave car je pouvais toucher avec les yeux. Quand j’ai vu le papillon bleu s’envoler et devenir jaune, cette histoire de « toucher avec les yeux » est revenue sur le tapis. J’essaie de comprendre avec mon coeur pour ne pas tomber dans la procrastination. Quand j’ouvre mon coeur, il n’y a pas de petit coin protégé où je me sente en sécurité et si je sais qu’il existe, il n’y a pas de limite pour éviter que je ne ressente ce qui l’entoure comme une menace permanente. Comment faire pour toucher des yeux sans être touchée par ce qui peut vous consumer?
J’ai le sentiment que ce qui n’est plus doit être consumé pour que « ce qui sera » puisse voir le jour.
crystallia
22 avril, 2015 à 1:42
Bonsoir,
Camille et Camille, l’univers se limiterait-il à ce que vous pouvez voir ? Pour avoir ?
Je vous avais demandé d’imaginer. Moi quand j’imagine, j’ai tout ce que je veux.
Même du sable là où il n’y en n’a pas.
Reprenons, vous mourrez de soif toutes les deux, mais pas une goutte d’eau ou de liquide à l’horizon.
Alors, comment survivez-vous ?
Peut-être qu’avec un exemple faisant appel à votre instinct de survie ce sera plus facile.
Lara, tu devrais essayer toi aussi. A une différence près, il y a un lac d’eau saumâtre devant toi.
Bise
Camille-Fraise
21 avril, 2015 à 21:18
Coucou,
Ta phrase m’a perturbé toute la journée.
« Imaginez que vous souhaitez construire un château de sable mais qu’il n’y a pas de sable. »
Nan mais, pourquoi je voudrais faire un chateau de sable alors qu’il n’y a pas de sable ?
Pour moi, je ne vois pas du tout comment je pourrais en avoir envie si de toute manière il n’y a pas de sable.
C’est comme vouloir des fraises dans un pays où personne n’en vend. Y penser serait frustrant. Je préfère regarder ailleurs et ne pas en avoir envie.
Pour le coup, je prendrai peut-être des petits cailloux et des bouts de bois pour faire un chateau.
Bref… ca m’a tracassé quand même. Je me disais que peut-être j’étais trop terre et à terre et pragmatique. Mais ch’sais pas… je fais avec ce que j’ai sous la main…. et puis c’est tout.
Je me rappelle d’une phrase qui m’a vachement marqué dans Ink Master. Il disait « Un artiste peut créer avec rien et n’importe quoi. »
Bref…
Bisous !
Witchlight Dreams
21 avril, 2015 à 21:17
Bonjour Sylvie,
Cette question me laisse un peu perplexe. Est-ce qu’on veut combler l’envie ou construire un château malgré tout ?
Je m’imagine sur une plage malgré tout. Mais comme je ne peux pas prendre le sable, j’utilise des brindilles pour faire l’armature du château puis je les tapisse de feuille de saule pleureur (ne me demande pas pourquoi cette espèce O_o), mais le vent souffle et détruit mon château. Je ne suis pas contente.
Alors cette fois, je décide d’utiliser l’eau de la mer, je la fais venir avec mes mains (par télékinésie?) et forme un château liquide. Je la transforme en glace pour que le château reste solide. Puis j’entoure le tout d’une bulle magique de protection, pour que le soleil ne le fasse pas fondre.
Je reste sur un sentiment de malaise et de danger malgré tout.
Bise,
Cel
Bluebird
21 avril, 2015 à 12:21
Bonjour Sylvie,
Merci pour ta réponse.
Grave, non. Frustrant, oui !
et parfois, il y a aussi une grande tristesse qui remonte.Je me sens coupée de quelque chose de précieux, quelque chose d’important pour moi.
Dans ces moments,je me sens exilée. Même si j’ai oublié d’où et de quoi…
Bise
Alexandre
21 avril, 2015 à 10:03
Cristal noir désolé pour l erreur biz
crystallia
21 avril, 2015 à 1:50
Bonjour,
Camille et Camille, oubliez le pont. Imaginez que vous souhaitez construire un château de sable mais qu’il n’y a pas de sable.
Qu’est-ce qui pourrait vous aider à combler cette envie ?
Lara, c’est si grave de faire des projections ? D’une manière générale j’entends.
Bise