Bonjour à tous,
Pour démarrer cette belle semaine, je vous propose un petit exercice extrêmement simple.
Vous arrivez devant un pont qui ne s’abaisse qu’à minuit. Qu’est-ce qui vous attend de l’autre côté ?
Une fois n’est pas coutume, voici la bonne réponse : cet Autre.
Mais qui est-ce ? Et dans quel cadre ? Voici encore une fois la bonne réponse à cette dernière interrogation : chez vous.
Alors, qui est cet Autre et à quoi ressemble donc votre chez vous ?
Pour la dernière fois voici la seule réponse correcte : vous ne savez ni l’un ni l’autre.
Voilà, extrêmement simple donc. J’ai bien hâte de vous lire. Une dernière chose, l’indication de départ au sujet du pont, a son importance.
Je vous dis tout de suite pourquoi, le pont de minuit est l’élément qui me permet de vous inviter à vous projeter énergétiquement dans une « direction » donnée.
Ceux d’entre vous qui se sentent donc capables de se passer du cadre de départ, peuvent le faire.
Bonne journée à tous 
lapriereducompositeur
27 avril, 2015 à 22:00
« Conclure »… mouahahahaha coquine!!! XD
Witchlight Dreams
26 avril, 2015 à 20:47
Bonsoir,
« cet espace merveilleux (et qui vous ressemble) où tous vos besoins sont comblés »
Pas réussi…
Bise,
Cel
camille Fraise
24 avril, 2015 à 20:18
Coucou ,
bises Sylvie et mici
bluebird
24 avril, 2015 à 7:43
Bonjour Sylvie !
Je me suis réveillée sereine, apaisée. La tristesse est partie.
L’endriot merveilleux où je me sens le mieux du monde est une clairière fleurie avec un ruisseau au milieu d’une étrange forêt. Il y a là une grotte et un très grand arbre. Et beaucoup de soleil. Je viens souvent là en visualisation.
Mais lorsque j’essaie de sentir qu’on m’offrait un bouquet de roses bleues, ça me transporté ailleurs. Et c’est mon compagnon qui m’offre les roses. Sous mon regard, elles deviennent progressivement blanches, comme des plumes, exactement comme la mare d’eau saumâtre était devenue de l’eau pure et bleue. Je le vois nettement, et ça fait du bien de voir le bleu des roses disparaitre, comme de l’eau qui coule. Je me sens plus légère.
Et les roses blanches sentent terriblement bon
Merci Sylvie pour ce beau cadeau…
Bises
Lara
crystallia
24 avril, 2015 à 1:54
Bonjour,
Maintenant, il est temps de conclure en vous visualisant dans cet espace merveilleux (et qui vous ressemble) où tous vos besoins sont comblés.
Lara, dans cet espace on t’offre un bouquet de roses bleues. Que tu vois devenir blanches.
Bise
bluebird
23 avril, 2015 à 23:40
Bonsoir Sylvie,
Merci pour ta réponse aux Camilles et la proposition d’exercice que tu me fais aussi.
Ce soir, c’est facile de me sentir assoifée, mourant de soif. C’est comme ça que je me sens intérieurement. Je suis rentrée à la maison avec une immense tristesse sans raison , et ça déborde.
Je vois la mare d’eau saumâtre. Je suis devant, après une longue route, dans l’espoir de trouver de l’eau. J’ai soif,je meurs de soif. C’est ma dernière chance. Et lorsque j’arrive devant, je réalise que je ne peux pas boire l’eau. C’est horrible. C’est tellement dur à accepter, je me sens des-espérée. Et découragée, épuisée.
Même plus d’énergie pour la colère. Je me sens juste impuissante et perdue. Je suis debout à coté de l’eau, et mes larmes coulent toutes seules. Elles coulent d’ailleurs en vrai en ce moment. J’ai laché prise, j’arrête de me battre, je ne sais même pas comment demander de l’aide.Je me sens comme une enfant innocente, condamnée à tord. Je suis juste tellement dans le besoin que mes larmes font un miracle. Quand elles touchent l’eau de la mare, cela fait comme une onde magique qui se propage, et l’eau trouble, boueuse, devient progressivement translucide et bleue ! Et en même temps, de la lumière se met à briller fort fort fort au dessus de moi venant du ciel, comme un flot de soleil qui accompagne la transformation de l’eau.
Et je peux boire. Je me penche au bord de l’eau et je bois dans mes mains en coupe.
J’observe que la transformation n’a pas touchée la totalité de l’étang, il reste un bout au fond qui est encore saumâtre et brune, mais ce n’est pas grave, je suis tellement heureuse.Et j’avais tellement soif d’eau, de cette eau-là !
Voila. Je suis encore trop émue d’avoir touchée cet endroit de désespoir qui n’arrive même pas à demander de l’aide, muette. Mais aussi je me sens soutenue aidée, et c’est très très bon.
J’arrête, parce que c’est la fontaine de larmes.
Merci Sylvie.
Lara
Camille-Fraise
23 avril, 2015 à 23:13
Coucou,
POur ma part, hum… et bah… si j’ai soif et quey’a pas à boire, et bah, je me casse et je vais où je peux en trouver.
Je pose ma main en sol, craque et ouvre la terre. Je trouve une réserve d’eau souterraine.
Voilà. Je ne vois pas où est le problème.
lol
Bises
lapriereducompositeur
23 avril, 2015 à 19:02
Ah voui « magnifique »? C’est vrai ça?
Tu sais Sylvie, en pensant à cet étrange personnage « multigenre », je me suis dit… je ne l’ai jamais rencontré dans la vraie vie.
C’est vrai, mes plus grands amours ont des choses très communes avec ce personnage, une douceur semblable… mais pas si absolue. Jamais aussi absolue au final.
Presque hein… mais juste pas exactement comme ça. Il me semblait que la différence majeur entre cet autre et ces gens qui m’ont aimée… c’est que ces derniers étaient très meurtris.
Des bisous
Witchlight Dreams
23 avril, 2015 à 10:14
Coucou
Hummm *grognon* Bouh… je me sens nulle des fois, lol.
En m’imaginant dans un désert, sans eau avec un grand ciel bleu, je décide de le lever la tête vers le ciel. Il se met à pleuvoir sans nuage et il apparait dans mes mains une grande vasque en argent pour récupérer cette eau et la boire.
Ou bien, on me propose aussi de me pencher pour ramasser par terre une cruche remplie d’eau qui est apparue.
Mais je ne vois pas ce que cela doit me faire comprendre… Il suffit de demander ??
C’est marrant que tu dises « l’univers se limiterait-il à ce que vous pouvez voir ? »
Parce que justement, une part de moi est très rationnel et a tendance a repousser les choses sans « preuves tangibles ».
Et justement, je n’arrive pas à nommer la Source parce que je suis incapable de lui attribuer une représentation (image, odeur, son ou énergie), parce qu’elle n’a finalement pas de réalité concrète pour moi… car je n’ai manifestement pas réussi à sentir sa présence.
Je sais que tu as dit qu’il ne fallait pas s’attacher à une image ou une représentation. Mais si je ne le fais pas, je m’imagine la Source comme quelque chose d’informe et sans substance, mais gigantesque. Et cela me fait peur. Parce que je ne suis qu’une petite fourmi insignifiante dans la masse, qui pourrait être écrasée par tant de puissance (surement la voix de mon égo).
Je le ressens comme ça, parce que je ne suis pas capable de ressentir son amour et sa bienveillance dont tout le monde parle. Mais c’est parce que je rejette la source et… bref c’est un cercle vicieux sans fin. Snif *va déprimer dans sa tasse de chocolat chaud*
Bise
Emilie
23 avril, 2015 à 7:51
Bonjour et merci Sylvie!
« Cesse de croire à ce qui peut tout consumer.
Tu verras ce qui ne peut être détérioré. »
L’évidence même !