Bonjour à tous,
Aujourd’hui je vous propose un petit exercice. Une méditation toute simple qui a pour but de nous aider à nous recentrer quand nous avons l’impression de ne plus trop savoir pourquoi et vers quoi nous courons.
Installez-vous confortablement où vous voudrez et fermez doucement les yeux. Visualisez un jeune enfant qui court vers vous, affolé.
Faites en sorte de l’arrêter et trouvez les mots pour le rassurer.
Bonne journée à tous 
Fleur
3 juillet, 2015 à 9:13
Bonjour Sylvie,
je veux bien parler de ma relation au divin, mais je ne suis pas sure de comprendre la notion. donc si ça n’a rien à voir, sorry !
alors voilà, à l’intérieur, je n’ai pas bien compris où, j’ai un diamant, ou c’est moi le diamant, je ne sais pas. un rayon de lumière plus que blanc (on ne pourrait pas le regarder car blanc éblouissant comme de la glace en même temps …)traverse ce diamant (ua départ je le voyais comme un viol …) puis il en ressort des couleurs de l’arc en ciel qui rayonne dans toutes les directions. mais les couleurs sont franches, pas comme dans les vrais arc en ciel.
Je ne sais pas faire la différence entre mon Cœur, le Divin en moi … même l’âme ou l’être je ne percute pas !
après j’entends « tu viens de l’ombre, tu es au milieu tu vas vers la lumière », mais depuis hier soir : « tu es de l’ombre » (ce qui m’étonnerais, mais bon …)
(j’ai aussi entendu tu es mage-guérisseuse …)
enfin bon, tout ça c’est bien joli, si j’en avais le courage et le talent je devrais en faire une belle histoire …
Merci !
Gui...Gui
3 juillet, 2015 à 7:33
Bonjour,
Au début je me suis demandé si cet enfant qui courait vers moi n’était pas moi petit que je visualisais assis sur mon banc en tant qu’adulte.Ainsi c’est à moi de déterminer les maux de mon enfance.
Bref je préfère vous faire lire ce que G écrit lorsque ma fille est née.
DÉBUT D’UNE NOUVELLE AVENTURE HUMAINE
Julia est née.
Il était une fois Tout Tout près de la baie des anges,le jour qui vit naître Julia pour la toute première fois au début du printemps.
Waaaaa quel jour magique!
Julia est née?Pourquoi?
Et bien c’est très simple.Elle est née de l’amour d’un homme et d’une femme.autrement dit c’est un bébé de l’amour parmi tant d’autres.
Peut etre retrouvera t-elle des amis nés le même jour au même endroit. laissons çà au bel hasard de la vie.
Je revois encore la maman tellement soulagée qu’elle soit enfin parmi nous.et après cet ange posé contre la poitrine de sa mère,j’ai vu beaucoup de choses s’illuminaient,et des diamants tombés du ciel.quel sentiment insoupçonnable d’être père,trés difficile de l’exprimer avec des mots,mieux vaut le vivre.C’est comme un sorte de nouvel élan qui n’a jamais existé et ne pouvait exister sans le réaliser.Autrement dit le grand cadeau de la vie,après on a vraiment l’impression de marcher sur Terre.Enfin!!!!!!…un tout petit rôle qui ne s’explique pas,il appartient à chaque Papa.
Une nouvelle minuscule goutte d’eau dans une vague…bref un ensemble qui se déroule et vient se fracasser sur le sable poli depuis la nuit des temps.
Tout cela n’explique pas Tout.Tout cet amour ne s ‘est pas fait dans la facilité,d’ailleurs absolument rien ne se fait dans la facilité.
Comme quoi les anges mettent leur grain de sel dans la vie.Même que parfois ils y mettent beaucoup mieux que du sel.Si on ne comprends pas tout.Ils activent une massue qu’ils utilisent que très rarement,uniquement pour les miraculés.
C’est pourquoi un lourd accident est une vraie chance d’être miraculé,qu’ils soient venu des anges ou d’un étourdi qui respecte pas les règles communes et collectives comme la signalétique des feux rouges.
Comment en vouloir aux étourdis?ils ont droit de vie aussi..je suis moi-même dispersé mais sur la route j’essaye de respecter le fait que l’on est pas seul.L’erreur est humaine,la justice des hommes un peu moins.
Le Tout est de tourner la page..mais il faut être patient et travailleur d’ici là.
Le Tout n’est pas de pas se créer des angoisses justifiées dans l’attente ou à travers l’impatience.
Car Tout le monde le sait: »on ne sait pas qui nous mangera »
JULIA EST NÉE,car c’était l’heure…Et Tout lui tends les bras.Sa mère et moi essaieront de lui donner un maximum d’armes pour sa vie,Quelles armes me diraient vous?
la protection,l’amour,la gentillesse,l’honnêteté,la sincérité,le respect des anciens et traditions…en autres.
Pour l’instant le marchand de sable passe bien la voir dans sa chambre.
FAIS DE BEAUX RÊVES Julia …On veille sur toi,mon amour,mon ange..Ma petite cerise sur le gâteau!!!
Alors voilà la vraie histoire puisque vous voulez en savoir plus,bien entendu il y aura des raccourcis…On ne peut présenter 10 ans en quelques mots.le principal est le souvenir,le présent et l’avenir,comme un peu la chanson de Francis Cabrel »je t’aimais je t’aime je t’aimerais »
QUEL BONHEUR DE DONNER LA VIE À SON TOUR.
Pascale
3 juillet, 2015 à 5:11
L’Amour guide tes pas
N’aies pas peur, petite fille
Ce n’est qu’un orage
Tu as peur, c’est normal,
Viens dans mes bras
Tu as raison
Ce bruit dans le ciel est effrayant
Ecoute
Ecoute la pluie qui va chasser le bruit du ciel
Dans le ciel, pour l’instant
Sens le feu qui brûle
Ce sont des énergies
Les énergies dont tu n’as plus besoin
Elles se mêlent, s’entremêlent,
S’agrègent, se dynamisent
Et iront nourrir autrui
N’aies pas peur
Ecoute le vent
Regarde la pluie qui chasse le bruit du ciel
Pose-toi dans ton dos
Repose tes yeux dans la tête
N’oppose aucune résistance
Sens l’énergie monter
Goûte l’instant
De sérénité
Ouvre les yeux
Regarde
Entends
Moi, je suis grande,
J’entends les changements qui bouleversent
Mon corps, mon cœur, mes leurres
J’ai peur
La peur s’en va
Dans l’ombre la lumière
Vois
Va
L’Amour guide tes pas
lapriereducompositeur
3 juillet, 2015 à 3:28
Bon alors, moi c’est un petit garçon.
D’abord je nous visualisais à un endroit où je visualise le plus souvent des choses, mon ancienne maison bretonne, devant la mer… mais BIIIIP! STOP! Ai-je violemment pensé.
Cette maison représente une trahison et une blessure pour moi là dans ma vie, alors j’ai essayé de nous visualiser ailleurs.
Je nous ai placé sur un chemin à coté d’une rangée de petit menhirs.
Et moi, je suis adossée contre l’un d’entre eux, ma peau touchant directement la pierre.
L’enfant cours vers moi, je le regarde, je ne sais pas si je lui dis ou si il comprend spontanément ce qu’il doit faire mais il se calme en une fraction de seconde et met sa main sur un autre mehnir à coté.
Je sais pas trop ce que ça veut dire, mais je peux dire que c’était pas long à visualiser! ^^
C’était manifestement la chose utile à faire.
Des bisouuuus!
crystallia
3 juillet, 2015 à 1:23
Bonjour !
Je constate que vous faites de grands progrès…
Alors, qui veut nous parler un peu de sa relation au Divin ?
Pour qu’on voit le point de vue de quelqu’un d’autre que moi. Ce sera intéressant pour tout le monde.
Bise
Emilie
2 juillet, 2015 à 21:47
Bonjour Sylvie,
Je me demande pourquoi j’ai fait l’exercice, c’était tellement évident !
Il y avait une petite fille qui courait dans tous les sens en pleurant très fort. Je l’ai stoppée pour lui demander ce qui lui arrivait : « j’ai perdu mon papa et ma maman ». J’ai voulu prendre l’affaire en main et lui ai proposé de l’aider à les chercher quand j’ai réalisé que j’aurais du mal. Je lui ai donc dit un peu confuse que nous allions aller à l’accueil les faire appeler pour qu’ils viennent la chercher. C’était en gros la réplique d’une anecdote que j’avais observé (en détail) au supermarché la semaine dernière. Je n’ai pas vu la suite car l’incident qui attiré mon attention s’est ravivé, avec toutes les émotions des protagonistes que j’avais captées sans vraiment les analyser. J’avais du percuter sur quelque chose qui me perturbait.
Fleur
2 juillet, 2015 à 20:58
Bonjour Sylvie !
pfff, je n’arrive pas à visualiser d’enfant apeuré. je n’en n’ai pas envie, et je ne désirais pas forcément faire l’exercice.
Mais ce soir les paroles d’une chanson me sont venues en tête : « prendre un enfant par la main, et l’emmener vers demain » et ça m’a fait sourire et il est évident, pour moi, que c’est en rapport avec cet article !
Bises et encore merci !
Amandine
2 juillet, 2015 à 19:32
Bonjour Sylvie,
J’ai rassuré une petite fille affolée de se sentir seul. Elle était comme effrayée d’avoir été confrontée à certaine personne de son entourage . Je lui est dit de toujours croire en elle et à son monde intérieur.
Que ce qu’il y a dans son cœur est toujours juste et de continuer à rêver . Elle a souri et elle est reparti jouer. Merci pour cet exercice bonne soirée..
Liliane
2 juillet, 2015 à 19:04
Coucou Sylvie,
Alors, mes attentes et moi voulions voir une petite fille mais c’est un garçon qui s’est pointé.
J’étais assise sur un banc dans un parc avec en son milieu un étant et une fontaine. Il faisait beau un peu chaud (je le voyais à la tenue que je portais et aux chapeaux qui ornaient presque toutes les têtes) mais il y’avait un peu de vent. De l’autre côté du bassin , il y’avait un petit groupe de bambins qui recevaient des ballons de la part d’un clown jusqu’au tour du petit qui se faisait presque pousser par ses amis. Je le voyais secoué vigoureusement la tête en signe de désapprobation et puis il a sprinté en criant » O monstre » et en pleurant, les autres ne l’ont pas suivi et le petit courait sans même regarder derrière lui. Je me suis levé pour l’intercepter voyant qu’il était entrain de sortir du parc qui donnait sur la circulation mais il était vraiment fort pour un petit de 5 ans , il a failli m’échapper et moi je n’arrêter pas de dire wo! wo! wo! et il m’a enfin regardé . Je lui ai demandé pourquoi il courait et pleurait comme ça , il m’a dit il y’a un monstre là bas , en montrant l’autre côté du parc. Je lui dit en riant que ça n’en était pas un mais un clown et il m’a dit « tu es de son côté? tu es un monstre toi aussi? ». (même en visualisant j’étais pas prête à ce genre de réponse) j’ai creusé la terre, mis un peu d’eau et mélangé pour faire de la boue et je lui demandé s’il voulait qu’on fasse un jeu et biensûr il a accepté. Je lui ai demandé de me laisser faire et je lui ai mis des traits de boue sur le visage ensuite je lui ai montré de quoi il avait l’air et je lui ai dit tu es un monstre. Et là le petit s’est écrié NON NON NON JE NE SUIS PAS UN MONSTRE!!!!! En lui essuyant le visage je lui ai dit bien sûr que non tu es un beau petit garçon et tu vois , c’est pareil pour lui , il a mis un masque pour ressembler à ce que tu vois, tu veux qu’on aille vérifier? Timidement il a accepté en précisant que je devais rester devant lui. Arrivé près du clown je lui ai demandé s’il pouvait enlever son masque pour le garçon voit bien qu’il n’est pas un monstre, le clown a accepté et après avoir l’avoir fait le garçon a demandé pourquoi les gens mettent des masques et le clown a répondu pour gagner de l’argent petit, ensuite il lui a tendu un ballon que cette fois il a accepté. Après j’ai entendu une femme crier LUCAS! LUCAS!, c’était sa mère inquiète, mais où étais-tu ? J’ai répondu à sa place, il s’est fait une petite frayeur mais maintenant c’est fini, il m’a souri et est parti avec sa mère en me faisant bye de la main.
Je ne sais pas si cet exercice a un but particulier mais il m’a laissé avec un grand sourire et les réponses que j’y ai entendu et même les questions de cet enfant m’ont interpellées : les gens portent les masques pour gagner de l’argent.
Bises
Camille-Fraise
2 juillet, 2015 à 15:19
Coucou Sylvie,
Merci pour ce petit jeu !
Lorsque j’ai voulu jouer, je n’ai pas pu voir voir une petite fille affolée courir vers moi.
En faite, elle marchait vers ailleurs, me tournant le dos et ne répondant pas à mon appel.
J’ai continué de l’appeler un moment puis j’ai eu un changement de plan soudain.
Il faisait noir, elle était là, avec une mini lampe de bureau qui lui éclairait à peine le bureau sur lequel elle grattait ou écrivait des choses.
Je l’appelais, mais elle refusait toujours de répondre à mon appel et me grognait dessus en baragouinant quelque chose que je ne pouvais pas comprendre.
J’ai tenté plusieurs choses pour capter son attention, mais elle grognait toujours.
Je finis par lui offrir une rose, elle sourit à demi, mais continuait d’écrire.
J’ai tenté autre chose avec un dragon, mais j’ai eu un changement de plan. La pièce était devenue vide. Elle n’était plus là, et la pièce n’était pas sombre, mais lumineuse, mais juste, elle qui n’était plus là.
Merci pour le jeu
Bises