Une nuit à marcher dans le désert,
Entendant tes pas parfois,
Sentant ta présence à d’autres moments…
Je ne savais plus si tu étais proche, si tu étais loin,
Je savais juste que tu étais là.
Longtemps je me suis demandée si tu étais un rêve,
Un mirage…
Toutefois aujourd’hui je te vois et te sens tout à la fois,
Tu es simplement là.
Fleur
10 décembre, 2015 à 9:06
Bonjour Sylvie,
Peux-tu expliquer ce qu’est l’écriture inspirée ? C’est ce qui est appelé l’écriture automatique ?
Je pensais que l’écriture inspirée était accessible même en n’étant pas médium, par exemple il arrive que les mots viennent tous seuls du fond de nous, mais je dois confondre.
Merci !
Bises
crystallia
10 décembre, 2015 à 3:25
Bonsoir,
Quand je l’ai écrit, c’était bizarre. Les mots venaient tout seuls comme si, ils devaient sortir.
Moi je pratique l’écriture inspirée. Toutefois il y a une part de ma médiumnité que je ne maîtrise pas. Et c’est de cette part qu’est venue ce poème.
Et toi tu as senti qu’il n’était pas comme les autres.
J’ai été contrariée de te voir insister sur ma supposée tristesse au moment où je l’ai écrit. Je n’étais pas triste, il ne m’était rien arrivé de particulier.
Je ne sais pas pourquoi il est sorti. Je sais juste qu’il fallait que je l’écrive. Comme je sais que vous êtes très nombreux à rechercher le socle de votre propre foi.
J’ai déjà trouvé le mien. Enfin bref, chacun doit trouver le sien.
Bonne journée ou soirée.
Émilie
8 décembre, 2015 à 13:14
Merci Amandine pour ton ressenti sur la chanson : la nuit de l’âme! Je l’avais oubliée celle là. … pourtant il y avait bien de vieilles émotions qui remontaient dans mes rêves et divers signes que j’aurais pu voir avant.
Miss X
8 décembre, 2015 à 13:04
Bonsoir
,
J’ai relu ton poème, et effectivement, je suis d’accord.
Est-ce j’oserai dire que ton poème miroir, je m’a
Est-ce que tu as ressenti quelque chose quand tu l’a écrit, car il dégageait vraiment un genre particulier d’émotions.
Ce n’était pas irréel, c’était là, palpable.
même si c’est immatériel.
Et même s’il n’y a que moi qui ait pu le sentir.
C’est une question sérieuse, pas pour la forme,
Bise,
crystallia
8 décembre, 2015 à 10:56
Coucou,
J’aime bien cette chanson je dois dire.
Merci à vous pour vos témoignages.
Sa présence s’offre comme un cadeau je dirais, encore faut-il pouvoir l’accepter.
Bise
Amandine
8 décembre, 2015 à 0:21
Bonsoir,
Dsl pour la syntaxe dans le commentaire précédent mais quand je suis enrhumée et fatiguée je suis pas au top de niveau ^ Je sais..je ne suis pas la seule
Émile, la chanson quand t’es dans le désert me fait carrément penser à la nuit de l’âme^ Sinon le rêve m’a l’air super intéressant : ) c’est marrant cette école spirituelle toute neuve dans le désert…..! Bah merci, j’adore lire et échanger sur les reves . Je crois que moi aussi j’en apprend beaucoup sur moi par ce biais.
Merci encore à Sylvie aussi pour toute les explications récentes sur les cycles oniriques, ça aide beaucoup. Bonne soirée à tout le monde.
Liliane
7 décembre, 2015 à 15:57
Coucou
C’est ça en fait, simplement là ! Cette présence forte, vibrante, attentive, douce qui n’envahit pas mais qui est partout à la fois, je la retrouve chaque fois que je m’éloigne de mon tumulte égoïque, quand moi aussi je suis simplement là. Je fais de plus en plus attention à elle et même quand je suis tirée par la matérialité, j’arrive à présent à me souvenir que je ne suis pas seule.
Merci d’être simplement là avec moi.
Bises
Emilie
7 décembre, 2015 à 10:12
Coucou Amandine,
J’ai vu la pyramide dans le désert et il y avait une porte sur les 3 qui conduisait à une puissante énergie lumineuse qui m’a bloquée à mi-parcours puis a gravé l’oeil d’Horus sur mon front … j’ai rêvé du temple ensuite mais c’était un bâtiment ultra moderne où se pressait une foule d’étudiants qui voulait suivre l’enseignement dispensé par 3 maîtres dont les visages apparaissaient sur des écrans géants. Je suis allée voir ce qui s’y passait comme une touriste qui visite une curiosité dans le désert. Je ne savais pas qu’il suffisait d’entrer pour être considéré comme postulant. Je me suis installée un temps dans le désert parce que l’on m’avait dit dans le temple que je devais rester, que je ne pouvais pas refuser (moi j’aurais bien donné ma place à quelqu’un d’autre car ma curiosité avait des limites). C’est étrange parce que j’avais le choix dans la pyramide alors que dans ce temple, il n’y avait plus de choix et je le comprenais. En fait j’ai l’impression que les seules limites sont mes propres limites mentales, terrestres voir certainement spirituelles. Ces limites doivent rendre nos appréciations subjectives.
Une vieille chanson sortie de nulle part quelques années plus tard :
« Les enfants des ténèbres et les anges de la rue »
https://www.youtube.com/watch?v=C_mRN_iq1-k
crystallia
7 décembre, 2015 à 2:03
Bonsoir,
Ce poème ne m’apparait pas triste du tout.
Je maintiens donc que les avis des uns et des autres sont subjectifs.
Quand je l’ai écrit je n’étais pas triste, juste inspirée.
Bonne soirée.
Amandine
6 décembre, 2015 à 20:43
Bonsoir Sylvie,
et Émilie,
Le poème m’évoque la conscience de son cœur mais aussi de la source. C’est un poème qui peut paraître léger comme ça mais qui évoque quelque chose de très profond à mon sens.
Bien que le poème ne m’ait pas évoqué ça au premier abord, je voulais dire à Émile que j’ai fait le même type de reve lorsque j’avais tout juste 19 ans. Sauf que le temple ressemblait à une pyramide et qu’une fois arrive à l’intérieur une puissante énergie montait jusqu’au ciel ( genre la scène du 5 element ..) . Je m’en souviens encore car c’est le reve le plus beau que j’ai jamais fait ! Bise