Bonjour à tous,
« Il suffit de quelques mots pour apporter du réconfort à quelqu’un. Cette jeune femme est venue vers toi, tu l’as écoutée, tu lui as parlé, tu lui as apporté l’aide qu’elle te demandait.
Tu sais, elle a sous les yeux l’exemple d’une personne qui a su tenir son cap malgré ce harcèlement moral constant. Tu lui as conseillé de ne pas relâcher ses efforts jusqu’à ce qu’elle ait trouvé un autre poste.
C’était le meilleur conseil que tu pouvais lui donner. Il faut qu’elle croit en elle. Nous savons que tu as été touchée par sa détresse. Elle a appelé une inconnue à l’aide, en se servant d’une adresse trouvé sur un mail professionnel.
Tu as été surprise et en même temps pas tant que ça. Certaines choses ne changent pas, elles empirent.
Cette femme doit trouver en elle la force de chercher et de trouver un nouvel emploi. Comme tu l’as fait. Prie pour elle si tu le souhaites. Pour elle et pour ceux dont elle t’a parlé.
Quoi que tu puisses penser, juste en acceptant de la recontacter et de lui parler, tu l’as aidée. »
Je voudrais qu’elle puisse vite partir de là, Elémiah.
« C’est à elle de se donner les moyens de trouver un autre emploi. Si elle a eu la force de te contacter alors qu’elle ne te connaissait pas, elle trouvera la force de chercher jusqu’à ce qu’elle trouve. »
C’est pour qu’elle conserve cette force-là que je vais prier. Merci Elémiah.
Bonne journée à tous
crystallia
8 octobre, 2016 à 2:18
Il y a peu je disais que je trouvais lourds les problèmes des autres et que je ne souhaitais pas m’en occuper.
Je le répète aujourd’hui.
Et je clos là une discussion qu’il n’est pas nécessaire d’aller poursuivre sur un autre article.
Je ne souhaite pas être associée au travail que tu fais actuellement sur toi car je n’approuve pas le fait que tu te déverses sur mon espace, le mien, en refusant de tenir compte du fait que je puisse ne pas avoir envie de gérer ou recevoir ce type d’énergies.
Je sais que tu vas tenir compte de ce message pendant deux jours et que tu recommenceras.
Tu recommences toujours et ensuite tu dis pardon.
Je n’aime pas les personnes manipulatrices.
Ne dis pas pardon quand tu sais que la seule chose qui t’importe ce sont tes seuls besoins.
Tu n’as pas envie de t’en sortir, tu veux que quelqu’un te prenne en charge. Ce n’est pas la même chose.
Pour t’en sortir il aurait fallu que tu choisisses une direction et que tu serres les dents. En cas d’impossibilité il aurait fallu que tu te demandes ce qui ne te convient pas et de quelle manière concrète dépasser le problème.
Dans tous les cas, tous, il aurait fallu qu’à un moment donné tu serres les dents et que tu avances avec ton seul objectif en tête.
Ce n’est pas ce que tu fais. Tu te poses en victime, éternellement.
Tu attends Je-ne-sais-qui sur son cheval blanc…
Continue, attends.
C’est comme ça qu’on réussit sa vie. En attendant que la roue tourne enfin. Toute seule, comme par miracle.
Aie au moins le courage de créer ton propre blog puisque tu veux t’exprimer. Ca ne coûte pas un sou.
Aie aussi le courage d’accepter que les lecteurs se gagnent et qu’il ne faudra pas faire que te plaindre.
Tu veux des réponses ? Il est temps d’aller les chercher.
Tu veux que des gens te parlent ? Te comprennent ?
Donne-leur envie de te parler, une chance de te comprendre.
Crée ton propre blog. Exprime-toi, vois ce qui se passe.
Souviens-toi, cela ne coûte pas un sou, juste beaucoup de travail.
Les lecteurs se gagnent.
Miss X
7 octobre, 2016 à 18:26
En fait, je ne comprends pas trop.
Je t’avoue que si j’avais eu mon bac du premier coup, je me serais posée aucune question.
J’aurai continué en études supérieures, c’est tout.
Après, je l’ai pas eu, et j’ai senti que je voulais partir, et je me suis foirée, à partir de là.
J’aurai voulu vivre un an, à l’étranger ou en humanitaire (agriculture bio, ou Inde) et puis, j’ai pas demandé à ma mère de me payer un billet pour partir. Peut-être qu’elle à été là, ma première erreur, ma vraie rupture.
J’essaye de dérouler le fil, de retrouver.
ça allait encore à l’époque, j’en étais pas arrivée à la, tu vois?
Mais, j’ai pas réussi à déméler les choses, et j’ai vu des psy, des conseillers, des assistantes sociales, même un éducateur.
Mais, pardon.
J’en suis là, et je sais plus à quoi réfléchir. Et ce qui est rattrapable, et de quelle manière. C’est tout. Personne ne veut se sentir de la manière dont je me sens, tout les jours.
Miss X
7 octobre, 2016 à 18:01
Je rois que j’accepte tout simplement pas la solution qui serait simplement de partir de chez ma mère un premier temps.
Qui fait que je ne rêve pas.
Je ne rêve absolument plus.
J’aurai voulu autre chose, pour vivre.
Mais j’ai l’impression que c’est la seule manière dont j’aurai de me sentir bien, et ça me désespère.
Un peu.
Beaucoup.
Passionnément.
Tu saisis…? Des solutions qui n’ont pas l’air de solution.
Bise..