Bonjour à tous,
« Alors, tu ne regardes pas les énergies de l’année à venir ? », me demande Elémiah.
Lauviah me suggère la même chose.
« Regarde à ton niveau personnel, ce peut être amusant. »
Je me heurte à un problème de cycle…
« Tu te heurtes au fait que tu n’es pas encore capable de percevoir dans leur entier la totalité des cycles énergétiques en place à un moment T. Et leur mécanique commune.
Mais pourquoi rester bloquée sur ce point ? Regarde les cycles un par un comme tu sais le faire. En commençant par celui dont les énergies sont les plus accessibles pour toi. »
Justement, les énergies que je capte indiquent qu’il y a plusieurs cycles influents et je ne parviens pas à les voir tous d’un coup. Alors je n’arrive pas à une lecture claire.
« Utilise un instrument. »
Mes cartes ? Avec un tarot il me faudrait exploiter tout le jeu, il y en a pour des heures…
« Crée un instrument. »
Créer un instrument ? Pourquoi pas, ce serait sympa. Mais pas moins long que le tarot.
« Tu aimes bien le processus de création. »
Oui c’est vrai. Mais soudain je n’ai pas d’idée. Il est plus facile d’improviser des recettes.
« Prends une minute. Tu sais déjà que les mouvements énergétiques sont liés à des cycles. Les énergies parasites sont également liées à des cycles et les énergies bénéfiques qui semblent tomber du ciel correspondent en fait à des réponses.
Ce qui induit ? »
Certaines énergies sont liées à des questions. Elles émanent directement de notre ego et ce sont elles qui rendent difficiles la lecture des cycles dans leur globalité. Mais elles sont nécessaires car sans question, il n’y aurait jamais de réponse et nettement moins d’énergies bénéfiques.
« Car vous apprenez à accueillir au travers ces réponses. Tu as besoin d’apprendre à distinguer pour pouvoir lire. »
Il me faut un alphabet. Un code de couleurs et de mots. J’ai ma combinaison, je peux créer des cartes. Merci Elémiah.
« Il est vrai que tu associes les énergies à des couleurs, c’est ta forme de synesthésie. Il y a des personnes qui voient les énergies comme des éléments de calcul mathématiques. »
J’aime mon monde en couleurs.
« Tant mieux. D’autres aiment leur monde de chiffres. »
Je vois du blanc pour l’année prochaine. Ce sera la couleur dominante de mon année.
« Et quel sera le mot dominant ? »
Pureté. Ce que je ne comprends pas, il me manque l’élément qui me permettra de déterminer pourquoi cette couleur et ce mot sont en fait liés à un cycle qui se met en place…
« Quelle était la couleur du cycle précédent ? »
Bleue.
« Et le mot associé ? »
Douleur.
Et la couleur des énergies de transition était jaune et le mot était douceur.
Mais je ne comprends pas les énergies rouges.
« Et quel est leur mot associé ? »
Force. Elles sont liées à un cycle spirituel plus long et large dont je ne perçois pas tous les enjeux et contours. Elles sont à l’origine du cycle matériel bleu.
Le cycle blanc semble plus lié à la Terre et au monde matériel. Je ne comprends pas le mot associé. Pourquoi pureté ? En outre, les énergies rouges se modifient et vont vers le violet.
Mais le mot ne change pas, c’est toujours force.
Et puis il y a les cycles encore en sommeil et celui qui se referme. Et dont je ne perçois ni les mots ni les couleurs. Juste la présence.
Tu as raison, j’ai besoin d’un instrument de lecture. Ne serait-ce que pour faire les liens.
« Les cycles blancs indiquent un renouveau. D’où le fait qu’ils soient souvent associés à des mots tels que pureté, calme, beauté, présence ou encore harmonie ou légèreté.
Les cycles noirs indiquent une période d’introspection intense et nécessaire. Peu importe les mots associés.
Plus tard nous t’apprendrons à colorer un cycle. A faire en sorte de diriger les énergies de manière à obtenir ce que tu veux dans le respect de ce qui te convient. Mais ce sera dans plusieurs années. »
Il y a eu un voile doré, je ne sens plus rien.
« Je sais, c’est assez pour aujourd’hui. Tu sens l’importance des énergies blanches, ce sont celles sur lesquelles je souhaitais attirer ton attention. »
Un renouveau donc ?
« Voilà. Généralement la nouveauté apparait dans un domaine et c’est l’ensemble qui est modifié. Tu connais cela, vous connaissez tous cela. Inutile de détailler ce point.
C’est une belle période tu ne trouves pas ? Il fait beau, il fait chaud et il reste encore plein de foie gras et de chocolat. »
C’est la meilleure période de l’année.
« Profites-en bien. »
Merci Elémiah.
Bonne journée à tous
Fleur
29 décembre, 2015 à 11:42
Bonjour Sylvie,
Chacune de tes couleurs correspondent à un de tes mots pour définir les énergies ? ou les combinaisons peuvent varier ?
l’autre soir j’ai clairement entendu : « cycle terminé ! »
(mais je ne sais pas si c’est les mêmes cycles que ce dont tu parles « cycles de la vie », ou autre chose)
Encore merci pour tes partages !
Bises
crystallia
28 décembre, 2015 à 23:43
Bonsoir,
Chaque article s’adresse à ceux qu’ils touchent.
Et je sais qu’ils trouvent tous leur public.
Bonne soirée.
Miss X
28 décembre, 2015 à 12:32
Wow.
Bonjour toutes deux, ce n’est plus une discussion accessible à tous.
Même si on voit un peu où vous voulez en venir, on ne comprends pas forcément »naturellement », a.k.a par vécu ou empathie..d’ailleurs..je pense que chacuns d’entres nous vivent des expériences que certaines personnes n’auront jamais vécu et ne pourront pas comprendre « instantanément ».
Quand on explique quelque chose, certaines personnes peuvent s’y relier et saisir le concept.
Quand à d’autres.. Bon, peut-être que ce qui n’est pas le cas.
En fait souvent, il faut d’abord bien parler pour bien se faire comprendre!
C’est déjà difficile quand on utilise pas le même langage/vocabulaire.
Donc bon.. Bon courage à vous deux!;)
crystallia
28 décembre, 2015 à 10:51
Bonjour Pascale,
Merci pour cette phrase en particulier : « La paix n’existe que parce que nous avons le courage de transcender ou de transmuter les énergies. »
Bonne journée à toi.
Pascale
28 décembre, 2015 à 7:01
Bonjour Sylvie
Merci beaucoup. Je fonctionne avec des mots et des algorithmes. Depuis fort longtemps, je me heurtais à un problème de confusion m’empêchant de vivre la lucidité nécessaire à l’ouverture de la porte. Tes mots colorés se sont emmêlés à mes chiffres et la logique est apparue comme une évidence. J’étais enfin prête à m’autoriser ce saut.
Nous pouvons toujours nous autoriser à vivre dans la joie, même si pour beaucoup, cet instant semble incongru. La paix n’existe que parce que nous avons le courage de transcender ou de transmuter les énergies.