Bonjour à tous,
« Dans ta quête de reconversion tu réalises l’importance de faire quelque chose qui trouve un écho en toi, qui ait du sens. », me dit Lauviah.
Oui, c’est ça. Pour éviter de faire deux fois la même erreur grossière.
« Elle n’était pas grossière, tu ne savais pas qui tu étais à 18 ans. Tout le monde ne sait pas depuis l’enfance qu’il va être coiffeur. Tout ce que tu savais c’est que tu devais travailler, ce qui a significativement biaisé ton choix.
Cet article sur le bore-out était intéressant ? »
Seigneur, j’aurais préféré qu’il ne me touche pas du tout.
« L’ennui au travail est une réalité pour beaucoup de monde. »
Je sais. Le pire est de savoir que le problème n’est pas le poste lui-même mais bien le fait que nous ne puissions pas nous y épanouir pour des raisons qui nous sont propres.
« Le bore-out touche également les personnes victimes de mise au placard. »
Ce n’est pas mon cas, je conçois néanmoins que ce soit une situation très difficile à vivre. On m’a parlé de personnes arrivant un matin au bureau et ne trouvant même plus d’ordinateur à leur poste.
Ces méthodes sont scandaleuses selon moi. Si un patron ne veut plus d’un salarié, qu’il le licencie. Mais non, certains préfèrent pousser les employés à la démission, cela revient moins cher !
Le besoin de travailler est une contrainte quasi impossible à contourner. Il faut faire avec, on ne va pas tous pouvoir gagner au loto.
Heureusement, je sais qu’il est possible de faire de cette contrainte un levier. C’est ce qui m’intéresse actuellement.
Il est suffisamment clair et évident pour moi que je n’ai pas ma place dans le marketing par exemple. Ou que je ne deviendrai pas avocate. Ou juge.
Mes parents auraient aimé que je sois magistrat.
Moi je ne me vois même pas briguer un poste de commerciale dans mon entreprise actuelle.
Je ne me reconnais pas dans le désir d’engranger toujours plus de bénéfices. Sans pour autant minorer l’importance de l’argent dans nos sociétés, je pense que ce ne doit pas être le seul critère à prendre en compte dans la quête d’un mieux-être.
Il faut également rester au plus près de ses propres valeurs. Tenir compte de ce qui fait sens pour nous. Ce qui implique de connaître les raisons qui font que certaines choses, certaines valeurs, nous touchent plus que d’autres.
Je comprends aujourd’hui la nécessité de savoir qui l’on est. C’est la raison pour laquelle je me sens bien avec moi-même.
« Si je te confirmais que ce que tu sens est juste et que tu vas énormément travailler cette année ? »
Je n’ai pas peur de travailler.
« Profite bien des deux croisières à venir. Et amuse-toi bien. C’est pour cela aussi que tu travailles, pour pouvoir te faire plaisir. Tu saisiras mieux le sens de cette phrase dans quelques mois. »
Merci Lauviah.
Bonne journée à tous
crystallia
3 janvier, 2016 à 2:03
Bonsoir,
Tellement de choses dans vos messages, des choses inspirantes.
Merci à vous.
Bonne soirée.
Lylia
2 janvier, 2016 à 22:19
Bonjour Sylvie,
A force de te lire par ci par là depuis un moment, avec asperger, HP, etc. et là le bore-out…
Je me souviens que tu aimais bien la psychologie, ici il y a de plus en plus des ateliers d’art thérapie, sachant que tu t’es mis au dessin, mais je pensais aussi au coaching et aux ergothérapeutes qui font des ateliers de cuisine…
Pourquoi pas mélanger le tout?
Bonne année
Arc
2 janvier, 2016 à 11:44
Bonjour,
La vie n’est pas un combat. Du moins, là où j’en suis. Bien qu’il soit vivifiant de s’y investir à fond. Je sais ce qui doit être au cœur de ma vie. Je ne m’épanouirai jamais dans la grisaille, dans les milieux où règnent l’orgueil, les calculs et la fausseté. Et ça tombe bien, car je sais ou je vais. Je m’en réjouis ! Il me faudra être encore un peu patiente, certes, et le chemin n’apparaît encore qu’en pointillé.
À mesure que je me prépare à m’exposer en lumière, les attaques se font plus virulentes. J’apprends à précéder certaines, ainsi j’affine mon discernement quant à leur provenance.. Comme lorsque j’étais enfant, j’en suis toujours à apprendre à accepter ce que je vois : des âmes en sourdine et les égos qui mènent le bal. Il m’arrive encore d’être naïvement choquée, peut-être après tout est-ce bon signe, de ma part.
Tiens, justement. Je gère bien mon espèce de récidive de varicelle.. hihi. J’ai reçu de l’aide après mon malaise de l’autre jour, une énergie guérissante très agréable qui revient par moment. …Je ne me fais pas véritablement de soucis par rapport à ma santé. Mon âme sait mieux que « moi » ce par quoi je dois passer. Il serait prétentieux et immature de prétendre pouvoir tout contrôler et tout connaître. J’ai plus de facilité à accepter certaines choses que d’autres il est vrai.
Je confirme : un peu que les Fées existent. Leur légèreté est trompeuse, ceci dit : certaines sont très puissantes, et règnent sur des régions entières par exemple. Je préfère ne pas imaginer à quoi ressemblerait notre monde sans leur présence et action.
À bientôt
Lucie
2 janvier, 2016 à 9:38
Bonjour,
Bonne et heureuse année d’amour, de paix, de sérénité et de lumière.
Merci de cette rencontre via internet à un moment spécial de mon chemin.
Il est vrai que le travail est nécessaire, ce qui est important c’est de reconnaitre que le travail permet d’apporter un mieux vivre, mais il ne doit pas prendre la priorité sur la VIE.
C’est ce que tes guides t’ont aidé à comprendre et à appliquer.
Le parcours est difficile, mais de nos « échecs » on ressort grandi et on avance.
Bises et bonne continuation car de toutes les façons on prend le chemin qui nous est destiné.
Lucie