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Nems à la morue – sans lait ni gluten

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Bonjour à tous,

Certains soirs, je sens que l’envie de me casser la tête d’une manière ou d’une autre est loin, mais à des kilomètres, de moi. Le soir où j’ai créé cette recette était un de ces soirs.

Pour une mystérieuse raison, en mode feignasse je suis super efficace. Surtout si en plus je suis affamée.

Habitant la Martinique, je n’ai aucune difficulté à trouver l’ingrédient principal de ce plat à savoir, la souskay de morue. Rassurez-vous toutefois si vous découvrez là un mot nouveau. Un émietté de morue assaisonné à votre goût fera très bien l’affaire. 

Quoiqu’il en soit, c’était vraiment délicieux et donc je partage cette recette avec vous. Je précise que j’ai utilisé la version pimentée de la souskay de morue, sur un de mes fichus coups de tête. Et que dans toute mon innocence, j’ai oublié qu’il ne fallait pas manger presque brûlant un plat pimenté.

Je m’en souviendrai ceci dit, oui, je m’en souviendrai. Bref, voici la liste des ingrédients :

- souskay ou émietté de morue assaisonné (ne faites pas comme ces personnes qui oublient même de dessaler la morue et qui s’étonnent ensuite du goût de leur plat)

- Mélange choux et carottes ou alors si vous êtes plus courageux que moi du choux et de la carotte que vous prendrez le temps de râper

- des galettes de riz (le nombre est fonction du nombre de nems désirés) 

- moutarde, huile, sel et poivre

- de la salade verte en accompagnement

Assaisonnez le mélange choux-carottes avec la moutarde, le sel et le poivre. Ajoutez si vous le souhaitez un filet d’huile, j’ai utilisé de l’huile de colza. J’utilise toujours de l’huile de colza.

Préparez vos feuilles de riz en les plongeant dans de l’eau froide avant de les étaler sur un chiffon propre. 

Divisez mentalement la feuille de riez en tiers. A l’aide d’une cuillère et d’une fourchette déposez le mélange de légumes au niveau du premier tiers et ajoutez la morue par-dessus.

Rabattez le bas de la feuille sur la préparation en serrant bien puis rabattez les côtés un par un avant d’enrouler le petit paquet ainsi formé sur lui-même.

Mettez dans l’huile bouillante jusqu’à ce que ce soit doré et recommencez !

Bon appétit ;)

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10 Commentaires

  1. Liliane

    5 février, 2016 à 11:16

    Coucou,

    C’est vrai qu’en regardant juste la photo j’ai l’eau à la bouche, ils sont tout luisant, ils sentent bons, tu te rend compte j’arrive à en sentir l’odeur, je suivrais la structure de la recette et l’adapterai en fonction de ce qui me tombera sur la main.

    Bises

    • crystallia

      6 février, 2016 à 14:09

      Coucou Liliane,

      J’espère qu’ils te plairont !

      Bise ;)

  2. crystallia

    4 février, 2016 à 23:47

    Bonsoir,

    Arc, c’est tout à fait normal !

    Mélissa, quel rapport avec ma recette ?

    Tu trouves que je suis dure ? Attends, je commence seulement puisque tu fais celle qui ne comprend pas.

    D’une part, il n’y a rien à espérer d’un homme qui boit. D’autre part, ta mère n’est pas tenu de te cajoler ou de te garder sous son toit si tu travailles.

    Enfin, tu es la seule à pouvoir décider que Carrefour sera ta destination finale.

    Mets-toi au travail. Le bac nous est adressé par la poste. Mais avant, il faut obtenir des notes qui permettent qu’on nous l’envoie.

    Inutile de me répondre, ce post est destiné à ma jolie recette.

    Plus de digression.

    Bonne soirée.

  3. Mélissa

    4 février, 2016 à 21:19

    J’aimerai, vraiment, ne plus avoir peur de ma mère, m’ouvrir aux autres, ne plus me terrer, ne plus craindre.

    J’ai vraiment eu du mal, du mal, réellement du mal.
    Je suis en train de comprendre l’ampleur du désastre avec ma mère.

    Je suis en train de comprendre, à quel point, elle est tout: tout.

    Tout mon cauchemar, toutes mes peurs, j’arrive pas à y croire.

    On dirait un vrai livre.

    J’arrive pas à y croire.

    Je ne veux pas avoir à faire un travail de merde pour ne plus avoir à vivre avec ma mère et retrouver mon amour propre,

    je veux pas, sylvie, de ce parcours,
    je ne voudrais pas,

    et pourtant, tout ce que je désire se trouve derrière cette porte,

    et je ne veux pas la prendre,

    s’il te plait, j’ai envie d’hurler, de crier au secours, j’ai la gorge qui se serre.
    Je n’arrive pas à comprendre, je n’arrive pas, je ne veux pas comprendre.

    Je ne veux pas comprendre.
    Je ne veux pas. Pas.Pas. Comprendre.

    Personne ne m’aidera, personne en à le pouvoir.
    Personne n’a le pouvoir de faire mon bonheur.

    ça me désespère que mon bonheur s’appelle caissière à Carrefour, en 35heures,alors que j’aspirai à avoir une vie universitaire pour plus tard, avoir un homme qui me plait, et qui est dans mon champ de vision, mais qui est trop jeune et qui , boit.

    Il a des problèmes. Pareil.
    Pareil que moi, on va dire, sur pleins de plans.
    Sauf que pareil, mon problème, il est moi d’abord.

    Sylvie, ma porte, ma voie, mon bonheur, c’est mon moral en partie qui est en train d’être détruit.

    J’ai peur.

    j’ai peur qu’il n’y ai pas de lendemain.

    J’ai vraiment, envie, de disparaître.

    J’aimerai que la foudre m’abbate, même si j’abandonnerai les autres que j’aime bien derrière moi. Et que c’est lâche.

    Sauf que, j’aimerai, vraiment, j’aurai aimé ne pas…

    Je ne suis même pas certaine d’avoir ce travail maintenant que j’ai refusé, une première fois, un contrat de professionalisation.
    Je parle trop encore….

    Mais regarde ce qu’il aurait fallu pour m’en sortir, et ce qu’il me faudrait.

    Du courage de faire un travail de merde?
    Qui m’aurait permis de retrouver mon amour propre par rapport à ma mère, qui me dénigre, qui me dit de partir, qui est…manipulatrice? j’ai pas l’adjectif, j’arriverai pas à y réfléchir.

    J’ai peur, de ma mère.
    Je me terre dans ma chambre.

    Mon père, fais n’importe quoi.
    Il est parti en Ukraine, et dit qu’il ne veut pas revenir, à cause de.. j’ai pas envie de le dire.

    Moi-même, je crois, que j’ai le même problème que mon père.

    Bref, au secours.

    Je déteste mon parcours, et j’ai envie de me flinguer.

    C’est compréhensible, non?

    Qui à un père et une mère, forme une famille heureuse, sors, fais des études universitaires?
    Une vie parfaite?

    Bref, qui n’aimerait pas l’avoir, cette vie, alors?

    Pourquoi, ma mère, pourquoi m’avoir autant fait souffrir, pourquoi mon père est lâche.

    Je suis certaine que cette union était une mauvaise union.
    Je ne devrais même pas être là.

    J’en ai marre!!!!!!

    Au secours..
    Je connais pas l’amour propre.
    Je le connait pas..

    J’en ai marre..de souffrir, de pleurer, de tout.

    Pourquoi, et pas les autres.

    Quand je vois la vie des autres et que je vois la mienne qui à rien à voir, j’en peux plus.

    Je sais que j’écris et que je devrais pas t’écrire, mais je n’arrive pas à franchir le cap.

    Je vais essayer encore demain.

    Je vais retourner à Carrefour, encore, avec une candidature, dire que je veux ce 35heures, éventuellement, et merde.

    Je ne suis pas sûre de savoir ce que je veux, en réalité.

    J’ai posé une candidature à mon monoprix pour un 25heures, etpas un 35h.

    Je cherche un 25h car je n’ai pas abandonné le fantôme du bac.

    Sauf qu’il va falloir abandonner le fantome du bac, je ne sais pas ce qu’il convient de faire, il est là le problème!!

    Je te parle pour trouver une solution quand je te dis ce qu’il y a dans mes dernières lignes.
    Je pense que je continue de m’accrocher à quelque chose qui est destiné à mourir.

    Parce que je vois, sur moi, sur terre, à l’air laid. Et ça l’est. Caissière à Carrefour, personne ne veut le faire.

    Sauf, que.
    Je veux partir, du moins, je ne veux plus avoir peur de ma mère, et je veux m’ouvrir aux autres, et je retrouve mon amour propre quand je pose des candidatures.

    Alors explique moi, ce que je devrais faire d’autre, que d’emprunter une voie sur terre , qui fait que je m’ouvre aux autres, malgrè qu’elle prenne la forme d’un emploi précaire, et non qualifié.
    C’est cela que je n’arrive pas à comprendre.

    C’est que, je n’accepte pas la barrière, car je ne suis pas encore sûre que ça soit ce qu’il convient de faire.

    Alors j’ai tenté de poser des candidatures, mais pour du 25heures.

    J’ai posé une candidature pour du 35heures, je devrais peut-être la relancer, pour Carrefour, non?

    Bref, je ne sais pas ce que je dois faire, car la voie qui m’apporte quelque chose, n’est pas celle qu’on m’a appris à désirer, et de plus, j’ai des doutes, comme quoi, il faut vraiment que ça soit ce que je fasse, parce que j’ai reçu une information, comme quoi c’était un métier emmerdant d’être caissière.

    Ce qui ne veut pas dire que je n’ai pas à le prendre, et pour m’en sortir.

    Maintenant, il faut absolument que je retourne voir le manager, en espérant qu’il veuille encore de moi.

    S’il vous plait, priez pour moi.
    Pour de vrai.

    Faîtes que ça se passe comme cela mon seigneur.

    Faites qu’on me dise oui, ou alors qu’il n’y a plus de doute, du coup.

    C’est 35 heures à Carrefour.

    Je retourne voir le manager, je le demande, je retourne le voir de nouveau avec une candidature,
    je me léverai tout les jours, pour aller travailler.

    Sauf que je voulais un 25heures!
    Je n’arrive pas à me dire qu’il me faudrait un 35heures!
    Je n’ai pas encore abandonné le bac pour la fin de l’année!
    Bien que je sente que je ne l’aurai que l’année prochaine, même si j’étudie!
    Je le sait! Car je suis pas capable de le faire!

    Regarde, à quel point, je suis perdue.

    Je ne sais pas exactement ce que je dois faire.

    Alors, au mieux, je m’accroche à ce poste, et je prends un appart, car ma mère refusera de ma garder sous son toit si je travaille, c’est ce que je peux te dire.

  4. Mélissa

    4 février, 2016 à 20:57

    Au secours.

    Pourquoi personne ne peut m’apporter un réel secours?
    Pourquoi dois-je réellement le faire?

    Pourquoi, je dois, encore, me battre?

    Pourquoi je n’arrive pas à franchir la barrière, des 35heures?

    Pourquoi je ne veux pas faire un travail qui m’emmerde?
    Pourquoi, alors, qu’il faudrait, jsute, que je me détache de ma mère?
    Pourquoi je prends un tel parcours?

    Pourquoi Sylvie, p.. pourquoi?!

    POURQUOI?
    Pourquoi est-ce que tu ne peux pas voir ma carte, ni mon parcours, ni ce qui peut m’attendre?

    Pourquoi je devrais avoir à partir?

    Pourquoi est-ce que ma porte ressemble à cet enfer?

    Pourquoi?!
    Je ne veux pas de mes portes!
    Je veux celles des autres sylvie!!!
    Elles ont l’air meilleures!!
    J’en peux plus.
    Ce n’est pas ce qu’on m’a appris à croire, ou à prendre.

  5. Mélissa

    4 février, 2016 à 20:53

    Salut,

    Ha, pourquoi la vie n’est pas comme ta recette!
    Il faudrait juste suivre les critères à la lettre.

    Pourquoi la tête et le cœur n’est pas lié?
    Pourquoi doit-on les réunir pour qu’il y ai notre bonheur..
    Des pourquoi qui ne veulent rien dire.
    Qu’est-ce que j’aimerai le même parcours, comme une simple lettre. ;)
    Je n’ai personne à qui en parler en paix..alors que maintenant j’aimerai m’ouvrir.
    Mais pas pour corrompre, gêner, insulter. Ni pour embêter les autres.

    Je ne comprends pas que j’ai à avoir un tel parcours…ce n’est pas ce que je « voulais », quand j’ai prié.
    Et pourtant, c’est ce que je suis en train de faire qui m’apporte et me r-ouvre aux autres.

    J’arrive pas à croire que j’étais en train de chercher, pour de vrai, du travail, tout à l’heure.

    Je n’arrive pas à lire mes livres de cours.
    J’ai vraiment essayé de le faire.
    J’en ai même acheté d’autres,
    j’ai même commandé le c.n.e.d.

    Je ne comprends pas que ma tête, ne veuille encore rien lire.
    C’est dingue quand le coeur, enfin, l’âme (même pas.)
    Tout ça, à cause de quelqu’un.
    ..
    Quelqu’un.
    Et tu sais qui est ce quelqu’un.

    Sylvie, c’est cela qui me désespère.

    Je suis en train de partir sur une voie, sur laquelle, je ne voulais pas partir, alors que pourtant, ça me mets en bonheur.
    Je ne comprends pas.
    Je n’ai pas envie de comprendre, j’ai envie qu’on m’en délivre.

    Je veux oublier, je ne veux pas voir.

    Je ne comprends pas, que c’est comme cela, maintenant, que je m’ouvre.

    Ce n’est pas ce que je voulais.

    C’est pour cela que je crie au secours.

    Au secours, à tout l’univers.
    C’est de moi, que je veux qu’on me délivre, et encore plus de cela, par dérrière de ma mère.

    C’est cela le désastre, Sylvie.
    Le nerf de la guerre.

  6. Arc

    4 février, 2016 à 14:24

    Aha !

    Est-ce bien normal de jubiler pareillement en découvrant une photo de nourriture ?

    Je me rappelle d’une personne qui affirmait de manière catégorique que le cabillaud c’est nul ceci dit…

    Je le dis ou pas ?.. Sur ma table devant moi il y a un cigare. Au chocolat grand cru (d’un grand chocolatier..), parfumé au thé fumé et au whisky pur malt. Quel corps en bouche… JE VAIS LE MANGER !!!! (cherchez pas)

  7. crystallia

    4 février, 2016 à 2:53

    Coucou !

    Moi aussi j’aime quand c’est joli. Ou quand je transforme tout en fonction de mes goûts !

    Bise ;)

  8. Eve

    4 février, 2016 à 2:50

    Coucou Sylvie, :-)

    Merci pour ce partage… J’ai envie de m’acheter un joli petit carnet et d’y mettre tes recettes avec les jolies photos. J’suis sûre que ça me donnera l’envie de me mettre à la cuisine…

    C’est bizarre d’aimer que ce soit joli alors que finalement l’essentiel est dans le contenu…
    Gros bisous :-)

  9. atellys

    4 février, 2016 à 1:40

    Coucou Sylvie

    Eh bien ça tombe bien je viens de faire dessaler plein de morue aujourd’hui
    Les photos ont l’air appétissantes en tout cas manque que le choux et la carotte. je zapperai la moutarde. C’est ce qui est bien avec la cuisine on peut tout accomoder suivant ces goûts.
    Y’a plus qu’à comme on dit ;-)

    Bises

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