Bonjour à tous,
« Il fait beau, il fait chaud, le carnaval est terminé et la vie a repris son cours normal. Tu as repensé à ce que nous t’avions dit au sujet du carême ? », me demande Elémiah.
J’hésite.
« Pourquoi ? Nous ne te demandons pas de manger du poisson. Même s’il serait bon pour toi que tu apprécies davantage le poisson. »
Je ne vois pas trop comment mettre en place.
« C’est très simple, tu pourrais prendre le temps de méditer et d’écrire dans un carnet, juste pour toi, pendant une à deux semaines. Ce te sera bénéfique.
Et tu devras prendre le temps de faire cela, ce qui t’obligera à te poser un peu. »
Lol. Pourquoi pas, je vais le faire, de cette manière je sais que je trouverai cela sympa !
« Pourquoi n’as-tu pas proposé la quiche sans pâte aux légumes ? »
Celle que j’ai ratée ?
« Tu l’avais trouvée délicieuse. »
Oui parce qu’en fin de compte c’était bien bon. Mais souviens-toi, c’est une fois enfournée que j’ai réalisé qu’il manquait un ingrédient important…
Du coup je n’ai pas noté et je n’ai pas pris de photo. J’ai goûté en me disant, qui vivra verra, et au final c’était bon !
« Si c’était bon ce n’était pas raté. Il faudra la refaire. »
Oui, ce soir peut-être.
« Non ce soir tu dois trouver comment utiliser le reste des saucisses avec des légumes cuits. »
Ah bon, il faut que je fasse ça ? Je les voyais bien sur une pizza moi, les saucisses restantes.
« Non, avec des légumes. »
Je vais en faire des nems.
« Non, la friture c’est une fois par semaine. Tu te souviens de ce qu’avait dit la nutritionniste ? »
Tu parles si je me souviens…
Ce sera une quiche sans pâte à la saucisse et aux légumes. Simple, rapide et bon. Tout ce que j’aime.
« Tu as un carnet pour écrire pendant ta période d’introspection ? »
Tu plaisantes ? Les carnets c’est comme les crayons de couleurs. J’ai beau les fuir comme la peste, je me retrouve toujours à en acheter. Mais tu as vu j’ai fait des progrès, je n’ai pas acheté l’adorable carnet que j’ai vu hier dans cette boutique où il faut que j’arrête d’entrer…
« Et ensuite nous parlerons de l’intérêt de trouver deux heures dans la semaine où tu ne pourras ni regarder la télé, ni lire, ni aller sur internet, ni sortir de la maison. »
Je vais racheter une console de jeu.
« Non, ce n’est pas nécessaire où tu l’aurais déjà fait. Écoute ton cœur. Cette idée, c’est la sienne. »
Bon, commençons par la période d’introspection. Merci Elémiah.
Bonne journée à tous
crystallia
13 février, 2016 à 21:59
Bonjour,
La tête et le cœur, il existe bien un moyen de rallier les deux, ça me fait penser que je n’ai plus de biscuits actuellement.
Une bonne occasion de rallier les deux !
Merci pour ta recette Arc.
Bise
Arc
12 février, 2016 à 18:29
Bonjour,
On dit beaucoup de choses sur « la tête et le cœur », pour parler en vérité de pensées limitantes et de problématiques émotionnelles.
Le Cœur et l’Intellect sont pour moi des cadeaux divins, le second étant au service du premier. Le tout est d’apprendre, d’oser, d’accepter, d’expanser… Nous, êtres humains, sommes beaux. Rendons-nous hommage.
Bon, je retourne à mon chocolat framboise.. Il neige et ça fait ce drôle de bruit quand on marche, j’adore…
Mélissa
12 février, 2016 à 17:01
Salut ,
Carène, peut être que c’est ta tête qui à raison, elle connaît la voie pour rallier les deux?
Bonne journée!
Ps: je voulais dire, oubliez -pas- que c’est bientôt la fête des couples.. , même ceux qui ne sont pas en couples peuvent bien profiter, surfons sur la vague!
Bonne soirée
Carène
12 février, 2016 à 13:31
Bonjour
Ecouter son cœur, mouais !
Et quand on comprend que la tête et le cœur ne parlent pas forcément le même langage et qu’il va falloir trouver le moyen qu’ils se comprennent pour agir en duo, comment qu’on fait ??
Bises
Arc
12 février, 2016 à 12:29
Hihihi
J’imagine une pâte d’amandes et de cajou réduites en poudre, et de dattes, avec des grains de vanille, des morceaux de cajou plus grossiers, craquants sous la dent, et un peu de coco grillée. Il faudrait voir si ajouter un peu de beurre de coco est nécessaire pour bien amalgamer le tout. Faire un boudin et couper en tranches (par exemple). Laisser éventuellement sécher jusqu’à la consistance exacte appréciée. Je crois que je vais essayer ce week-end…
Bise
crystallia
12 février, 2016 à 11:53
Bouh ! Il ne fallait pas me parler de biscuits vanille/coco/cajou !!!
Il va falloir que j’improvise des cookies plus tard…
Bise les filles
Arc
12 février, 2016 à 11:18
Good morning !
…une activité que j’ai déjà imaginé partager ensemble. Peut-être en son temps, si tu viens me rendre visite dans mon pays de lacs, de cascades et de sommets enneigés.
En lisant cet article, je me sens comme la terrible qui lève sans arrêt le doigt dans une assemblée « moi je sais ! moi je sais ! ». J’apprends à me réfréner, j’apprends le juste équilibre.
Encore l’autre soir. J’avais finalement réussi à me contenir. Mais à peine couchée, j’ai failli me relever d’un bond, car une création venait de prendre forme en mon esprit : la tarte aux poires sans cuisson et son nappage subtil de caramel.
Et les biscuits sans cuisson vanille/coco/cajou, et le nougat sec pistaches/farine de pois chiches, et les délices à la crème de coco, et… et.. Et abrégeons.
(P.s. Au prochain essai, je note.)
Belle journée
Melissa
12 février, 2016 à 9:13
Ça fait du bien de s’en rappeler.
Écoute ton coeur.
Parfois on est à l’envers tout de même.
Gros plein de bisou, et oubliez, dans deux jours, il y a une fête très importante. C’est la Saint-Valentin
crystallia
12 février, 2016 à 1:21
Bonsoir Emilie,
Parfois ils arrivent avant l’article, d’autres fois après l’écriture…
Il est rare que je cherche vraiment, mais ça peut arriver.
J’aime écrire en fait, après…
Tu sais, si tu n’as pas envie de goûter le soufflé tout de suite, ce n’est pas grave. Il y en aura toujours d’autres plus tard.
Bonne soirée
Emilie
12 février, 2016 à 1:03
Coucou Sylvie,
Quelques fois je me demande ce qui t’inspire les titres de tes textes. Quelques fois quand j’entends qu’il faudrait noter dans le fameux carnet, je me dis « plus tard » en me disant que c’est enregistré. En fait il y a beaucoup de pertes si je retarde – disons pas loin de 70 % comme un soufflet qui retombe une fois sorti du four. Il faut vite vite le manger.