Bonjour à tous,
« Il fait beau, il fait chaud et le ciel est d’azur. Une journée parfaite pour une ballade sur le dos du Dragon de Lauviah. », me dit Elémiah.
Lol, je l’aime bien, il est toujours gentil et très doux.
« Et surtout il te regarde comme Lauviah. »
Aussi !
« Où est ta Dragonne ? »
Elle est là, elle vole non loin de moi. Mais elle se rapproche rarement ou pas longtemps. Et puis, on a une communication non verbale en vérité. Je n’ai besoin ni de lui parler ni de la voir. On emploie même pas de mots, c’est comme si on n’avait pas besoin de les former, on se comprend par une simple impulsion je dirais.
De temps en temps je pense à elle et je me souviens soudain qu’elle est là. A d’autres moments c’est elle qui se rappelle à moi et on échange de cette manière simple et sans mot ni sensation.
Mais il n’y a qu’avec elle que je peux communiquer ainsi.
« Le Dragon de Lauviah non plus ne te parle pas. »
Non, il sourit avec ses yeux. Il dit tout avec ses yeux.
« Et avec les autres Dragons qui t’entourent ? »
L’immense clan qui m’entoure ? Je ne perçois les énergies que de quelques uns en fait. Certains me parlent, d’autres sont là et se montrent à l’occasion. Il n’y a qu’avec Thor que je peux communiquer comme décrit plus haut. Je peux la sentir dans ma chair.
« Tu ne te poses plus de question au sujet de la diversité d’entités que tu perçois. »
Non c’est vrai, je suis habituée à vous tous maintenant. Je vois que vous n’êtes pas tous porteurs d’énergies similaires. Ou que vous semblez venir d’endroits différents. Disons de dimensions différentes. Mais moi je ne connais même pas mon propre clan dans son entier alors…
Je ne me casse pas la tête. Je sens que vous venez en ami, ça me suffit.
« Et si tous ne venaient pas en ami ? »
Il y a ce drôle de sceau qui apparait si je me « perds » dans l’astral ou que je ne me sens pas à l’aise. Ensuite tout devient doré et je suis à nouveau entourée d’énergies agréables…
Et Lauviah arrive et discute un peu avec moi, de la pluie et du beau temps. Et j’oublie bien vite la mésaventure.
« Tu connais peu de mésaventures de ce type. »
Oui.
« En revanche tu as trouvé l’équilibre entre le monde matériel et ce qui ne se voit pas. Tu n’es jamais troublée ou ne rencontres pas de difficulté dans ta vie matérielle en raison d’énergies lointaines. »
Ce sont celles qui sont proches qui me gênent !
« Tu es apaisée. Tu te sens rarement seule. Et pourtant tu demeures une grande stressée. Explique-moi ce paradoxe. »
Je ne sais pas rester calme quand j’ai des projets en tête. Je veux qu’ils se réalisent, vite. Ou alors je souhaite pouvoir passer à autre chose, vite aussi.
J’ai de la misère à les laisser mûrir calmement.
« De la misère, pourquoi ? Il faut les remettre à l’univers. Essaye. »
Merci à toi.
Bonne journée à tous
lapriereducompositeur
6 mars, 2016 à 1:30
<3 <3 <3 <3
crystallia
5 mars, 2016 à 1:54
Bonjour,
Partir ? Nous laisser tomber ? Non, impossible. Ils restent toujours, toujours là.
Bise
lapriereducompositeur
5 mars, 2016 à 1:28
Coucou!
Dis… tu crois parfois que nos dragons nous laissent tomber?
Genre quand on tombe malade (gravement) ou autre…?
Je me demande si le mien est parti.
Des bisous
Liliane
3 mars, 2016 à 12:46
Coucou,
Emilie, ce que tu dis me touche beaucoup c’est une façon plus agréable de prendre ces coups de blues, c’est beau franchement.
Bises
Emilie
3 mars, 2016 à 9:10
Bonjour Sylvie,
Hier je suis tombée sur une info qui annonçait un « exploit », un sportif de l’extrême va tenter l’ascension des 8848 m de l’Everest au mois de mai, sans oxygène…. j’ai tendance à considérer ce genre d’exploit comme inutile à moins d’avoir envie de mettre sa vie en danger (encore faut-il être capable d’affronter ce danger). Il est cependant possible d’accomplir des exploits avec des tonnes de confiance et d’entrainement si on veut parvenir au sommet faire plaisir à son âme de montagnard. Y parvenir avec très très peu d’oxygène c’est encore une autre affaire… Gérer les émotions avec légèreté, très peu d’oxygène c’est un exploit sportif et peu importe qu’il s’agisse d’un record, j’imagine simplement le bonheur immense de la victoire. Cela fait plusieurs jours que je me réveille en pleurant sans savoir pourquoi exactement, alors que je n’arrive plus à écrire et à gérer autrement. Ce matin on m’a simplement fait comprendre que c’était « sportif » et qu’il ne fallait pas s’attendre à gagner la partie sans entrainement – sans ce sentiment d’être misérable, parce que ce dont j’aurais besoin est à 8848 m là où aucune vie ne semble possible.
On n’est pas obligé de risquer sa peau sur l’Everest, on peut aussi apprécier des sommets plus accessible compte tenu de ses moyens et éviter de se mettre la pression en visant des records. Je laisse à Mr. Univers l’ascension de l’Everest sans oxygène !
crystallia
2 mars, 2016 à 21:58
Coucou,
Tu me fais rire Camille !
Bise