Bonjour à tous,
« Alors ma belle enfant, tu ne veux plus donner de consultation mais il y a une personne à qui tu dis toujours oui. », me dit Roéchel.
Tu es venu me demander des comptes ? Que veux-tu que je te dise ? C’est vrai, je fais une petite exception.
« Nous t’avions demandé de ne pas faire ce que vous appelez des travaux. »
Oui, elle a rencontré un problème spécifique, la voyance ne l’aurait pas aidée.
« Donc tu as recouru à la magie. »
C’était la seule option.
« Le referais-tu ? »
Oui. Le problème, elle le connaissait. Il fallait une solution en l’occurrence. Et je pouvais l’aider, pourquoi ne pas le faire ?
« C’était facile pour toi. »
Oui.
« Après, chaque médium a ses méthodes, selon sa reliance et les énergies qu’il choisit de mobiliser. La tienne est particulière. »
Je fais appel à des Serviteurs sombres. Ou lumineux. Rarement du Milieu. Mais ce sont toujours eux qui viennent, je ne choisis pas. Je ne peux pas les appeler de toute façon, je ne connais pas leurs énergies propres. Je peux juste demander de l’aide et ils viennent.
Pour le coup ce sont des Serviteurs sombres qui sont intervenus apparemment.
« Ils vibrent à une fréquence qui t’est difficilement accessible. Ils se rendent accessibles, s’ils le veulent. Et si tu as besoin d’eux ils se manifestent. Mais en réalité, ceux du Milieu interviennent aussi, souvent. Tu ne les sens pas parce qu’ils ne le souhaitent pas.
Mais si quelqu’un vient te voir en te disant qu’il a un problème qu’il ne parvient pas à gérer ? »
Avec moi il y a un élément incontournable, les gens doivent s’impliquer dans le processus. S’il s’agit d’un problème de cœur, il faudra par exemple accepter de regarder la relation sous un angle différent, même avec de l’aide.
Si je sens que la personne qui me sollicite est prête à faire le travail qui lui permettra de ne pas retomber dans les mêmes écueils, pourquoi pas ?
Mais si l’idée est de se débarrasser ponctuellement d’un problème, je ne peux pas. Mon propre cheminement spirituel m’a appris que rien n’arrive par hasard. Je ne peux pas aller à l’encontre de ce que j’ai intégré ou de ce en quoi je crois.
De la même manière les histoires de punition ou de vengeance ne m’intéressent pas.
« Si tu es sollicitée par des gens qui te lisent, ils ne viendront pas à toi pour des histoires de vengeance. Mais certains ont des problèmes que tu pourrais aider à solutionner.
Tu pourrais y réfléchir, tu trouves amusant et agréable ce type de travail. »
Faire des travaux donc ?
« Apporter des solutions différentes. »
A l’occasion, pourquoi pas ? Mais c’est parce que je ne savais plus comment m’organiser que j’avais laissé tomber les consultations.
« Tu verras. Réfléchis-y. »
Ok, merci à toi.
Bonne journée à tous
Arc
22 mars, 2016 à 12:35
L’histoire commence avec un petit garçon qui porte une coquille contre son oreille. Sa maman près de lui, lui apprend la chanson de la mer…
C’est une Selkie ! (Une créature du revers de notre monde.) Certaines nuits, elle chante à la lueur de la lune. Son chant aurait la particularité de libérer de la matière les êtres de la nature qui auraient pu y être piégés.
Je sais que cela arrive. Certains chamans ou sorcier sont prêts à noircir leur coeur pour accroître leur pouvoir. Moi ça m’est arrivé. Il semblerait. Sous d’autres vêtements. J’étais une gardienne de l’autre « peuple ».
J’ai une amie qui est la première femme à avoir fait la course transatlantique, seule sur son petit navire. Je l’admire pour cela. C’est une force de caractère ! Je reconnais que je n’aurais pas le cran de traverser l’océan ainsi.
Je commence à me familiariser aux Sirènes, en douceur. Plutôt celles qui se tiennent non loin de la rive. Cela me va très bien ainsi.
Bise