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Tu peux tout gérer

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Tu peux tout gérer  16031812014017181814069325

Bonjour à tous,

Tu voulais me parler ?

« Oui. »

Je t’écoute Roéchel.

« Normalement c’est cette semaine que tu aurais dû pouvoir choisir l’option qui t’intéresse en tant que cliente. »

Comme par enchantement c’est cette année qu’il y a du retard. 

« Or les premiers à choisir sont les premiers servis. »

Bref. De toute manière je ne peux rien y faire.

« Il y a beaucoup de choses contre lesquelles tu ne peux rien. Nous savons que tu détestes ce type de situation. Il faut apprendre à regarder ailleurs quand une voie est bouchée. »

En l’occurrence je sais pourquoi celle-ci m’intéressait mais je te suis. Ce n’est pas grave, je ferai avec qui est.

« Cela faisait un moment que tout était réuni pour que ton océan déborde en réalité. Si les vagues deviennent trop hautes, tu auras de vraies difficultés. Tu le sais ? »

Je vais me calmer, mais franchement, ces dernières semaines je n’ai pas compris ce qui s’est passé ! Jusqu’à mes collègues qui me reprochent de ne pas avoir récupérer leur surplus de travail !

« Pourquoi cette jupe ? »

J’ai eu envie d’associer les vêtements ainsi aujourd’hui. Ce n’est pas joli ?

« Si, comme d’habitude. Tu sais ce qui t’aiderait à ne pas laisser l’océan déborder ? »

Quoi donc ?

« Un peu plus d’assurance. Et tu sais ce qui t’aiderait à en gagner ? »

Dis-moi.

« La compréhension que tu peux tout gérer. Pas la certitude, la compréhension. Passe une belle journée. »

Merci à toi.

Bonne journée à tous ;)

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29 Commentaires

  1. Emilie

    20 mars, 2016 à 12:23

    Hello Mél,
    Souviens toi « il n’y a pas de sots métiers, il n’y a que de sottes gens »
    Si tu n’es pas reprise lundi, tu trouveras autre chose et encore autre chose parce que quand tu agis, tu avances et tu prends conscience de ce qui te permet d’avancer.

  2. Miss X

    20 mars, 2016 à 11:18

    Salut Emilie,

    Le souci est qu’on ne laisse pas forcément le temps sur mon lieu de travail pour, et à l’heure actuelle, je panique si on ne me reprends pas lundi, je cherche autre chose sur mon temps libre, mais hors de question d’être au chômage ou inemployée, c’est un enfer(pour moi.)

    Question formation, ce seront des formations courtes et pas longues, et professionnelles.

    Elles me permettraient d’accéder à quelque chose dans les semaines/mois qui suivent.

    Je verrais, je vais voir si je peux travailler dans mon école primaire en tant que surveillante de cantine (je préfère largement travailler dans ce domaine, avec des enfants et dans le cadre scolaire.)

    Arc, le stage n’est pas quelque chose que je cherche pour toutes les raisons propres à ma situation.
    Ils ne me permettent pas d’avoir ce que je cherche. Je travaille aussi pour avoir de l’argent.

    Bonne journée.

    Carène , Isabelle.

    Mél

  3. Stéphanie

    20 mars, 2016 à 10:47

    Bonjour,

    Mélissa, Peut importe ce que vous avez pu dire ou faire,ou ne pas faire puisque d’après ce que j’ai pu lire sur ce blog le temps n’existe pas. Le chemin que vous avez déjà fait est important. Vous avez le droit à l’ erreur comme tout un chacun.L’ enfant qui apprend à marcher tombe et se relève..toujours.

  4. Carène

    19 mars, 2016 à 21:07

    Bonjour Mélissa,

    Personnellement j’avais abandonné l’idée de te répondre car je me sentais impuissante devant ta souffrance et tes résistances.

    Cela dit tu peux te rendre compte à travers cette expérience que tout n’est pas tout noir ou tout blanc et que chaque situation, confortable ou inconfortable, peut apporter son lot de bon et/ou de compréhension sur soi permettant d’avancer. Un pas après l’autre, c’est ainsi qu’on avance.
    Alors on ne peut que t’encourager à continuer de vivre ta vie.

    Et je rejoins Arc sur sa suggestion. Reste a savoir si tu auras l’envie et le courage de partir à l’aventure.

    Belle soirée à toi !

  5. Arc

    19 mars, 2016 à 20:45

    Mélissa,
    Il y a quelques semaines, j’ai eu la surprise de découvrir quelques mots que tu m’adressais. Naïvement, ça m’a fait plaisir. Ensuite, je me suis cassé la figure de mon petit nuage quand une partie de la réalité m’a sauté au nez.

    Je ne comprends pas pourquoi tu te focalises de la sorte sur le métier de caissière. Comme si c’était le seul horizon envisageable.

    Qu’est-ce que tu aurais à perdre à faire des stages, même non rémunérés, mais dans des milieux qui t’appellent ?

    Un jour, tu nous avais écrit que tu avais envie de travailler avec des enfants. Et puis plus rien.

    Finalement début mars, j’ai décidé de quand-même t’écrire. Selon ta réponse, j’avais pensé te donner un coup de pouce.
    Il y a plusieurs lieux de vie en France, construits autour de valeurs écologiques, de respect de l’humain et du vivant. Dans ces hameaux, il y a des écoles dans lesquelles tu pourrais faire un stage par exemple. Tu serais nourrie / logée. Ce serait une idée d’expérience qui t’aiderait à mieux définir ce que tu voudrais dans ta vie.

    Qu’est-ce que tu es prête à lâcher ?

    Tu n’as pas été sympa avec moi.

    Remarques, je ne t’ai jamais fait sentir que nous ne sommes pas de la même génération. Pour moi « Mélissa » ou « Nathalie », ça pèse la même chose. Quand je m’adresse à toi, j’ai envie de regarder loin et ample, que les moments partagés soient porteurs et confiants.

    Toutefois sans réciprocité, nous sommes des mendiants d’amour.

    Voilà pourquoi je me retire. Je préfère nourrir les liens qui me font du bien au cœur.

    Belles découvertes.

  6. Emilie

    19 mars, 2016 à 19:42

    Coucou Melissa,
    Montres que tu en veux et prends les jobs que l’on te propose en expliquant que tu voudrais une formation (tu l’as dit, le problème vient de la formation). Il te faudrait une formation – elles sont parfois rémunérées par les cci. Tu sais tout cela alors prépare le terrain.
    Il faut avoir confiance en toi, tout est possible à 20 ans si on vise des objectifs accessibles et que l’on se donne les moyens de les atteindre.

  7. Miss X

    19 mars, 2016 à 18:58

    Salut Sylvie,

    Merci d’avoir répondu,
    en dehors du domaine professionnel,
    Je pense que si j’arrêtais déjà de m’en vouloir, pour tout ce que j’ai commis, j’irai déjà bien mieux, car je m’apprécierai un peu plus, et ainsi, avec les autres, j’irai un peu mieux, enfin.

    Si je pouvais arrêter de me blâmer tellement, et retrouver confiance en moi, déjà.
    Je m’enlèverai une épine du pied, sur le domaine relationnel.
    C’est vraiment important, et c’est une source de douleur pour moi, à 20 ans, d’en être là.

    Malgrès d’avoir des opportunitées d’avoir des relations, amicales, etc.
    même avec des plus jeunes que moi, et des personnes avec qui j’aimerai entrer en relation.

    Je suis vraiment quelqu’un de.. enfin..
    J’aimerai arrêter de rater ma vie, et qu’enfin, à 20 ans, quelque chose aille..j’ai 20 ans, c’est pas comme si j’étais de la toute dernière pluie non plus.

    Bonne journée.

    Mél

  8. Isabelle

    19 mars, 2016 à 17:47

    Coucou Melissa ( et les autres)
    Plein de gens t’ont déjà répondu Mel mais peut être n’étais tu pas prête à les entendre;)
    A part ca j’aime ton discours d’aujourd’hui car il va vers du positif. Tu as des pistes pour avancer. Ce n’est pas ce que tu veux mais ça avance quand même et ca cest important.
    Au plaisir de lire tes nouveaux progrès , bises

  9. crystallia

    19 mars, 2016 à 17:47

    Salut Mélissa,

    Je sais que c’est difficile d’exercer un travail qui ne nous plait pas.

    C’est bien que tu aies spontanément postulé pour cet emploi et même si les choses ne se sont pas déroulées comme tu l’aurais voulu, cela t’a permis de te rendre compte de l’exigence du monde du travail et d’une partie de la réalité d’un très vaste univers.

    J’insiste sur le fait qu’il est très vaste. Continue de prospecter, de te demander ce qui peut te plaire, tu es sur la bonne voie en étant dans l’action.

    Après, on a tous des raisons objectives et subjectives de nous plaindre de nos emplois respectifs.

    Au-delà de l’argent que l’on gagne, ce qu’il faut avoir en tête c’est qu’on construit sa vie.

    Peu importe le départ, c’est le chemin qui est intéressant et en restant conscient de nos propres besoins, nous finissons toujours par arriver sur une plage sympa où on sait qu’on peut au moins passer un peu de temps.

    Je me doute que tu ne vois pas cette plage pour l’instant. Le réalisme qu’impose la société dans laquelle nous vivons peut nous faire prendre une claque à la sortie de l’école.

    Jusqu’à ce qu’on comprenne que ce sont plusieurs éléments pas forcément fantastiques qui font que l’on se sent bien à un moment donné dans nos vie.

    Je te souhaite le courage de continuer d’aller de l’avant, de continuer d’avancer.

    A plus tard. ;)

  10. Miss X

    19 mars, 2016 à 15:14

    Salut Isabelle,

    Merci beaucoup pour ta réponse, tu es une des rares sur le blog qui répondent, et je sais que je manque vraiment d’interlocuteur sur ce plan, dans ma vie courante j’entends.

    Aujourd’hui, j’ai fini ma journée de travail.
    Mais loin de m’apercevoir qu’avoir un travail suffisait à reconstruire tout ce qui me fait défaut, je me suis aperçue que ce n’était qu’une première brique.
    De plus, il se trouve qu’aujourd’hui, après avoir vu mes responsables, on me signale qu’il est casiment certain qu’on ne me reprenne pas, j’ai fais beaucoup trop d’erreurs, et en plus, une des rares collègues qui m’a donné des conseils, hé bien..je n’en ai pas eu beaucoup pour bien faire les choses en terme de comportement à adopter.

    J’ai du mal à regarder ça encore avec des yeux tout neufs, mais je me suis vraiment impliquée, j’ai fais tout ce que j’ai pu, je me suis donnée dedans, car pour moi, le travail, c’était TOUT.
    Alors, et pourtant, ; j’ai manqué de formation, et j’ai eu du mal à retenir correctement les choses à effectuer. En plus, je n’étais pas bien à mon poste, tout simplement parce que..le poste.

    J’étais en caisse, et à plusieurs reprises, j’aurai voulu faire telle ou telle chose, sans pouvoir le faire,
    en plus, surtout, pour moi, l’élèment le plus déconstructif et le plus manquant, c’est la période/le temps de formation qu’il m’aurait fallu.

    On m’a jeté sur le tas, et ça à été n’importe quoi, mes collègues, mais surtout mes responsables, que je devais appeler souvent (soit pour demander ce qu’il fallait faire) soit pour annuler/rectifier une mauvaise manipulation , en on eu plein la tête de moi.

    Une de mes collègues avait déjà travaillé 4 mois chez Carrefour au paravant, et on voyait la différence.
    Quand à moi, c’était tout bonnement mon premier vrai emploi, et en caisse.

    Parenthèse à part, ça ne va pas.

    J’avais pas le temps pour établir des relations dans mon entourage, et avec les collègues, mais surtout..le travail.

    Le travail que j’efefctuais, la disposition dans laquelle nous sommes, ne me permettait pas d’être totalement bien, et de m’épanouir comme je l’aurait souhaité, je me sentais pas bien, et les clients, bah du coup..vu que je suis à la caisse, ..pas terrible.

    Quand j’allais bien, tout allait bien, c’était avec les clients que ça se passait bien.

    Ce qui me manque, et manquait, c’est la confiance, et l’aisance relationnelle, qui fait que ça va.

    En début de journée, je vais toujours bien.
    Mais il suffit que j’enchâine les heures, et mon état se dégrade, et je n’y peux rien, même la pause d’un quart d’heure ne permet pas de me reprendre correctement, il me faut un contact émotionnel et affectif pour me sentir bien, et pleinement bien.

    Alors quand t’enchaîne à la caisse les clients, non, ça allait pas.

    Bref, j’ai fais n’importe quoi, parce qu’à partir d’un moment, je décrochais, je n’arrive pas à me concentrer sur la tâche purement manuelle, en plus de cela…le travail ne me stimule pas.
    Vu qu’il ne me stimule pas, je décroche, en fait, bien que je tente d’être très impliquée, très bien!

    Prouvée par l’expérience, ce poste, ça n’allait pas.
    Même si j’ai appris à faire les choses au fur et à mesure, je n’aurai pas craché sur le fait de finir cette semaine et d’avoir un livret avec toutes les opérations et les manipulations à effectuer sur une caisse pour bien la tenir, et pouvoir le relire et consulter ça quand j’en ai besoin.
    Au lieu d’appeler les responsables.

    Déjà, on m’a jeté samedi sur le terrain en « formation » (au bout du quel, je savais pas grand chose.) car j’apprenais pas bien avec la personne avec qui on m’avait mise, et c’était bien mieux passé avec la seconde,
    et en plus, on m’a dit que je devais être autonome lundi, …
    alors qu’on ne m’avait pas montré plein de choses.
    Donc, c’est bon, j’ai appris sur le tas, durant la semaine…

    C’est tellement mal écrit, je n’arrive pas à synthétiser toute mon expérience de la semaine en un commentaire bien écrit et bien construit.

    ça, ça devrait être une brouillon, et j’ai pas la foi d’y revenir.

    Je vais appeler ma conseillère emploi au secours.
    Parce que du coup, lundi, je vais devoir rappeller le magasin, et mardi, apparamment, récupérer mes papiers.Je me demande si je ne vais pas demander à ce qu’on me redonne une seconde chance, mais l’idée (et vu ce qu’on m’a dit) ça m’a bien calmée.

    Je ne veux pas retravailler dans un endroit, où on me dit que ça à été très mal, pour moi, ça fait office de porte fermée (ce sont mes responsables, et même celle que j’aime bien et quie st gentille avec moi me l’a dit.)

    Elle m’a indiqué que ça devait être une expérience qui me permet d’avancer, et que je trouverais ma voie (elle, elle à dit qu’elle était bien là où elle était, dans son métier) et 95% sûrement, oui.

    Bref.

    Tu vois la conjoncture.

    Mais, je panique, je ne veux pas être inenmployée.

    Et vu l’expérience que je viens d’avoir, je crois que ça va pas être mieux si je repostule sur ce type de poste (caissière) parce que, je suis vraiment pas taillée pour (qui est taillé pour?) mais je veux dire (encore -moins- ) à ma place pour cela.

    Je pense que je vais faire une grosse bonne synthèse de toute cette semaine d’expérience, et je vais enfin pouvoir en tirer quelque chose d’intéressant pour moi.

    J’ai un rendez-vous avec la mission locale justement,et j’en parlerai, je pense que ça m’aidera encore à avancer, à faire un projet, mais en attendant,

    bref, là, je vais être inenmployée, et c’est cela qui me panique.

    C’est pas facile de trouver du travail.

    Ce boulot, je l’ai eu en postulant de manière spontanée, et ça prends beaucoup sur moi émotionnellement, de devoir retrouver un emploi ailleurs.

    J’aurai éventuellement préféré garder ce travail,et démissionner en trouvant un autre, là je panique un peu.

    Bref, sans la panique totale, ça irait un peu mieux déjà.

    Même si je me plie au travail et aux contraintes, je ne vais pas y être bien (tout de suite) c’est certain.

    Mon dieu, en fait, y’aurait trop à dire.

    Synthèse:

    je retiens que
    -j’appelle ma conseillère/coach emploi
    -je parle à ma conseillère emploi de ML
    -que j’y retourne en appellant lundi, et d’ici là, j’espère avoir tiré au clair: oui, je veux qu’on me laisse là où j’ai commencé, jusqu’à ce que je trouve un autre emploi.
    -je vais postuler pour travailler en tant que surveillante de cantine dans mon ancienne école primaire.
    J’espère que ça portera ses fruits.

    Il faut que le directeur accepte de me reprendre lundi, et que je fasse un gros rehab au travail.

    Que cette fois, je convienne parfaitement au truc, en faisant bien mon travail, avec les rectifications et les conseils qu’on peut me donenr (et que j’ai accumulé durant cette première semaine),mais je peux m’améliorer, il faut juste qu’on me laisse le temps!

    J’aimerai aussi passer en 24/25h, quoi que je sais aps..

    Enfin, bref!

    Pour être concluant
    1. Je veux pas faire ma vie là dedans, mais je suis contente de travailler alors que j’habite avec ma mère, car ça me fait du bien, en terme de fierté, de confiance, de qualité relationnelle, d’expérience, et ça me permet d’avancer sur le plan personnel (ce qui est très/important.) et ça améliore du coup considérablement mes relations avec ma mère.)

    Mais je dis pas que je vais quitter ma mère grâce à ce travail,..je pense que je me sentirais coincée.

    2. j’ai encore besoin d’appelelr au secours (merci les gens.) parce que j’arrive pas toujours à tout voir au clair , et c’est vraiment, vraiment utile d’avoir des personnes qui font miroir,

    et
    3. Hé bien, j’ai plus qu’a trouver un travail, où j’irai déjà un peu mieux!

    ha..
    4. et 5. Heu..
    Moi j’y crois plus au baccalauréat, j’ai tenté de m’y plonger, et je me suis ennuyée..tu imagines pas.
    Un truc de fou.

    Ce qui compte pour moi, ce sont les relations (leur qualité) et l’affect et l’émotionnel.
    Le problème c’est que sur le plan personnel, je n’ai pas la confiance (à 20 ans..) pour aller jusqu’àu bout de cela (établir mes relations, quand je le sent.)
    et sur le plan professionnel, c’est pas le domaine, pas du tout.

    Vous qui avez de la bouteille, surtout dans ledomaine professionnel( Sylvie, je lis tes déboires depuis des années) n’hésitez pas, abreuvez-moi de conseils si vous voulez!

    Bon, voilà.

    Fin de ma première semaine de travail quoi.

    On avance(!), mais j’y suis pas encore là!

    (help.)

    Bonne journée. ;)

    Mel.

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