Bonjour à tous,
« Ma belle Sylvie, ça va ? », me demande Lauviah.
Oui !
« Tu ne sais pas encore ce que tu vas emporter en Italie. »
C’est loin, quand le moment sera venu ne t’inquiète pas, je serai prête.
« Je ne m’inquiète pas. Tu sais, je ne me fais aucun souci pour toi. Je connais ta force et ta sagesse. Je sais ce dont tu es capable.
Je ne m’inquiète jamais pour toi, tu sais ouvrir des chemins. Même là où au départ il n’y avait rien.
Tu le fais en râlant, en protestant parfois, mais tu le fais. Tu ne t’arrêtes pas devant la difficulté. Tu cherches des solutions.
Le mode survie est souvent révélateur du type de personne que vous êtes, ou un leader ou un suiveur. L’un n’est pas meilleur que l’autre. C’est ainsi c’est tout.
A priori vous voudriez tous être des leaders. Pourtant, chaque type a ses avantages et ses inconvénients. Les suiveurs sont rarement solitaires par exemple. Ils savent s’entourer et font des choix avant-incarnation qui permettent de réduire considérablement l’isolement que connaissent bien plus souvent les leaders.
Les leaders se retrouvent toujours à un moment où un autre a devoir prendre une décision difficile qui les mettra en porte à faux avec tout leur entourage. En pareil cas de figure les suiveurs trouvent plus facilement du soutien.
Si bien que tirant parti de cet avantage évident, nombre de suiveurs parviennent à vivre en leaders, se contentant pourtant d’appliquer des modèles établis par des tiers avant eux.
Toutefois, incapables d’innover vraiment, ils doivent aussi compter sur leur entourage plus souvent que les leaders, capables de renouveler leur propre manière de voir et de penser à l’infini pour les personnes les plus douées.
Un leader n’a pas besoin d’attendre une occasion favorable, il est capable de créer l’opportunité. Beaucoup sont visionnaires mais ne se font pas confiance. Les difficultés les poussent souvent à se conduire en suiveurs. Cela ne leur convient jamais.
Les leaders sont pourtant capables de rebondir plus vite car ils sont capables de se passer d’encouragement pour avancer, dans une certaine mesure bien sûr. Ils sont capables de se passer de miroirs. Contrairement aux suiveurs qui ne peuvent rien si on ne leur fait pas comprendre qu’ils sont sur la bonne route de temps en temps.
Les coups blessent aussi bien les leaders que les suiveurs mais les réactions sont très différentes. Là où le leader saisira l’opportunité de se dépasser, le suiveur cherchera une piste plus favorable autour de lui.
Or, il a bien fallu que quelqu’un défriche la piste plus favorable un jour. Un jour où il n’y avait encore que broussaille et ronces.
Ceci dit, les leaders ne sont pas doués pour l’entretien des pistes qu’ils créent. Surtout s’ils assument le fait d’être visionnaires. Il y a toujours plus intéressant ailleurs. Ce sont les suiveurs qui consolident les édifices, qui agrandissent et sécurisent les routes, qui entretiennent la cité.
Ce sont les suiveurs qui sont doués pour les relations humaines. Qui apprécient de prendre le temps d’avancer ensemble.
Les leaders sont davantage intéressés par la découverte de solutions, problème par problème. Ils ne se soucient pas de savoir si on les suit, ils font ce qui leur est nécessaire. C’est quand ils se souviennent qu’ils aiment aussi la compagnie qu’ils ralentissent et se mêlent aux suiveurs.
C’est à ce moment là aussi que les projets qu’ils élaborent changent et deviennent accessibles au plus grand nombre. Les leaders apportent des solutions que les suiveurs savent mettre en œuvre pour en tirer le meilleur parti.
Les deux se complètent. Et c’est bien ainsi.
Une prochaine fois nous parlerons des électrons libres qui poussent les uns et les autres dans leurs retranchements car il y a aussi des cas particuliers. Des personnes qui sont là pour vous rappeler que le choix d’expérimenter autre chose existe toujours. Après…
A plus tard ma douce Sylvie. Passe une belle journée. »
Merci Lauviah.
Bonne journée à tous
Liliane
8 avril, 2016 à 22:10
Coucou
Il est bizarre cet article…Je me reconnais dans le suiveur (si j’étais leader ça se saurait) mais j’ai un côté solitaire évident. Je me sens comme prise dans une contradiction là…je vais attendre l’électron libre peut être qu’il me parlera plus clairement.
Bise
crystallia
8 avril, 2016 à 18:35
Oserais-je seulement te le dire, un ami m’a parlé d’une croisière à Cuba.
Dis-moi si ça t’intéresse lol !
Bise
Camille-Strawberry
8 avril, 2016 à 12:56
Coucou Sylvie,
Snif ! À cause de toi, j’ai rêvé que je partais en vacances à Cuba.
J’étais en croisière, les petites rues étaient divinement belles, ensoleillées, peu de mondes comme j’aime, des gebs nageaient dans l ocean vif mais pas agressif, le bateau de croisiere stationné dans une crique…
Et surtout- surtout, moi avec mon short d ete preferé vert emeraude, le son d un groupe de la Havanah que je redecouvre apres tant d années dans mes ecouteurs, et je me pavanne dans les rues pour voir l architecture à droite à gauche. Vertains coins n etaient pas autorisé aux touristes, on est a cuba quoi… la dictature et l embargo, mais je m en fichais…
C est la 1ere fois aussi que je fais un voyage seule aussi agreable…
Bref…. j ai kiffé !!! C’est la 1ere fois que je rêve d etre en vacances et de passer un moment aussi reposant, cool et où je me sens nourrie, emerveillée et en securité, et surtout avec la mer le soleil et la musique….
Fiouuuu…. gros like !!!
D autant plus surprenant que j avais dit que jamais je ne le ferais seule et les croisieres ce nest pas mon truc… comme quoi….
No comment !
Hahaha
Bref…. je VEUX des vrais vacances en vrai aussi !
Bises !
crystallia
8 avril, 2016 à 10:59
Coucou,
Je vous dirai quand je partirai.
C’est pas tout de suite lol !
Carène, ou peut-être une autre langue ? Bref.
Bonne journée
Carène
8 avril, 2016 à 3:46
coucou !
Hum c’est intéressant cette histoire de leader, suiveur et électron libre !!
J’attends la suite avec impatience.
L’histoire d’italien dans le spa est un sujet tout aussi intéressant ma foi…
Bises et belle soirée !!!
Camille-Strawberry
8 avril, 2016 à 3:41
Tu as prévu quand ton voyage du coup ?
crystallia
8 avril, 2016 à 2:39
Bonsoir ma belle,
Le souci c’est que moi je ne parle pas italien.
Tu crois que lui, il parlera français ?
Tu me diras, le temps de la croisière, ce ne sera pas trop compliqué. On fera connaissance dans les jacuzzis du spa.
Bise
Camille-Strawberry
8 avril, 2016 à 2:32
Coucou
Oh ! Tu vas peut etre trouver un bel italien ! ♡
Tiens ! Comme the bachelor, un p’tit italien entrepreneur et creatif !
Ah ! Faut pas que je rate la rose lundi soir, y a la suite de l’emission !
Vous moquez pas hein !
Haha
Bises !