Bonjour à tous,
Vous souhaitez m’aider à m’extraire de ce maelström d’énergies bizarres autour de moi c’est ça ? On dirait le thème de la semaine…
« Elles ne sont pas bizarres, ce sont des énergies normales. Celles qui se dégagent des personnes qui réalisent que certains aspects de leur vie ne leur conviennent pas ou plus.
Il y en a pas mal autour de toi. », me dit Sammael.
J’ai vu.
« Certains s’inquiètent également pour la santé de leurs proches. Il y a des changements au bureau. Une grosse période de transition.
Pour toi aussi il y a du changement, tu as vu ton travail reconnu et récompensé. Tu voulais construire, est-ce que tu réalises que tu es en train de le faire ? »
Oui, je réalise. J’ai passé tellement de temps à creuser les fondations, je suis contente de me voir enfin poser des briques.
« Quand d’autres contemplent un édifice qui leur semble tantôt imparfait tantôt étranger. »
Que puis-je y faire ?
« Réalise combien tu es aimée. Et le fait que parfois, la vie vous offre l’opportunité de ne plus agir en électron libre et redevenir qui vous êtes, au grand jour.
Un jour, il faut marcher dans ses propres souliers. Passe une belle journée. »
Merci Sammael.
Bonne journée à tous
Emilie
25 avril, 2016 à 10:05
Merci Sylvie pour la proposition d’interprétation. Je n’ai pas l’impression qu’il s’agisse de finir à proprement parler car l’établi en question prenait trop de place et tout y était noir comme de la suie. J’ai plutôt l’impression qu’il s’agit de reconsidérer la vision et le ressenti de l’établi comme si cette mémoire là devait se comprendre autrement.
Bises
Arc
25 avril, 2016 à 9:25
Guten Morgen,
Moi je ne trouve pas ça lourd en soi que des individus autour de moi aspirent à un renouvellement.
La manière dont nous vibrons détermine grandement la façon dont nous percevons les énergies qui circulent autour et en nous, c’est un fait.
De même, je trouve beau de me retrouver en présence de personnes qui s’apprêtent à initier une nouvelle part de leur être (et/ou de leur vie).
Nul n’est ici pour sauver qui que ce soit. À moins d’être pilote de secours en haute montagne, ou pompier (rires). Tiens, cela me donne des idées d’articles. Et d’autres encore… Ah la la
Le paysage autour de moi est magnifique. C’est le contraste entre le soleil qui donne de l’éclat aux végétaux et l’orage qui gronde au loin, sur les flots.
Bon, fin de ma pause. Wiedersehen !
crystallia
25 avril, 2016 à 0:52
Bonsoir,
Je suis bien d’accord Émilie, le mal de ventre est disproportionné par rapport à la bêtise originelle.
Et pour être honnête ils m’ont déjà dit qu’ils attendent le jour où je renoncerai seule à ce type d’écart. Et chaque fois je me dis, c’est fini, plus jamais…
Ce n’est pas dur à interpréter ce que tu décris. Il faut finir ce qui a été commencé dans une vie précédente.
Isabelle, je t’en courage dans cette bonne direction ! Tu trouveras un joli sac !
Plus sérieusement, sur le plan onirique par exemple, le sac renvoie à notre richesse intérieure en raison de ce qu’il peut contenir.
Chercher un nouveau sac revient donc à vouloir exploiter de nouvelles ressources.
Stéphanie, de bonnes chaussures s’adaptent à nos pieds.
Et les bonnes chaussures pour nous existent toujours. Moi-même j’ai déjà passé bien du temps à en chercher. J’ai toujours trouvé par hasard.
Continuez de croire en vous. Il ne faut jamais cesser de se dire, pourquoi pas.
Arc, j’avoue que j’ai vite trouvé ce sentiment lourd.
Il y a des personnes qu’il n’est même pas possible d’aider. Je commence juste a réalisé que ce n’est pas forcément le but.
Moi ça ne me gêne pas d’être un électron libre. Mais trouver ma place idéale me plait bien aussi.
Merci à vous.
Bise
Arc
24 avril, 2016 à 10:24
Bonjour,
Des amis de certains cercles me voient (entre autre) comme un électron libre. Je sais qu’ils m’apprécient et m’admirent, il a été donc de soi pour moi de prendre comme des compliments les petits surnoms dont ils me coiffent entre eux, et parfois d’en jouer. Pour autant, je ne m’y assimile pas forcément. Il m’a été donné très tôt au début de ma nuit de voir qui j’étais, et la place qui est la mienne en relation avec mes pairs spirituels prévaut sur la reconnaissance de groupes d’hommes incarnés. D’ailleurs, ni mon rôle, ni la reconnaissance ne sont mes buts.
Ce sentiment « général » de saturation, cet appel à vivre autre chose que ce à quoi nous avons été conditionnés, à se libérer de carcans n’est pas nouveau pour moi. Je le perçois tant autour de moi que dans la société depuis des années.
Je rigole à demi car j’ai pu m’apercevoir que ces personnes qui s’apprêtent à vivre un changement, un passage (sur différents plans), je les attire. Quand quelqu’un revient ou arrive dans ma vie, j’en viens ainsi vite à sourire, tant depuis le temps ce phénomène est devenu gros.
Bonne journée
Stéphanie
24 avril, 2016 à 9:25
Bonjour Sylvie,
la quête de mes souliers ressemble à la quête du Graal, depuis bien longtemps perdus. Est-ce que ce sont ces merveilleux petits sabots rouges à mes pieds d’enfant? Où peut-être sont-ils juste sous mes yeux et un jour sans doute je finirai par les reconnaître. En attendant je suis caméléon et m’adapte tant bien que mal aux chaussures d’ aujourd’hui.
Le mal de ventre un dimanche(ou un autre jour)c’est nul, si je le pouvais je vous enverrai de jolies ondes positives et légères pour aider à la digestion.
Bonne journée
Isabelle
24 avril, 2016 à 8:50
Coucou Sylvie
Je suis bien d’accord pour le beau. Chez moi c’est les deux ou rien
D’où la rareté de la paire trouvée comme dit précédemment. En ce moment je mets de côté pour me lâcher sur une autre belle paire, douce à mes pieds. Et je regarde les sacs à main de qualité … Mais j’avoue je n’y connais pas grand chose. Tu vois je change;)
J’ai l’impression de retrouver mon chemin en ce moment , j’ai eu des signes en ce sens.
Merci et courage pour ton mal de ventre.
Bises
Émilie
24 avril, 2016 à 5:57
Bonjour Sylvie,
Tu as été au fast food sans recevoir de mise en garde ?
Je me demande si parfois on ne nous laisse pas exprès faire des sorties de route pour que l’on se rappelle de ce qui ne nous convient pas… enfin c’était juste un écart et pas une bêtise si énorme – c’est l’énorme mal de ventre qui est stupide pour juste un petit écart. Bises
Pfff, un nouveau chemin qui n’a pas l’air de dater d’hier parce que je me disais que c’était le souvenir d’un cordonnier à la retraite (l’odeur disait pourtant que c’était toujours dans l’air du temps ).
crystallia
24 avril, 2016 à 3:03
Bonsoir,
Isabelle, moi je regarde beau d’abord ! Je ne porte pas des chaussures moches même si elles sont confortables.
Par contre ensuite je regarde confortable.
Émilie, un nouveau chemin on dirait. Ca c’est sympa.
J’ai fait une énorme bêtise aujourd’hui, j’ai été au fast food, j’ai un mal de ventre…
Bise
Isabelle
24 avril, 2016 à 1:45
Coucou Sylvie
C’est drôle mais je sens la même chose autour de moi. J’ai eu au téléphone ce jour deux de mes amies se plaignant de leurs choix et des conséquences que ça entraînait ( enfin moi j’ai traduit comme cela)
J’aime bien marcher dans mes propres souliers… Du moment qu’ils sont confortables et beaux… Lol dans l’ordre .
Bises
Émilie
24 avril, 2016 à 0:27
Coucou Sylvie,
Encore ces histoires de chaussures ! J’ai rêvé que je retournais dans l’appartement où j’allais trouver refuge parfois. Dans mon rêve j’arrachais des calendriers imprimés sur du tissu, qui étaient accrochés au mur. Sous les calendriers il y avait un établi de cordonnier en hauteur avec les outils pour fabriquer des chaussures. C’était étrange car je sentais l’odeur du cirage et de la poix. C’était une très forte odeur et je touchais les outils avec respect. Bon dimanche