Bonjour à tous,
« Tu t’es remise de ton état de faiblesse post-vacances. », remarque Ammiriah.
Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’avais justement posé une semaine après la croisière pour pouvoir prendre le temps de me remettre du décalage horaire. Je n’avais jamais mis autant de temps à m’en relever, j’étais épuisée, je ne sais pas…
Et ce mal de gorge stupide…
Mais je vais beaucoup mieux.
« Et cet incident à Dubrovnik ? »
C’est derrière moi, j’ai fait la part des choses. Et puis, ce fut un réel plaisir de me promener sur les remparts de la ville et d’admirer tous ces beaux paysages. Je tiens à me souvenir des moments agréables.
« Tu te souviens du froid et de la grêle aussi. »
Tu parles ! Il avait fait un temps épouvantable avons que le bateau n’arrive ce matin-là. Je n’ai pas vu tomber la grêle, je l’ai vu sur le sol. J’ai senti le froid, puis le temps a changé. Ensuite il a fait chaud au soleil toute la journée et froid à l’ombre. C’était vraiment drôle pour moi qui vis dans la chaleur du soleil toute l’année. En faisant un pas on pouvait avoir chaud ou froid ! Un vrai temps de mi-saison.
« Tu te souviens de ce qu’avait dit la guide dans le bus ? Et au-delà des montagnes, c’est la Bosnie-Herzégovine. »
J’aurais aimé qu’on puisse y aller aussi. J’ai bien aimé la Croatie. C’est bien plus joli que je ne l’aurais cru. En tout cas, cette région-là.
« Tu ne retourneras pas à Dubrovnik, n’est-ce pas ? »
Je ne crois pas non.
« La grêle et le froid du matin ? »
Voilà.
« Rien d’autre ? »
Non.
« Et le goût des amandes enrobées de sucre ? »
Seigneur, où trouver cette merveilleuse recette ? Je n’en reviens pas tant c’est bon. Pourtant on trouve des amandes enrobées de sucre partout. Mais là, c’était un autre niveau !
« Souviens-toi du goût des amandes enrobées de sucre. »
J’essaye.
« Tu veux qu’on parle ? »
Ca va, simplement je n’avais pas vu le type arriver et tu vois quand les gens ne se montrent pas violents, tu ne comprends pas forcément tout de suite qu’il y a un problème. C’est après que tu réalises. Alors ça fait drôle parce que quand tu réalises, tu vois le piège se refermer sur toi.
Si vous n’aviez pas pris la peine de me prévenir, je ne me serais pas méfiée, je t’assure. Je n’avais pas de raison de le faire a priori. Quand il s’est montré plus clair, on se trouvait dans une ruelle sombre, un peu à l’écart mais pas trop parce que je n’avais pas accepté de le suivre…
On se serait cru dans un mauvais film. Ensuite il a voulu m’embrasser, il voulait me toucher, j’en ai marre des gens qui veulent toujours me toucher ! Zut, tu vois je suis en train de faire un amalgame alors que je ne devrais pas.
« Mais tu ne l’as pas laissé faire. »
Pourquoi l’aurais-je laissé faire ?
« Il voulait t’offrir des cadeaux. »
Je ne veux pas de cadeau.
« Tu voulais pouvoir continuer à regarder la vitrine Michael Kors. Le sac en jeans ne te plait pas alors ? »
Je l’avais vu sur des blogs de mode. Je ne suis pas fan mais c’était amusant de pouvoir le prendre en mains et l’essayer.
« Il y avait de jolies boutiques à Dubrovnik. »
Oui c’est vrai.
« Toutefois, c’est le plaisir de pouvoir prendre des photos depuis les remparts qui l’a emporté sur le reste. »
De loin. C’était sympa de faire le tour de la vieille ville de cette manière.
« Pourquoi t’es-tu retrouvée seule ? »
Les personnes avec lesquelles j’étais au départ n’avaient pas voulu payer pour accéder aux remparts. On s’est séparé assez tôt du coup. En Croatie ou en Grèce, il n’y a absolument rien de gratuit dans les zones touristiques. Au contraire, quand on arrive quelque part on se sent tel le messie tant les gens sont contents de nous voir et pressés de nous vendre ceci ou cela.
Ceux avec qui j’étais en avaient assez de cet aspect-là. Mais de toute manière il y avait tellement de monde sur la place. J’étais loin de me douter que ce serait un problème que je sois seule finalement.
Ce qui m’énerve le plus, c’est que ça m’était déjà arrivé. Je ne comprends pas pourquoi je ne réalise pas plus vite.
« D’une part, il y a une certaine innocence chez toi qui fait que tu ne songes jamais d’entrée à ce type de choses d’autre part, tu ne captes pas certaines énergies. »
Quelles énergies ?
« Peu importe. Ce qui importe, c’est que nous te préviendrons toujours. Toujours. Et que tu ne seras pas en danger, cela ne va pas arriver. Parce que de toute façon tu ne te laisseras pas faire. »
Je ne comprends pas. Pour moi ce sont des incidents isolés. Des accidents. Et toi, au lieu de me dire que ça ne va pas se reproduire, tu me dis que je ne me laisserai pas faire !!!
Je ne comprends pas.
« Pourquoi le charmant jeune homme est-il passé vous voir aujourd’hui ? »
Je ne sais pas.
« D’habitude il vient pour le travail ? »
Oui, j’ai cru qu’il avait quelque chose à demander mais non, il est juste passé. Il a salué, il a ri un moment avec nous et il est reparti.
« Dans ta tête et dans ton cœur quand tu veux tu veux, quand tu ne veux pas tu ne veux pas. Le fameux noir et blanc. Mais les nuances de gris qui ne te touchent pas induisent des manières de penser et des comportements différents des tiens.
Certaines personnes refusent le noir et blanc. Elles préfèrent l’absence de choix que permet le gris par moments. Un gris trouble et fait de plusieurs gris justement, faits de ces énergies que tu ne captes pas.
En clair, il y a des personnes qui ne sont pas prêtes à accepter un refus. Et il y en aura toujours sur ta route. Toutes ne seront pas mal intentionnées. Certaines n’ont simplement pas ton étonnante facilité à accepter les désirs des autres. »
Je veux qu’on accepte les miens aussi.
« Alors, tu retourneras à Dubrovnik, plus tard. Parce qu’il n’y a pas de raison que tu ne retournes pas te promener sur les remparts de la vieille ville. »
J’étais triste de constater que j’étais entourée de personnes qui ne voulaient pas tenir compte de ce qu’impliquait pour moi mes intolérances alimentaires. Cela m’a beaucoup gênée et pas seulement au niveau de la nourriture.
« Pourquoi n’arrivais-tu pas à le dire ? »
Je ne sais pas. Mais je ne suis pas surprise qu’ils n’aient pas voulu m’accompagner sur les remparts.
Je ne leur ai pas raconté ce qui s’est passé. Je ne l’ai dit qu’après la croisière à un ami sur Paris. De toute façon je ne sais me confier qu’à des gens que j’apprécie.
« Tu es toujours fâchée. »
Je suis une adulte, je sais faire la part des choses, je sais avec qui je suis partie. Simplement, j’ai été très déçue, vraiment. Cette expérience m’a permis de réaliser combien il est important de rester dans des rapports sincères.
« Tu es rentrée épuisée, maintenant tu sais pourquoi. La prochaine fois, emmène un carnet avec toi. Et écris quand ça ne va pas au lieu de faire comme si de rien était. Tu peux nous parler et si cela ne suffit pas, tu peux écrire, ce qui te soulage le mieux.
Chaud au soleil et froid à l’ombre, cela résume bien l’ambiance qui régnait dans le groupe de ton point de vue. Tu es trop sensible pour supporter ce genre de variations sans être affectée. Parle-nous si ça ne va pas. Tu comprends ? Parle-nous et nous t’aiderons à évacuer les énergies.
Ca va maintenant ? »
Oui. Merci à toi.
Bonne journée à tous
alexandre
12 juin, 2016 à 15:32
De voir sa déception désolé pour l erreur lol
alexandre
12 juin, 2016 à 15:27
Bonjour Sylvie,
Ton parralele avec le harcèlement moral au travail me parfait ,ayant eu a le subir deux fois au travail sur quinze ans d intervalle la deuxième fois étant lors d un stage dans une agence immobilière de la part d une autre stagiaire qui s était auto proclamée secrétaire la bêtise me laisse sans voix . pour répondre a cel quant a son hypothèse de faire face la seconde fois dans le cas du harcèlement moral c n est pas moins facile .certes j ai pu identifier la manoeuvre assez vite mais la mémoire peut être traite et nous rappeler précisément les pires moments de notre existence j ai fait face et remis en place la personne mais a l intérieur j avais l impression de repartir en enfer d ou une tendance a la dépression cette expérience m a fait comprendre la fragilité de l être après un traumatisme c dire si la capacité de résilience(accepter ses épreuves passées et en tirer quelque chose de positif) de chacun n est pas illimitée bon je dois bien avouer que me suis venger a la fin en offrant des boites de cigares et de Léonidas au patron pour le remercier de son accueil mais aucune boite a cette personne ça m a fait un bien fou de voiture sa déception cachée derrière son indifférence de façade bref je crois que le plus important c de faire face dansla mesure du possible bisous
Fleur
12 juin, 2016 à 15:13
Bonjour Sylvie,
Je te remercie de tout cœur pour tout ces textes !
Merci à vous pour vos témoignages et échanges !
@Cel : je peux t’assurer que l’on peut rencontrer des récurrences déplaisantes concernant ce sujet sans être médium !
Bises
Emilie
12 juin, 2016 à 10:47
Bonjour,
Vos commentaires sont très inspirants. « ne pas se laisser faire » et regarder l’autre en face, c’est aussi être capable de regarder en face sa propre peur, celle qui s’est enracinée avec la peur immonde de mourir. J’ai eu quelques petits rappels surprenants au sujet de mes peurs pour me montrer que j’étais capable d’y faire face.
En sortant du yoga la nuit dans des rues désertes, je suis tombée sur des groupes de jeunes excités qui m’ont hurlé dessus en criant « ça va Madame? » et essayant de me prendre en photo avec eux. D’autres ont essayé de me barrer l’accès du parking. Dernièrement j’ai même eu des doutes parce qu’un vieux monsieur qui aimait me parler m’avait proposé de m’inviter chez lui « en tout bien, tout honneur ». Je regarde ma peur et la trouve stupide car je devrais pouvoir gérer d’autant plus que sa santé est fragile et qu’il m’avait dit qu’il se sentait mieux, rien qu’en me parlant. Il y a des petits détails qui m’ont déplu et montré que je n’étais pas prête à gérer et faire le tri alors que j’avais uniquement senti « prudence » et non « peur » face aux jeunes.
Pour l’instant je me dis que je n’ai pas envie d’aller au devant de détails qui me froissent et m’obligeraient peut être à confronter ma volonté à celle de l’autre, alors que franchement ce n’est pas si compliqué.
En fait il n’est pas possible d’instituer une harmonie globale si on ne sait pas protéger son propre noyau – cet endroit où il n’y a pas de place pour la peur – un espace totalement sur qui nous appartient.
Cel
12 juin, 2016 à 8:38
Rebonjour,
Je relisais les commentaires et une question sur les nuances de gris me revenait.
Qu’est ce qui fait qu’on émet ces nuances plus ou moins nettes ? Le fait d’avoir une relance au Milieu veut-il dire systématiquement qu’on est dans des nuances de gris ?
Pour ma part, j’apprécie les choix tranchés… mais je sais aussi que rien n’est tout blanc ou tout noir. Et j’ai l’impression que parfois j’émets des « énergies grises » malgré moi alors qu’à la base dans ma tête ça partait sur un choix tranché blanc…
Je ne suis pas sûre de très bien réussir à exprimer ce que je veux dire…
Bise
Liliane
12 juin, 2016 à 8:32
Coucou,
Il fait beau aujourd’hui, la grisaille est bien passée et il fait même un peu plus chaud à l’ombre maintenant, c’est très agréable. Ça valait vraiment le coup de rester réactive à ce changement intempestif de température, en évitant de le subir je peux profiter du beau temps en bonne santé. Je comprends de mieux en mieux pourquoi tes guides t’appellent petite fille, tout le monde il est pas bon il est pas gentil. Quand bien même la petite fille en moi ouvre les bras à tous comme la version de pinochio que j’ai vu hier à la tv, quand le risque est grand dehors la sonnette d’alarme qui retenti en moi ne me laisse pas d’autres choix que de me mettre en posture de défense. Je me rappelle en primaire en CP je rentrais à pied de l’école et sur le chemin il y’avait de garçons de l’école qui m’ont fait la chasse pour me tabasser, c’est le sport préféré des plus forts ceci dit. Après des bousculades incessantes en récréation, c’était le jour du finish. J’ai couru le plus vite possible en tenant mon petit frère par la main, nous avons traversé un pont et après je me suis arrêtée net. J’avais entendu en moi une voix qui disait si tu continues de courir, tu vas courir toute ta vie. J’étais en CP…Je me suis arrêtée net balancé mon cartable au sol et gardé mon petit frère derrière moi et j’ai fait face à ces trois gaillards points serrés gonflant comme si j’allais lancer un assaut je leur dis venez je vous attends.
stupidité toutefois eux aussi ils se sont arrêtés net, ont arrêté de rigoler et sont partis et je n’ai plus jamais été embêtée. Aujourd’hui je les sens mieux ces nuances ça se traduit par l’ambiguïté chez la personne en face de moi, j’en tiens compte ou pas et parfois on ne me laisse pas le choix, je vois ce qui est le plus susceptible d’arriver.
Je te souhaite à toi et aussi à tous ceux qui ne s’y retrouvent pas d’arriver à gérer les nuances de gris parce que d’une ça aide à se prémunir en cas de mauvaise rencontre, tu es prévenue à l’avance après tu en fais ce que tu veux. De deux augmenter son spectre c’est pas mal aussi, de nouveaux boutons sur ta table de mixage, ce sont de nouvelles sonorités la symphonie qu’est la Vie ne peut pas être complète si ces nuances sont mises de côté.
Je vous souhaite vraiment que ces nuances glissent sur vous sans s’accrocher.
Bises
Cel
12 juin, 2016 à 8:31
Coucou.
Encore une fois cet article résonne très fort en moi. Que ce soit le décalage avec les autres et le problème de « sincérité », que la situation problématique récurrente avec le sexe opposé …
Et quand je t’ai lu, quelque chose m’a frappé. Je sais que Elédahiel t’a dit que l’article précédent était le dernier de la série. Mais en le lisant, j’ai pourtant eu la sensation qu’il y avait un lien direct avec celui ci, un lien qui m’a ébranlé.
Par effet miroir, je peux dire que j’ai vécu par moments des situations qui ressemblent un peu à celle que tu décris. Que ce soit par mon viol, par des situations urbaines où j’étais agressée verbalement par des hommes ou par les situations de dominations vécues au travail…
Ces situations semblaient se répéter encore et encore, et cela arrive encore par moment. Et je me demandais aussi : pourquoi ?
Jusqu’à ce que je prenne conscience un jour, que si je me sentais perpétuellement agressée par les hommes sans raison, ces situations étaient là pour mettre en lumière ma peur : ma peur de l’homme, ma peur d’être dominée par le sexe masculin et d’être abusée. Peur qui en fait est surtout révélatrice d’une partie de mes blessures…
Quand je te lis, je vois la description d’une situation où l’autre n’accepte pas ton refus et où il essaye de t’imposer ses désirs/émotions. Cela ne peut-il pas être mis en parallèle avec ce que tu as vécu dans ta vie passée ? Une situation où la personne que tu aimais n’a pas accepté ton refus et a cherché à t’imposer ses sentiments ?
Dans ce cas, est ce qu’être confrontée encore et encore à cette situation n’est-elle pas une opportunité pour toi d’apprendre à faire respecter ton refus ? Le « tu ne te laisseras pas faire ».
Ou peut être d’apprendre à comprendre la difficulté de l’autre à accepter ton refus pour t’amener vers un pardon ?
Comme si quelque part tu revivais la situation en moins intense, jusqu’à apprendre à y faire face, pour te sentir armée, si un jour tu es de nouveau face à la personne de ta vie passée ?
Parce que pour avoir vécu un viol, la questions de la responsabilité et de la culpabilité est toujours une question épineuse. Dans mon cas, si je veux me sortir de la position de « victime » alors je dois accepter ma part de responsabilité, que quelque part « j’ai laissé faire » même si ce n’était pas ma volonté. Alors, apprendre à « ne pas me laisser faire » si la situation devait se représenter me redonne du pouvoir et me permet d’essayer de sortir de la peur…
Voilà ce la lecture de cet article a évoqué en moi… J’espère que tu me pardonneras si le parallèle te choque ou t’ébranle (comme il l’a fait pour moi. Ou si je suis à côté de la plaque…
Bise
Cel
alexandre
12 juin, 2016 à 1:21
Bonsoir Sylvie,
On peut dire que la gent masculine en prend pour son grade ce soir lol blague a part étant de cette catégorie incriminée, je peux dire dire que je me suis retrouve parfois en danger mais que je l avais senti auparavant .avec le temps je capte les énergies malsaines chez un individu et sait automatiquement quand une situation va dégénérer cela est sans doute du a ma relance a l ombre. Mais je te comprend ce n est jamais agréable de voir sa vie menacée… Ça me rappelle une histoire je rentrais a pied d une soirée et ai été pris en stop par quatre individus louches un contre quatre c était mal parti ils m ont d ailleurs menaces de me tabasser . sur le coup j en menais pas large j ai ruse et joue les idiots en évitant tout signe de peur je te dis pas mon soulagement quand suis descendu de la voiture a croire qu’être médium prédispose a ce type de rencontre c est la question que je me pose? Biz
Eve
12 juin, 2016 à 0:33
Bonjour Sylvie,
Je suis désolée pour ce qui t’es arrivé. Je suis contente que tu arrives à t’en remettre. Je souhaite que la prochaine fois, tu voyages avec des personnes plus sincères.
Bises
Camille-Strawberry
12 juin, 2016 à 0:26
Coucou
Je me rappelle la fois où je suis passée par la plage pour rentrer. Je n’y voyais que quelques kilomètres, deux ou trois tout au plus. Il y avait le double voire le triple. La nuit était tombée et malgré plusieurs avertissements, je me retrouvais à longer la côte seule la nuit.
Je suis passée devant un homme qui avait commencé par se masturber. Quel malaise cela m’a fait… je me suis reteouvé à moitié en train d’être suivi par cet homme au pantalon baissé…
Du coup, j’ai vite traversé la rue après lui avoir gueulé dessus et retrouvé l’hotel en taxi.
Le lendemain, j’appelais les compagnies de vol pour rentrer en france plus tôt que prévu. Il venait de me degouter des voyages effectués seule par une femme. Depuis ce jour, je n’ai plus envie de voyager seule.
Peut etre plus tard, avec les années ou dans un cadre différents.
Cela me touche beaucoup ton histoire et aussi sur les nuances de gris que je déteste. D’ailleurs, je n’aime pas ressentir ça chez un homme et ne supporte pas qu’ils me collent aux baskets.
En meme temps, je n’aimepas avoir à faire des généralités et à m’empêcher de vivre à cause d’une mauvaise rencontre…
Ça m’énerve. Ces attitudes et pulsions malsaines masculines m’énervent terriblement.
Ce n’est pas facile je trouve d’être libre d’être femme, dans sa tête et dans son corps.
Sachons au moins bien s’entourer et ne pas s’imposer des présences qui nous enchainent.
Bises