Bonjour à tous,
Je ne vais pas revenir sur les articles abordés la semaine dernière simplement je pense qu’il serait intéressant de développer un peu ces concepts.
« Pour toi c’est la fracture le plus grave ? », me demande Elémiah.
En y repensant j’en ai vu deux. Dans les deux cas, je pouvais apporter des soins mais pas aider à la guérison.
« Pourquoi ? »
Parce que la fracture apparait quand on condamne une porte. Ce qu’il ne faut jamais faire. C’est comme si vous fermiez à clé la porte de la chambre du bébé, avec le bébé dedans et que vous jetiez la clé dans un fleuve avant de vous éloigner.
Vous condamnez l’enfant à une morte certaine et vous ne pourrez pas réparer cela. Quand plus tard vous voudrez revenir, il vous faudra défoncer la porte mais quand bien même, le mal sera fait. Et vous pourrez juste rester devant cet état de fait. Ce sera trop dur car vous saurez être le seul responsable de la situation alors vous ferez un choix radical, vous vous éloignerez à nouveau. Sans pouvoir jamais oublier.
C’est cela une fracture. Et tout à coup je me souviens que c’est le pardon qui sauve…
« Oui, tu viens d’avoir une révélation ? »
Oui mais qui n’a rien à voir avec cet article.
« Dis-moi. »
Elédahiel a dit que ma blessure est guérie.
« Pourquoi ? »
Parce que du coup l’écriture de cet article me renvoyait à ma propre blessure et je ne sais qui m’a demandé si j’accepterais de revoir mon fameux ex-amour. J’ai répondu bien sûr, il me doit un enfant.
« Quel enfant ? »
C’est la question qu’Elédahiel m’a posé alors. J’ai répondu celui que je n’ai pas eu le courage de garder la dernière fois. Aujourd’hui je travaille, même si le gars prend la fuite ou que ça finit en eau de boudin, je garde le bébé et je m’en occuperai. Je m’occuperai de mon enfant. Et comme je suis juriste je l’obligerai à verser une pension alimentaire s’il ne veut pas faire face à ses obligations. Je ne me suiciderai plus pour un gars. Je garde l’enfant et je vis ma vie.
Et Elédahiel a dit, tu es guérie. C’est parce que j’ai dit que je voulais l’enfant ?
« Oui, c’est la preuve que tu es prête à aller de l’avant. »
Je pense que mon petit neveu, ma tornade préférée, y est pour beaucoup. C’est fou toute cette énergie dans un si petit corps ! Où est-ce qu’il la trouve lol ?
« C’est bien. Grâce à ton témoignage tes lecteurs savent qu’il est possible de se remettre d’une blessure. Les fractures entrainent de plus graves conséquences. »
J’ai vu, ça se répercute sur le corps physique, des maladies incurables, dégénératives…
Comment est-ce qu’on répare ce genre de choses ? Je ne sais que soulager, je n’arrive pas à soigner efficacement.
« Tu as vu le temps qu’il a fallu avec toi et tu n’avais qu’une seule blessure. Pourtant tu voudrais pouvoir soigner en deux heures une fracture ? »
Je vois, il faut des semaines de séances…
« Non, une par mois pour faire bouger les énergies en douceur, les bénéfices apparaissant petit à petit. Il faut soulager d’abord, ensuite dans un second temps, tu peux pratiquer de vrais soins. C’est long mais sans violence. Par contre ce peut être inconfortable au départ. Ce n’est pas anodin de faire bouger les énergies.
En outre il est nécessaire de demander à celui qui reçoit de noter ses rêves et de faire interpréter les plus marquants.
Tu souhaites proposer des soins énergétiques de ce type ? »
Pas dans un avenir proche, je voulais juste savoir s’il y avait une méthode efficace.
« Il y en a toujours, tu devrais le savoir. Et que penses-tu de la brûlure ? »
Il me semble que ce n’est pas fameux non plus, cela induit une souffrance sourde qui se manifeste par des ennuis de santé ou une incapacité à aller vers les autres. Pourquoi ce type d’incapacité au fait ?
« Parce que les brûlures sont toujours d’origine relationnelles. Elles sont plus difficiles à guérir que les fractures. »
Ah bon ?
« Eh oui. Mais la méthode reste la même. Soit ce que nous avons fait avec toi et qui a été efficace pour toi, soit des soins comme décrits plus haut. »
Pour la première méthode il vaut mieux être capable de pratiquer la voyance en plus d’être guérisseur. Sinon on ne peut pas retrouver l’origine du problème.
« Il y a des médiums qui ne voient pas dans le passé. »
Oui j’ai su, c’est drôle, pourquoi ?
« Parce que ce n’est pas leur domaine de compétence. »
Je comprends, moi je n’ai pas beaucoup de contacts avec les morts par exemple.
« Par exemple. Tu es un passeur d’âmes ceci dit. »
Oui, de temps en temps je le fais encore c’est vrai…
« Toi tu étais une guérisseuse au départ. Puis tu as aidé des femmes à avorter et tu es devenue une enseignante par la suite. Tu as longtemps été une enseignante. C’est au cours de cette période que tu es devenue passeur d’âmes.
En réalité à l’échelle de ton âme cela ne fait pas longtemps que tu es devenue une messagère. Juste avant tu étais devenue visionnaire et c’est à ce moment-là que tu as développé la capacité de voir au-delà du temps. Tu t’es élevée au sein de ton clan et tu as acquis des Serviteurs. A ce moment il t’a été proposé de redevenir guérisseuse. Tu avais développé suffisamment d’amour et de compassion pour accroitre ta puissance spirituelle.
Tu as préféré rester une messagère, tu sauras un jour pourquoi mais il y a une raison noble derrière ce choix. Ceci dit la Source ne s’est pas arrêtée à cette réponse.
La possibilité d’être une guérisseuse est toujours accessible. Si tu le souhaites ou si tu en as l’occasion, tu peux aider quelqu’un à traiter ses blessures. Tu verras.
Toutefois pour revenir à la brûlure, le souci est qu’en profondeur elle se consume sans fin. Donc la guérison ne peut se faire qu’en trois temps, soulagement, soins pour traiter et enfin soins pour aider à la cicatrisation.
C’est long mais les bénéfices apparaissent au fil des séances là encore. »
Merci Elémiah.
Bonne journée à tous
Arc
16 juin, 2016 à 23:07
Euh, m’en fait Sylvie je ne saisis pas bien ton histoire. Parce que gâcher un fruit c’est dommage, on est d’accord. Mais bon, on assume, et on en cultive d’autres. (Et s’il y a quelque chose à réparer, on répare..) Pourquoi un tel drame ?
Sinon Midori, tu as l’habitude d’être aussi exigeante avec tout le monde ? « Une description plus détaillée », non mais… C’est en cuisinant qu’on devient bonne cuisinière. Je te propose d’y aller une première fois au feeling avec les ingrédients (et du beurre de préférence si tu peux). T’ayant lue, cela me semble un bon exercice Et si envie, ensuite on en discute.
Bonne nuit les filles
P.s. Il n’y a pas qu’à Bruxelles que les frites sont saisies deux fois.. Ce qui est plaisant surtout concernant les frittes de cette région, c’est l’utilisation de la graisse de boeuf. Et puis il y a tout ce qui va avec je suppose. Ceci dit, les personnes qui prétendent détenir la « vraie manière de faire quoi que ce soit » me donnent de l’urticaire. D’ailleurs tu n’arriveras sans doute jamais à obtenir les mêmes röstis que ceux de ta mère grand, Midori. Je sais, cela peut être frustrant. C’est qu’une recette n’est pas qu’une liste d’ingrédients et de quantités. (Oh, je n’ai jamais mangé de carbonnade flammande, et ne cours pas après les plats mijotés. Cela m’intéresserait de découvrir cette poudre de paprika fumé utilisée en Hongrie pour la goulash ceci dit. Si tu supportes, j’aime bien placer des tranches de bonne raclette crémeuse lorsque j’éteins la plaque, avant l’oeuf au plat. Et mes lardons sont fumés. Les variantes ne manquent pas !) Pardon. Rooo.. je me suis de nouveau emballée. Enfant, je séchais l’école pour cuisiner. Ma mère rentrait et découvrait la table pleine de pâtisseries et autres, ce qui la fâchait car je « dévalisais ses provisions », disait-elle. Bon.. (râclement de gorge)//
Cel
16 juin, 2016 à 20:49
Bonsoir,
Merci Sylvie pour ce partage qui m’apprend plein de choses et me fait avancer petit à petit.
Alors la brûlure est différente d’une fracture ou d’une blessure. Ce que je lis ne semble pas très enthousiasmant, mais cela permet aussi de mieux faire face. Et encourage à la compassion et à la patience avec soi même, après tout ça ne parait pas simple d’en guérir une…
» cela induit une souffrance sourde qui se manifeste par des ennuis de santé ou une incapacité à aller vers les autres »
Je dirais même « et ». C’est marrant parce que je me retrouve bien dans ce que tu dis vers l’incapacité à aller vers les autres. J’ai beaucoup de mal avec des inconnus, et dans le cas de mes proches c’est très fréquent quand je vais mal, je me renferme totallement. Je me suis toujours demandée pourquoi alors que je n’ai aucun problème pour parler en public, etc etc.
Sans vouloir te mettre aucune pression, si un jour ton chemin et tes choix t’amène à proposer des soins, je serai heureuse de pouvoir travailler sur ma brûlure avec toi, car je ne doute pas une seconde de tes capacités de guérisseuse.
Sinon, aujourd’hui j’ai appris à Bruxelles que les vrais frites se faisaient cuire en deux fois ! Vous le saviez ??
Bise
midori
16 juin, 2016 à 19:23
Huuuum des rosti c est si bon
Aurais tu une recette plus détaillée ? Ma grand mère est là reine des rosti mais les fait à l oeil et j ai jamais su en refaire. Miam miam avec une goulash ou des carbonade flammande miam miam
Arc
16 juin, 2016 à 17:22
Coucou !
Ah, par tout les temps, rien de tel que de bons röstis !
J’utilise des pommes de terre à chair ferme, que je râpe crues avec la râpe à gros trous, dite à röstis, qui est comme celle à fromage, les trous étant plus gros. Je fais revenir des petits oignons et des lardons, coupés en dés, puis mélange le tout aux pommes de terre dans la poêle. Il ne faut pas écraser le mélange, ni le couvrir, mais le laisser respirer. Ne pas trop brasser, retourner une ou deux fois jusqu’à ce que le mélange prenne une jolie couleur caramel à l’extérieur. L’intérieur doit rester moelleux, et l’extérieur est croustillant. On ne les rôti ni trop brusquement, ni trop mollement (le tout étant de trouver le juste équilibre) – et on sale plutôt sur la fin. Un œuf au plat dont le jaune viendra napper les pommes de terre fumantes : et voilà qui est plus sain que des chips.
Ma mère fait parfois des vols au vent de röstis (plutôt que de pâte feuilletée) : garnis d’une sauce aux cèpes, c’est parfait. Et ils se congèlent parfaitement.
Mais que disait-on ?
Ah oui, parfois je fais aussi des « croustilles » avec juste des pommes de terres (fermes), râpées à la râpe fine à fromage, et de la taille environ de la paume de ma main.
Revenons à nos moutons.
Difficile par moment de rester légers lorsque nos proches ne sont pas bien.
Ceci dit pour ma part, c’est une belle journée aussi. Qui n’irait pas bien, savourant ce délicieux jus d’aloé vera le temps d’une pause méritée ?
Camille-strawberry
16 juin, 2016 à 14:19
Coucou,
Moi c’est fini, j’arrête de te lire.
Je suis sûre qu’à cause du fait que je l’ai lu cet article, ça m’a remis sur le dossier de ma fracture originelle et comme par hasard cette nuit, on me relance sur un vieux sujet datant de l’ère maya et dans lequel j’aurai tout foiré et qui fut une catastrophe pour moi à tout point de vue.
Sans oublier que mon frère y aurait un rôle, ce qui expliquerait l’enjeu avec lui dans mon incarnation actuelle.
Je ne sais pas du tout comment je vais guérir ça et aller de l’avant.
Lorsqu’on m’a sorti le paquet, j’ai simplement répondu que dans ma vie présente, je voulais vivre autre chose, que je ne voulais plus faire du mal et être guerrier, tuer des gens. Dans cette vie, je veux juste de l’amour et vivre le bonheur.
Je crois que l’Amour est magique, que l’Amour peut tout guérir.
Je crois que la paix et le pardon se trouve dans l’Amour. Voilà pourquoi il transcende et transmute.
Si j’ai encore du mal à pardonner et à trouver la paix, je me dis qu’il me suffit de me rappeler comment Aimer.
Je n’ai pas dit que c’était simple. Mais je sais qu’au fond de moi, cet Amour est là.
Bises
Emilie
16 juin, 2016 à 10:29
Bonjour Sylvie,
En te lisant j’ai eu cette réflexion « il faut battre le fer pendant qu’il est chaud » qui est la suite de « faire d’une pierre deux coups ».
Aujourd’hui au travers de tes articles, je sais que j’accepte que la guérison passe par l’incarnation, qui permet de transmuter les énergies. C’était quelque chose d’innaceptable jusqu’à l’âge adulte; jusqu’au jour où j’ai consciemment décidé de fermer l’issue de secours pour Vivre quoiqu’il en soit. Avec un seul fil, on peut tisser son pansement et le laisser poser jusqu’à la cicatrisation totale qui permet de le reprendre.
j’ai cette image parce que j’ai été brûlée au troisième degré durant mon enfance et comme ma mère ne voyait pas l’intérêt d’arracher les chairs à vif pour pouvoir changer mon pansement, elle m’avait dit que c’était au dessus de ses forces et qu’elle ne le ferait plus. Nous avons attendu que la peau se reforme et j’ai gardé la trace des fils du pansement imprimée dans les chairs.
Fleur
16 juin, 2016 à 8:39
Alors là !
La souris a ripé pour aller sur « La guérison spirituelle : l’âme et le corps »
Je fais quoi de tout ça ?
Bises
Fleur
16 juin, 2016 à 8:26
bonjour Sylvie,
Ouah ! j’imagine que c’est de ce vert qui claque dont tu parlais à Liliane !
Je te souhaite du bonheur et encore du bonheur !
Un grand merci pour cet article,
En lisant ton article, ces paroles passent dans la chanson que j’écoute :
« Entre ma conscience et moi, deux poids deux mesures
Il y a le temps des grands soirs et le temps des BLESSURES »
Bises et Merci !
À
Bluebird
16 juin, 2016 à 8:11
Bonjour Sylvie,
J’ai découvert avec un long décalage tous tes derniers posts de partage. Et celui là est juste incroyable.
Merci d’oser partager ce chemin de guérison avec nous depuis des années. Elemiah a raison : ça aide. Pour moi, c’est comme si tu enseignais à travers ton exemple, ton parcours.
Je me sens pleine d’espoir et de joie.
Je te souhaite une très douce journée.
Et…je garde avec sourire et admiration l’image que tu évoques d’une femme capable de décider ainsi de sa vie et de choisir d’élever seule son enfant dans l’Amour et la Volonté, debout et magnifique !
Bises
Lara
midori2005
16 juin, 2016 à 5:23
bonjour sylvie
ho c est super que tu sois guérie (autant de te maladie que de ta blessure), quelle histoire triste tu a vécu
par contre tu a de la chance de savoir ce que tu a été et ce que tu est maintenant, moi j’arrive même pas a savoir si j’ai un don… je pense avoir des capacités mais je les ai brimée si longtemps que j’arrive jamais a savoir si c est le moi bridé ou non qui parle perdre confiance en ses instincts c est assez pathétique…
mieux encore j’ai le sentiment qu’un de mes gardiens m’aie parler de mon frère dans un rêve…je me souviens d’avoir été fière d avoir appris ce qu il était et …je me souviens pas de ce que c est…juste le sentiment…c est super frustrant…tu a beaucoup de chance
tu sais pas aider les gens a distance a trouver leur talents par hasard ?
je me demandais également y a t il un moyen de parler a ses guides (guide totem et dragons) autrement que par méditation ? de manière plus éveillée et moins « rituel »
les dragons que j’ai comme guides, c est comme les totems? chacun a un guide particuliers ou tout le monde a t il des dragons guides? un peu comme un ange gardien?
je pensais poser mes questions sur le forum mais il a fermer… c est définitif ?
bonne journée a tous
bises