Bonjour à tous,
« Ca va me belle Sylvie ? », me demande Elédahiel.
Oui.
« Tu préfères aller marcher le soir finalement ? »
Oui, je constate que cela me va bien, correspond mieux à mon rythme aussi. J’aime bien.
« C’en forgeant que l’on devient forgeron, dîtes-vous. Il n’y avait qu’une façon de savoir ce qui te correspond le mieux. »
Voilà c’est sûr.
« Donc je t’ai annoncé que tu étais guérie. »
Oui. Bonne nouvelle !
« Oui, je voudrais que tu tiennes compte de certaines choses ceci dit. Tu étais très jeune dans cette autre vie, tu n’avais pas l’âge que tu as maintenant. Cela a beaucoup joué. Je t’ai dit que ce qui est possible à 35 ans peut ne pas l’avoir été à vingt. En l’occurrence tu n’avais pas atteint vingt ans.
La volonté peut permettre de dépasser de nombreuses difficultés. Toutefois, c’est une volonté éclairée qui permet cela et non pas un rouleau compresseur aveugle.
Dans le cadre d’une guérison spirituelle, le temps ne devrait jamais entrer en considération. C’est une donnée erronée. Ce qui importe c’est le dépassement.
Ce n’est donc pas l’âge mais les expériences dont vous tirez profit qui vous permettent véritablement de progresser vers l’épanouissement de votre Être parfait.
Je te répète que vous avez la capacité de faire face à tout ce qui se présente à vous, toutefois et tu le sais déjà, ce n’est pas toujours le cas sur le moment.
Parfois il vous faut d’abord accepter une situation, accepter l’expérience. Cela peut nécessiter d’aller chercher des ressources insoupçonnées en vous. Des ressources dont vous pourrez tirer profit toute votre vie durant.
Rien ne se perd.
Ce qui nous ramène au palier de satisfaction. Vous passez parfois bien trop vite sur vos propres mérites. C’est dommage. Tu peux être contente et fière d’avoir su guérir cette blessure. Tu as travaillé pour cela.
Il faut savoir apprécier ses propres réalisations, nous te l’avons déjà dit. »
Je suis contente.
« Et fière. »
Et fière de moi.
« Et là tu sens cet apaisement qui correspond à la reconnaissance par ton ego de ta belle âme. Cela existe aussi. Car c’est toujours l’âme qui permet la guérison des corps énergétiques. L’ego a tendance à tourner le dos aux problèmes de ce type.
Il est temps de passer à toute autre chose. La maison de ta grand-mère n’est toujours pas vendue ? »
Non, j’en suis très contente.
« Mais tu n’as toujours pas les moyens d’acheter la maison et de payer les travaux. »
Non, je suis sure que cela évoluera. Parce que j’ai décidé de le croire.
« Eh bien regarde les étoiles alors, elles chanteront pour toi. »
Tu parles comme les Fées là !
« Regarde et écoute leur chant, il est doux et apaisant. »
Merci Elédahiel.
Bonne journée à tous
Bluebird
17 juin, 2016 à 11:20
Coucou…
Merci Arc pour ton partage.
J’ai souri, Sylvie,lorsque tes guides t’ont demandé de compléter en disant que tu étais contente ET « fière de toi ».
Je me sens touchée par l’explication qu’ils donnent juste après en lien, et le lien entre « assumer qu’on est fier.e de soi » et le processus de guérison des blessures :
« Et là tu sens cet apaisement qui correspond à la reconnaissance par ton ego de ta belle âme.Cela existe aussi. Car c’est toujours l’âme qui permet la guérison des corps énergétiques. L’ego a tendance à tourner le dos aux problèmes de ce type. »
C’est rigolo, je viens de toucher cette difficulté à dire « je suis fière de moi » , ou à me dire sincèrement que « oui, j’ai su faire quelque chose de difficile » (sur le plan sprirituel, relationnel ou créatif »).
C’est un peu comme une étape de « clôture de guérison », c’est ça ?
Cet apaisement, il fait tellement de bien !
C’est ça qui permet de fermer le dossier pour passer vraiment à autre chose, non ?
Je te souhaite de passer bientôt à de nouvelles aventures délicieuses pour la Femme en toi
Bises
Lara
Fleur
17 juin, 2016 à 8:36
Merci Sylvie pour ta réponse !
J’ai déjà fait preuve de forte volonté, mais il faut toujours que je fasse un gros effort pour m’en rappeler (je suis du style, quand c’est fait, pas la peine de revenir dessus) c’est un drôle de « travail » à chaque fois !
Et puis c’est juste évident, si quelque chose ne convient pas, au bout d’un moment on chamboule tout où on va voir ailleurs … ouais, ce n’est peut-être pas pareil pour tout le monde.
J’ai la sensation permanente que je ne saurais faire face à quoique ce soit, mais quand je prends du recul je sais que je l’ai déjà fait !
La difficulté doit être due aux périodes « creuses » ou la seule chose à faire est d’être là …
Ah là là !
Ah ça y est c’est « éclairée » qui me titille !
Bises et Merci !
Tu peux toujours avoir la maison de ta grand-mère alors ? ce serait chouette si c’est ce que tu veux !
crystallia
17 juin, 2016 à 2:30
Bonsoir,
Fleur, dis-toi bien que quand le moment de faire preuve d’une volonté bien marquée se présentera, tu le sauras !
Chouchou ! Si elles chantent comme toi, j’ai hâte de les entendre !
Arc, heureusement qu’aujourd’hui tu comprends ton chemin.
C’est aussi cela qui rend la vie attractive.
Bise
Arc
16 juin, 2016 à 17:21
Bonjour Sylvie,
Je sais bien combien c’est gratifiant d’arriver à bout d’une blessure. J’ai été presque surprise de le constater il y a quelques temps avec mon père.
C’est lorsqu’on confie véritablement les commandes à son cœur qu’on fait les plus grandes enjambées. Car il n’y a que le cœur qui guérit.
C’était un de mes enjeux d’incarnation, donc je savoure cette sensation délicieuse, comme dans ce jeu d’illusionnisme où, tirant sur les deux bouts d’une corde, le nœud qui semblait la contraindre de manière inextricable disparaît laissant place à la fluidité.
Avant d’être mon père, il fut mon seigneur et époux. Mais, du fait de jalousies, on lui fit croire que je l’avais trompé. Il me fit enfermer longtemps. Puis, comme j’étais aussi guérisseuse, je fus brûlée devant toute ma cour.
Autant dire que dès mon enfance, nous fûmes assaillis d’émotions et ressentis intenses. Il y eut des moments terribles autour du feu de cheminée justement, où nous nous sommes probablement demandés tout deux si nous ne devenions pas fous l’espace d’un instant. Je suis heureuse qu’il soit mon père dans cette vie.
Dans cette autre vie, dans le cachot, je mis au monde un enfant. Dès ma jeunesse, je revécu ces mémoires sans y rien comprendre, c’était comme imprimé en moi physiquement. Petit à petit, une partie de moi se réveillait et hurlait : « Rendez-moi mon enfant ! », « On m’a pris mon enfant.. Mon enfant… » Je n’étais pas mère, et ne me souvenais de rien. J’ai appris à entrer et sortir de cet état qui ne me perturbait pas autrement.
Bon, ce soir, paëlla. Décidément, même sans gluten ni lactose, la vie reste très attractive…
lapriereducompositeur
16 juin, 2016 à 13:16
Coucou!
« Les étoiles chanteront pour toi »… sérieux… on dirait que ça parle de moi là… XD
Des bisous!!! <3 <3 <3
Fleur
16 juin, 2016 à 8:49
Re-bonjour Sylvie,
Il me parle bien cet article aussi, Merci !
« tout se complique, il faut redéfinir la couleur de nos rêves … »
La Volonté éclairée, je ne suis pas sûre de connaître, et j’ai l’impression que justement le domaine facile fait que l’on sait sans prendre pleinement conscience … est-ce cela ? Et du coup pour les autres domaines, c’est difficile de les appréhender avec une Volonté « volontaire ».
Bises