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Considérations

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Considérations 16070311134617181814352758

Bonjour à tous,

« Il arrive que la vie vous réserve de belles surprises. On t’a proposé une nouvelle mini croisière. Ce n’est pas encore sur pieds mais tu es déjà emballée.

Qui sait, les choses évoluent, les gens évoluent. Les besoins et désirs évoluent aussi. Moins vite ceci dit. Ou différemment.

Le corps physique aussi évolue. Tes yeux n’étant pas ronds, tu n’as toujours pas de ride au coin des yeux. Tu en as sur le front quand ton visage s’exprime. Un jour viendra où elles apparaitront même lorsque ton visage sera au repos.

Tu fais partie de ceux qui vieillissent lentement apparemment. Très peu de cheveux blancs malgré les années qui passent.

Mais tu sais qu’elles passent.

Pourquoi ton petit frère est-il de vous trois celui qui vieillit le plus vite ? »

Je ne sais pas. Il est le plus jeune et on a les mêmes parents. La loterie génétique…

« Peut-être exerce-t-il le travail le plus difficile. »

Mon frère ? Je sais que je n’aurais pas voulu faire ce qu’il fait et lui ne voudrait pas faire ce que je fais. Et on ne voudrait pas faire ce que ma sœur fait.

Je ne sais pas qui a le métier le plus difficile. Je connais les enjeux et difficultés du mien, pas des leurs.

« Qui rentre le soir avec la tête chargée ? »

Ah, la vilaine question, ça m’arrive ! Cela arrive aussi à mon frère. Ma sœur, je ne sais pas. Des fois je me dis, tel dossier…

Puis d’autres fois, sitôt passée la porte, l’air léger me transporte bien loin de là. Va savoir…

« Quelle chance que ton chef ait souhaité recruter un juriste expérimenté pour remplacer ta collègue récemment partie. Tu ne vas pas soudain hériter de tous ces dossiers en plus des tiens. »

C’était ce que mes collègues voulaient, que moi je récupère le plus gros des dossiers. Ils veulent que je me sente harassée comme eux. Ils me disent franchement que quand ils sont arrivés ils n’ont reçu aucun cadeau. On leur a tout de suite donné de grandes masses de travail.

Mon chef ne m’a pas donné trois tonnes de choses à faire d’un coup. Ce qui ne signifie pas que je glande toute la journée. Mais moi j’aime avoir du travail, sinon je m’ennuie.

Par contre, je ne veux pas devenir la mule de service. Il n’y a aucune raison.

Ils n’arrêtaient pas de dire que j’allais enfin savoir ce qu’ils vivent, que c’était fini la belle vie et les dossiers faciles. Oui parce qu’ils pensent aussi que je ne traite que des affaires faciles alors qu’eux doivent se démener sur des dossiers complexes.

Le fait que mon chef leur continue de leur remettre les pires dossiers dont je devrais normalement hériter y est pour beaucoup. Mais il se trouve que contrairement à eux j’ai un double poste.

Aucun d’entre eux ne voudrait faire ce que je fais par contre ils s’accordent à penser qu’en fin de compte cela représente peu de contraintes et que je suis trop bien lotie. C’est comique.

Ce sont eux qui ont refusé formellement d’avoir un double poste, d’où la création du mien. Et aujourd’hui, ils me reprochent de ne faire que des choses faciles.

Mon chef n’est pas du même avis heureusement. Il apprécie que je sois parvenue à gérer les deux postes assez rapidement alors que je ne connaissais pas le monde de la banque.

Je me souviens qu’une fois suite à une absence de quelques jours, j’avais retrouvé une importante masse de travail sur mon bureau. J’ai accusé le coup, je gère normalement de telle sorte que cela n’arrive pas.

Eh bien, tous mes collègues riaient en disant, enfin…

Pas mon chef, il a fait preuve de compassion figurez-vous et il m’a dit de faire comme je pouvais.

Une de mes collègues est même allée se plaindre un jour du fait que mon embauche n’avait pas suffisamment réduit sa propre masse de travail. Elle s’est fait ramassée. Là c’est moi qui ai ri.

Le ras-le-bol de certains ne s’expliquent pas que par leur masse de travail mais c’est à eux de le voir. J’ai pris assez de critiques, pour différentes raisons dont certaines étaient objectives, je ne me pose pas en victime. Seulement du coup j’évite de juger les gens et je me dis, quand j’ai le cœur léger tant mieux.

Quand ce n’est pas le cas, personne d’autre ne souffre avec moi alors c’est à moi de régler mes soucis et je me dis que les autres doivent régler les leurs.

En ce moment je gère ce que j’ai à faire, je n’ai pas de retard contrairement à tous les autres, mais cela est dû au fait que je m’active chaque jour alors je suis contente que mon chef au moins le voit.

« Les autres te voient parader tous les jours avec ton sourire. »

C’est un reproche qui m’est fait depuis que j’ai commencé à travailler. On me dit que je parade…

Tu crois que j’ai besoin de plus robes ? Je réalise que j’en ai peu finalement.

« Si tu en vois une qui te plait, achète-la. Mais tu trouves rarement des robes qui te plaisent. »

Je trouve que c’est difficile de trouver une jolie robe…

Je verrai.

« Comment vis-tu le fait que tes collègues trouvent que tu as une vie trop facile, au travail et en-dehors ? »

Je me suis battue pour tout ce que j’ai. Je le sais. Cela me suffit.

Leur opinion ne m’empêche pas de sourire. Et de faire ce que j’ai à faire. Même si quand plusieurs choses s’accumulent j’ai mal au ventre.

Il faut que j’arrive à gérer mieux mes émotions. Ou les contrariétés.

« Tu gères toujours toute seule ? »

Oui sur le moment. Si je n’arrive pas je me tourne vers vous. »

Et pas vers un tiers ?

« Ca peut arriver. Mais j’ai appris qu’il fallait savoir vers qui se tourner. Et les gens peuvent ne pas être disponibles. »

Encore une fois, peu se réjouissent pour toi ou avec toi. Cela est aussi difficile à gérer que les contrariétés ou les émotions dites négatives.

Cette situation doit évoluer. »

Par moments je n’ai pas envie de parler non plus.

« D’accord. Veux-tu que cette situation évolue ? »

Oui. Ce que je voudrais c’est avoir nettement moins mal au ventre. Mais tu sais, même parmi mes proches certains ne se réjouissent pas avec moi parce qu’ils peuvent être envieux de tel ou tel point.

« C’est toute cette situation qui doit évoluer. »

Je ne sais pas comment faire.

« Le visage de tes vingt ans n’était pas si différent de celui d’aujourd’hui. Le temps n’a pas encore laissé trop de traces sur toi. Cela viendra bien sûr, à chacun son rythme.

Tout vient toujours au bon moment, c’est ce qu’il faut comprendre. Un jour même le coin de tes yeux en amande affichera les signes évidents du temps qui passe et ce sera bien normal.

Ta cousine vient de subir un redressement fiscal ? »

Oui, suite à dénonciation. C’est souvent de cette manière que ça se passe en vérité. Par contre le courageux délateur est resté anonyme.

« Heureusement que ses copines sont présentes à la fin de sa grossesse, à l’inverse du compagnon. »

Que veux-tu que je te dise ? Chacun vit sa vie.

« Oui, chacun fait ses choix. Une autre de tes cousines semble surmenée. Elle a déjà fait une crise de surmenage n’est-ce pas ? Il est dommage que son mari ne s’intéresse pas plus à l’éducation des enfants. On ne va pas dire qu’il ne s’intéresse pas mais il semble qu’elle gère plus de choses que lui. »

Il dit que quand il voulait faire elle repassait derrière lui. Il a donc arrêté. Elle n’a pas contesté.

« Une autre cousine ne peut que constater que ses beaux-parents ne les aideront pas son époux et elle avec leur toute petite fille. Du moins pas longtemps. Son mari en est un peu déçu d’ailleurs. »

Les mêmes qui ont trouvé les meilleures raisons du monde pour ne pas avancer un sou au moment du mariage ? Bref, changeons de sujet.

« Une autre cousine est en couple avec le même homme depuis le lycée. Tu n’as jamais rencontré son mari et il y a peu de chances pour qu’elle te le présente. Mais celle-ci, a déjà trois enfants avec lui et est heureuse dans son couple. »

Oui on dirait, tant mieux pour elle. Je ne lui veux aucun mal pour ma part, je ne suis pas à l’origine des tensions, si sa sœur et elle veulent renouer les liens, de mon côté la porte est ouverte. Je ne ferai pas le premier pas toutefois.

Parce que nous les avons reçues, elles ne sont jamais revenues vers nous. Avec leur frère les choses se passent mieux.

« Sa femme est dépressive. »

Oui. C’est dommage.

« Combien de personnes dans ton entourage peuvent dire qu’elles sont réellement et sincèrement heureuses ? »

Je ne sais pas.

« Tu penses à une de tes copines, qui t’a annoncé joyeusement être enceinte ? »

Oui, elle sûrement.

Je vois des tas de personnes qui se diraient satisfaites de plein de choses dans leur vie mais qui sont ennuyées par des détails.

« Les détails ont-ils de l’importance ? »

Les détails non pour moi. Les choses incontournables oui. Je ne sais pas ce que pensent les autres.

« Il faudrait définir le détail. »

Nous y passerions des lustres.

« Combien de temps dure un lustre ? »

Cinq ans.

« Tu n’aimes pas quand les choses durent des lustres. »

Non.

« Et pourtant, il vous faut parfois des lustres pour admettre que ce qui était considéré comme un détail au départ était en fait une chose incontournable.

Ne passons pas des lustres à nier le fait que tu es suffisamment sensible pour être affectée par les énergies développées par les uns et les autres autour de toi. Pour diverses raisons, tu es très mal entourée. Tu le sais mais ne peut pas modifier cela simplement en déménageant. Nous te l’avons dit, tu as reçu des messages de ton âme et tu continues de ne pas entendre.

Tu as été malade tout le mois de juin durant. Tu souffres plus que d’habitude de la présence de tes fibromes.

Il faut que tu cherches à construire quelque chose de doux, agréable et durable pour toi. Comme lorsque tu as créé ce blog, tu avais besoin de ton propre espace d’expression sur la médiumnité et la spiritualité. »

C’est pourquoi je veux acheter un logement.

« Ce qui est dommage c’est que peu de personnes seront en mesure de t’expliquer pourquoi ce n’est pas la meilleure option immédiate. Trop de personnes autour de toi ou même parmi tes lecteurs se disent que tu es assez grande pour quitter papa et maman.

Et tu ne veux pas entendre les messages.

Bon, arrivera un moment où tu comprendras. Nous ferons en sorte que tu comprennes doucement. Mais tu sais, tout le monde n’est pas obligé de suivre le même schéma, ce n’est pas une garantie. »

Je les entends les messages. Ils ne sont pas ce que j’ai envie d’entendre mais j’entends. Ils me disent d’attendre patiemment. Ce n’est pas mon fort je dois dire, je n’aime pas ça. Je trouve que c’est tellement mieux d’être dans l’action.

Je sais comment évaluer le temps en médiumnité. Je sais depuis le début en fait mais j’ai rejeté cet aspect des choses…

Tu sais, je suis sure que personne n’apprécierait de recevoir une information sympa et de voir ensuite les lustres qui la sépare de la réalisation effective de ladite information.

Qu’en faire à la limite ? C’est plus facile de tourner le dos et de se lamenter.

« Ne pars pas maintenant. »

De toute façon je n’ai pas trouvé de logement.

« Ce n’est pas ainsi que tu devrais considérer la situation. »

Voilà ce que je pense, il fait beau, il fait chaud, c’est une belle journée.

« C’est mieux. Tu as grandi en sagesse en vérité. Puisses-tu prochainement entendre la totalité du message, ainsi tu comprendras.

Tu sais, il n’y a pas un unique chemin que tout le monde doit emprunter. Même si la totalité des personnes qui te sont proches s’emploient à s’entasser sur une même route.

Cette route réussit à certains et moins à d’autres. Est-ce que cela au moins tu le comprends ? »

Je le comprends.

« Passe une belle journée. »

Merci à toi.

Bonne journée à tous ;)

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6 Commentaires

  1. crystallia

    14 juillet, 2016 à 12:56

    Salut Chouchou,

    Une tiny house ne prendra jamais la totalité de ma penderie. Il m’en faudrait deux.

    Mais cela voudrait dire que je vivrais séparée de mes vêtements. Ah non…

    Bref. Je n’ai rien fumé ce matin. Je n’ai pas bu non plus.

    Revenons au sujet. Je pense que certains comportements de vie laissent plus de traces, que le poids des soucis se voit aussi au bout d’un moment.

    Mais pourquoi certains vieillissent moins vite, je ne sais pas.

    Pourquoi pas ceci dit. Peut-être est-ce une façon pour la vie de nous rappeler que le temps est un allié et que l’on peut aller à notre rythme.

    Bise ;)

  2. lapriereducompositeur

    14 juillet, 2016 à 0:09

    Coucou,

    et sinon on fait un village de Tiny House et tu deviens ma voisine de droite.
    (Bon vu mon budget au début je devrai me contenter d’une tente…)

    Tu crois que les gens qui ont l’air jeune longtemps ont parfois cette caractéristique parce que le destin leur réserve quelque chose et que c’est une composante utile?
    Je me demande souvent pourquoi j’ai l’air si jeune… moi qui me traine aussi dans un corps si douloureux que j’ai l’impression d’avoir 70 ans…

    :/

    Des bisous

  3. crystallia

    10 juillet, 2016 à 23:48

    Bonsoir,

    Merci à vous toutes, j’ai beaucoup apprécié vos messages.

    Bise ;)

  4. Isabelle

    10 juillet, 2016 à 15:24

    Coucou Sylvie
    En te lisant ce matin j’étais triste de savoir que personne ne se réjouissait pour toi. Puis je me suis reconnue dans cette façon de donner envie. En vie, nous sommes vivantes et libres et c’est cela qui rend les autres jaloux car quand bien même tu irais au boulot en haillons , ton bien etre intérieur et ta liberté feraient envie aux autres.
    Nul ne connaît la raison de tes choix sauf toi:)
    Je te souhaite de trouver des amis autour de toi qui seront inspirés par ta liberté et partagerons ta joie d’être

  5. Camille-strawberry

    10 juillet, 2016 à 13:32

    Salut Sylvie,
    J’ai ri en te lisant, je me retrouve dans certains de tes propos comme « je suis sure que personne n’apprécierait de recevoir une information sympa et de voir ensuite les lustres qui la sépare de la réalisation effective de ladite information. »

    Je suis en plein dedans, à travailler patience et acceptation. Franchement, c’est dur, c’est rude, c’est chiant. Je me demande même d’ailleurs à quoi ça sert d’avoir l’information si elle ne sert à rien à l’instant présent. Mais voilà, miss Curieuse est plus un fauve sauvage dur à maitriser qui m’en fait voir de toutes les couleurs la coquine !

    C’est toi qui m’a appris à assumer les récompenses et les pauses, à profiter de petits plaisirs sans se sentir coupable. Cette douceur de vivre en évitant de forcer les choses.
    Mon frère lui, pense que je devrais avoir le même parcours que tout le monde, me mettre en couple, avoir un taf solide, acheter avant 30 ans parce qu’il faut prévoir la retraite, tout ça.

    Et puis à force de le voir affirmer son chemin, j’ai réalisé que ce n’était pas le mien.

    Avoir son indépendance logement, c’est bien si tu te sens bien avec cette autonomie.
    La société moderne a voulu aujourd’hui que l’on ne vive plus avec les parents comme à l’époque. Les cultures occidentales et dites développées, veulent qu’on vive nos vies dans l’indépendance et la liberté de soi, en ne supportant plus le poids du cocon familial.

    Avec le temps, on a appris à mettre nos vieux dans des maisons de retraites et à les laisser mourir seuls, tout comme on a appris à faire nos vies sans trop se préoccuper des autres. Alors oui, il y a une différence entre égoisme et individualisme certes. Mais il faut voir ce qui motive tes envies.

    Si j’ai quitté mon cocon familial à 18 ans, c’était plus par obligation que par envie. Dedans, je n’arrivais plus à m’y épanouir. Je n’arrivais plus à respirer.

    Mais toi, si tu y respires et si tu arrives à faire ce que tu aimes, alors pourquoi forcer ?
    Les autres sont jaloux de ce que tu possèdes, de ce que tu arrives à vivre.
    Avant, je me disais aussi que moi aussi j’aimerai bien partir en voyage et m’offrir des vbagues aussi, et puis il y a quelques temps, j’ai fait ce rêve qui me disait que ce n’était pas pour moi. Voilà, chacun son chemin.
    Il est normal que ta vie bouscule celles des autres. On se donne envie mutuellement, on s’inspire des uns et des autres, c’est normal. Après, il faut laisser chacun vivre ses choix. C’est cela vivre sa liberté.
    Ce n’est pas vivre seul, indépendant, les 2 pieds sur terre et avoir une réussite sociale. C’est être bien avec ses choix, quels qu’ils soient.

    Ta maman aime s’occuper de toi, et tu aimes aussi qu’on s’occupe de toi. Oui oui, des fois aussi, on aime tous être tranquilles et avoir son cocon sans qu’on vienne empiéter dedans, mais voilà, un endroit où on peut vivre ensemble, c’est bien aussi.

    Quelque part, j’aurai aimé rester plus longtemps à vivre auprès de ma mère. Mais l’espace et la considération n’était pas sain.

    Ne te laisse pas abattre. Il n’y a rien de mal dans tes choix.
    Je te souhaite de t’épanouir.

    Bises

  6. Lucie

    10 juillet, 2016 à 6:13

    Bonjour,

    Ce matin pas de coucher de lune, ni lever de soleil, mais un brouillard très dense depuis la fenêtre de ma cuisine. Ce n’est pas grave, le soleil est derrière, il fait son timide!

    Vous connaissez cette expression « les chiens aboient, le caravane passe ». Continuez à mener votre vie comme vous pouvez (ou comme cela est prévu), avec l’aide de vos guides. Vous savez que tout est orchestré et que tout se met en place en temps et heure. Il est vrai que l’échéance est parfois longue. C’est votre vie et seulement la votre, que chacun vive sa vie et surtout assume ses choix, mais il est plus facile de s’occuper des autres.

    Quand je relie certaines pages du début de votre blog, il y a une évolution très importante. La vie m’a appris que l’on peut pas régler tout à la fois et surtout que les épreuves sont sur notre chemin pour nous permettre d’évoluer.

    Peut-être ce n’est pas le moment pour un appartement, mais plus pour un local, genre bureau……..

    Je pense très souvent à vous, et vous souhaite paix et sérénité.
    Bises

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