Bonjour à tous,
« Il fait beau, il fait chaud, tombe la neige sur les sommets lointains, si lointains, reste dans la jolie vallée, toujours ensoleillée, charmante vallée…
Reste là où le soleil chauffe et où il fait toujours bon. », me chantent les Fées.
Un avertissement ?
« La neige tombe sur les lointains sommets, reste dans la jolie vallée, toujours ensoleillée.
Il fait beau, il fait chaud…
Profite du temps qui s’écoule doucement là où le soleil brille et où tu es à l’abri. »
Alors, ce n’est pas un avertissement, le temps va se gâter pour d’autres. Pour qui ?
« Petite fille dans la vallée, reste bien à l’abri du vent, profite de la chaleur du soleil, loin des sommets enneigés. »
Elles sont reparties. C’est marrant parce que cela correspond à un flash que j’ai eu. Et dont je ne souhaitais pas tenir compte. 2017 sera une année peu agréable pour certains proches…
Enfin on verra.
Bonne journée à tous
Cel
15 décembre, 2016 à 14:01
Bonjour,
Ah, merci Isabelle pour le lien ! Génial, j’ai pu le relire. C’est fou comme cet article est vraiment profond et prend de plus en plus de sens pour moi avec le temps qui passe.
Je me demandais Sylvie (maintenant que je peux mettre des mots plus conscient sur mon interrogation) : comment on fait pour gravir la montagne quand on a un égo affaibli ? Je me doute que c’est bien là la source du problème et du « c’est très long, le chemin se fait très doucement ».
Mais pourquoi l’âme choisirait-elle, avant de s’incarner, des épreuves qui affaiblissent considérablement son égo pendant l’enfance ou l’adolescence, alors qu’elle a besoin de cet égo pour évoluer spirituellement ?
J’imagine que la réponse est « pour guérir une blessure » ? Mais quelle genre de blessure nécessite ça ?
Je ne comprends pas… quelle utilité pour l’âme ?
Bises
Carène
15 décembre, 2016 à 12:22
Bonjour
J’adore cette phrase Emilie « La grande vallée de la sagesse lentement creusée par tous les fleuves qui ont pris leur source dans nos montagnes. »
De quoi se déculpabiliser un peu de s’obstiner parfois à gravir la montagne. Quand les autres autour se demandent ce que l’on cherche, il arrive que le doute nous submerge jusqu’à ce qu’un signe nous disent « Vas y, fais encore un pas ! »
Naviguer entre espoir et désespoir…
Merci pour cette chanson qui nourrit mon âme ce matin.
Bises
Emilie
15 décembre, 2016 à 9:06
Bonjour,
C’est un sage conseil qui me rappelle cette vision que j’avais eue de vies qui se suivaient, allant de l’homme originel au dernier homme. A la fin, l’homme était plus âgé, il se tenait avec un groupe dans une vallée. Ceux qui l’entouraient lui donnait une couverture rouge foncé qu’il jetait sur son épaule avant de leur dire au revoir en partant gravir la montagne. C’était comme si l’homme accomplissait une sorte de pèlerinage dont je ne voyais pas la fin tandis qu’il commençait à gravir un sentir caillouteux de basse montagne.
On a tous quelques montagnes ou collines à gravir avant de trouver notre vallée, celle où l’on cultivera ce qui nous nourrira et nous n’aurons plus faim d’aller sur les sommets … La grande vallée de la sagesse lentement creusée par tous les fleuves qui ont pris leur source dans nos montagnes.
Il y a cette chanson qui m’est revenue en tête
https://www.youtube.com/watch?v=zxSTzSEiZ2c
(pas moyen de trouver une version écrite sans faute de transcription – comme quoi !)
lapriereducompositeur
15 décembre, 2016 à 4:58
Coucou,
je ne sais pas pour qui c’est… mais je peux te dire que la planche à voile, on dirait un message de mon papa.
(J’ai vu aucune photo de planche à voile depuis lundi soir, alors que c’est totalement emblématique de sa personnalité.)
Alors je pense que ton histoire de vallée… je vais la noter dans un coin hein. On sait jamais, ça peut être utile.
Des bisous.
p.s. j’ai passé toutes mes vacances avec mon papa… dans des endroits à fées.
crystallia
15 décembre, 2016 à 1:50
Merci à toi Carène.
Bise
Carène
15 décembre, 2016 à 1:41
Coucou !
Je crois qu’il s’agit de cet article : http://crystallia.unblog.fr/2014/05/31/ce-canal/
Bises
crystallia
15 décembre, 2016 à 1:15
Bonsoir,
Mon sport nautique préféré c’est rester allongée sur la coque du catamaran, à l’ombre du mât, tandis que le paysage défile…
Je ne me souviens plus du titre du post non plus, mais je vois duquel tu parles. Tu as une question ?
Cette mer parait grise oui, mais j’ai bien aimé les véliplanchistes justement.
Merci à vous.
Bise
Camille-Strawberry
14 décembre, 2016 à 23:27
Coucou Sylvie,
Tiens, tu fais des sports sur l’eau aussi ? Ou tu évites toute activité hors d’un bateau ?
J’ai retesté le canoë l’été dernier, et j’ai adoré ça. Je me dis que l’année prochaine, je testerai la planche à voile !
Bises
Cel
14 décembre, 2016 à 19:38
Coucou,
Cela me fait penser à un de tes anciens posts sur les différentes voies d’évolution… Gravir la montagne, du côté du soleil dans la Lumière, du côté du versant dans ombragé pour l’Ombre. Mais il y avait un chemin différent, celui de la vallée…
Ah, je ne me souviens plus ce que tu avais écrit dessus et quel post c’était…
Bises
Isabelle
14 décembre, 2016 à 13:20
Coucou Sylvie
Cette mer est bien grise mais le bateau qui vogue insouciant amène une jolie touche de couleur. Soigne toi bien.
Bises