Bonjour à tous,
« Cela faisait un moment que tu n’avais plus verni tes ongles dans cette couleur. », me dit Ariel.
C’est vrai, ces dernières semaines je préférais les couleurs claires.
« Mais ta couleur préférée reste le rouge sur les ongles. »
Définitivement. Mais ce n’est pas pour tout le temps. Je ne peux pas porter tout le temps le même vernis.
« Ou utiliser le même crayon pour les yeux toute une semaine. »
Je préfère changer tous les jours de maquillage des yeux. C’est l’avantage des yeux bruns. Toutes les couleurs vont.
« Tu as peu mangé ce soir. »
Après ce midi, je n’avais plus trop faim.
Il faut que je trouve le fard à paupières crème…
« Tu vas trouver quelque chose qui te plaira, comme toujours. »
Lol.
« Il y a toujours des choses à voir, à vivre, à faire, à concevoir et imaginer. Et tout peut trouver sens au final, s’inscrire dan un mouvement plus grand.
Parfois, il faut juste déplacer ses efforts pour que l’équilibre fasse disparaitre les maux de ventre psychologiques. »
Lol !!!
« Amène la Lumière, tu sais le faire. Amène la Lumière là où tu en as besoin. Comme quand tu as créé ce blog. Amène la Lumière là où tu en as besoin et vois jusqu’où les rayons se déploient.
Va toucher le ciel, juste avec un sourire. «
Merci Ariel.
Bonne journée à tous
crystallia
17 février, 2017 à 3:38
Coucou !
Bien en fait c’est ce que j’aurais dû regarder, le fonctionnement.
Parce qu’il se trouve qu’il me rattrape bien aujourd’hui et cela m’aide de me retrouver dans ce que je lis.
Alors qu’au départ je me disais, ça ne change rien à ma vie…
Merci à vous deux.
Bise
Carène
16 février, 2017 à 8:36
flute j’ai posté sur le mauvais article. Bref ! T’auras compris que mon commentaire est en relation avec le précédent !!
Carène
16 février, 2017 à 8:30
Coucou !
Ah ?! C’était donc pour que tu t’appropries cette notion de douance ?
Je pensais que c’était quelque chose que tu savais déjà.
Moi c’est le livre, « je pense trop » de Christel Petitcolin qui m’avait permis de comprendre mon fonctionnement et d’accepter ma singularité. Elle, elle parle de surefficience mental.
D’ailleurs, dans ce livre, elle fait le parallèle entre la surefficience mentale et le syndrome d’asperger (forme d’autisme) du fait de l’usage de la même partie du cerveau (le droit), celui qui est associé aux émotions et à l’intuition. C’est pour cela que personnellement je n’avais pas été choquée lorsque tes guides t’avaient fait t’attarder sur l’autisme.
J’aime pas les étiquettes ou les cases. J’aime seulement comprendre le fonctionnement. Ensuite je me débarrasse de l’étiquette ou de la case qui enferme. La seule image dans toutes ces notions que je trouve sympa est celle du zèbre avec cette idée que chaque zèbre possède un pelage unique, une signature de sa singularité en somme.
J’ai bien fait le tour de la question avec un enfant à la fois EIP (intellectuellement précoce, c’est le terme dans l’éducation nationale !! :p ) et présentant des troubles du spectre autistique. J’ai refusé de le faire diagnostiquer pour ne pas rentrer dans un schéma préétabli. D’autant qu’il y avait grand risque qu’on me le mette dans l’une ou l’autre des cases mais pas les 2.
J’ai mis en place tout ce que tu sais pour son instruction et je ne peux que me réjouir de le voir se développer normalement. Il lui fallait juste du temps et de l’amour et ce sur un fond d’acceptation de sa singularité.
Bises
Fleur
16 février, 2017 à 7:47
Merci Sylvie !
Je te souhaite une belle Journée !
Bises