Un jour en hiver, le vent soufflait trop fort,
La petite fille tomba, se releva, continua d’avancer.
Un jour en hiver, le vent soufflait si fort,
La petite fille tomba, se releva, tomba encore,
Se releva encore.
Un jour d’été le soleil brillait tant,
La petite fille sourit, mais continua d’avancer.
Tant que le cœur bat, il n’y a pas de ligne d’arrivée.
crystallia
13 mars, 2017 à 0:10
Bonsoir,
Merci à toi et bonne semaine également !
Bise
Bluebird
12 mars, 2017 à 23:42
Coucou Sylvie…
Bonne semaine à toi, sous le soleil ou dans le vent.
Merci pour le sourire de la petite fille.
Bises
Lara
crystallia
12 mars, 2017 à 19:07
Coucou,
Il est joli ton poème Émilie. Il m’a bien plu.
Pascale, j’aime aussi beaucoup ta dernière phrase.
Je vous remercie tous.
Bise
Emilie
12 mars, 2017 à 11:13
Bonjour Sylvie,
Tous tes poèmes résonnent comme des messages ce qui est bien normal.
J’ai gardé certains poèmes écrits durant mon adolescence et l’un d’entre eux s’inspirait de la pavane pour l’infante défunte de Maurice Ravel (musique douce)
https://www.youtube.com/watch?v=tn6_yT9SKpM
L’infante défunte
Errait sous les portiques du jardin d’été,
Laissant couler sa main
Dans l’eau sombre des bassins.
Elle rêvait d’océans où le coeur peut se poser
comme un oiseau qui déploie ses ailes,
Morte elle était depuis l’hiver dernier
Et on ne voyait plus que l’ombre chamarrée
De ses voiles qui accrochaient
La clarté des derniers feux de la journée.
Au loin au fond du parc,
Une fontaine chantait la splendeur déchue,
Et les mots devenus fous se bousculaient
Au milieu de ses murmures,
Pour se briser en sanglots.
Dans la pénombre du jardin,
J’ai vu passer l’infante défunte,
Celle qui hésite entre hier et demain
Et chavire sous les lueurs glacées,
De l’aube qui paraît.
Camille-Strawberry
12 mars, 2017 à 10:35
♡
Pascale
12 mars, 2017 à 7:17
Bonjour Sylvie
Depuis quelques temps déjà, j’étais sur le chemin du bonheur mécontent. Récemment, j’ai découvert le chemin du mécontentement heureux. Quand j’ai besoin d’une zone de confort, je dors ou je prends un bain. Et je reprends mon chemin et parfois je perçois que j’ai mon destin en main.
Je t’embrasse
alexandre
12 mars, 2017 à 2:23
bonsoir sylvie,
j aime ton article et en particulier cette phrase: tant que le coeur bat, il n’y a pas de ligne d arrivee. Je crois que tout le monde devrait se souvenir de cette phrase dans les moments difficiles…. je te souhaite un tres bon dimanche bises