Bonjour à tous,
Astaroth, j’ai fait un drôle de rêve dont je me souviens juste de la fin, c’est comme si plus rien n’allait !
« Comme s’il fallait tout changer dans ta vie. »
Oui voilà !
« Eh bien, change tout. »
Avec une baguette magique ?
« Avec foi et passion. »
Avec quoi ?
« Nous avons déjà évoqué cette saturation très forte que tu ressens. »
Oui. Je n’aime pas ce sentiment.
« Si cela ressort maintenant, c’est qu’il y a une porte de sortie quelque part. Un moyen d’aller vers autre chose. L’excellente nouvelle, c’est que tu es une personne pleine de ressources.
Quand ce sentiment s’est-il accentué ? »
Il y a quelques semaines.
« Tu as fini ta toile ? »
Non ! Au départ je voyais quelque chose de rapide mais ça s’est vite complexifié. Du coup, je suis toujours dessus.
« C’est difficile de garder le fil ? »
Non dense et complexe ne me dérangent pas. Au contraire je préfère, j’aime quand on peut créer tout un univers et je ne me perds pas dans les miens.
Et tu sais que j’aime quand il y a un effort intellectuel.
« Les tâches répétitives ? »
Ah c’est une calamité, ça ne devrait même pas exister, c’est comme mourir à petit feu…
Je ne supporte pas l’ennui intellectuel Astaroth, j’ai vraiment de plus en plus de mal.
« Tu satures. »
Oui.
« Tu ne satures jamais quand tu vas prendre des photos. »
Ah mais non, je suis dans l’instant, je suis à ma place. Je suis bien.
« Tu as besoin d’être bien tout le temps. »
C’est ce que je me dis aussi.
« Si ce sentiment de saturation s’est accentué, c’est qu’il y a une porte de sortie accessible quelque part. Tu vas finir ta toile ? »
J’ai toujours songé la finir. Je m’amuse bien avec, j’aime ce que je produis, j’ai toujours eu envie de finir.
« Cette année, c’est peut-être le bon moment pour ancrer des changements qui résonnent en toi. Pour construire.
A partir de quoi voudrais-tu construire ? Avec quels matériaux ? Quel type de construction ? Sur quel terrain ?
Tu as le sentiment de vivre en nomade n’est-ce pas ? Depuis longtemps. Nous n’en avons jamais parlé mais c’est le bien sentiment que tu as, en toi.
Eh bien, c’est cela qui a suffisamment duré. Il est temps de construire. Un foyer. Ce qui symboliquement renvoie à s’incarner sur tous les plans.
Est-ce que tu comprends ? »
Oui.
« Fais. Avec tes deux mains. Personne ne pourra t’aider ou faire à ta place. Tu es seule. Fais. Tu seras contente avec le recul.
Tu as perdu l’illusion que sans une aide extérieure vous ne pouvez pas arriver à relever vos propres défis.
Tu as compris aussi que cela ne signifie pas que vous n’avez jamais besoin de l’aide d’autrui.
Tu vois et acceptes la nuance. Face à un défi personnel, vous êtes seuls. Mais vous pouvez.
Finis ta toile. »
Merci Astaroth.
Bonne journée à tous
crystallia
22 mars, 2017 à 22:41
Coucou,
Alexandre je ne te souhaite que de la réussite également.
C’est une bonne nouvelle !
Avec nos deux seules mains, je sais qu’on déjà faire beaucoup de choses.
Bise
alexandre
22 mars, 2017 à 15:09
astaroth desole pour l erreur
alexandre
22 mars, 2017 à 15:06
Bonjour sylvie,
suis d accord avec astaroth.On n a besoin de personne pour realiser nos objectifs.Il y a un an et demi, je vivais dans l’illusion de ne pouvoir m en sortir sans mes proches;aujourdh’ui, je souris en y repensant..J ai mes deux chattes pour me soutenir ainsi que samael, astaroh et belial.Bref, suis bien entoure.Je pense demande a effectuer une formation en informatique lors de ma prochaine convocation a pole emploi mercredi prochain.Je pense que je l obtiendrais car suis passe ce matin a l’organisme de formation et ils m’ont dit que cette formation etait permanente.En plus , cet organisme est situe a 500 metres de mon domicile bref que du bonheur.Je souhaite que tu puisses trouver ta voie bises
Emilie
22 mars, 2017 à 9:18
Bonjour Sylvie,
« fais avec tes deux mains … » en partant de soi et de la femme en nous, qui ne s’appelle pas Me. La Pieuvre avec ses 8 tentacules.
Pourtant j’aime bien les images des déesses indiennes qui ont plusieurs bras et mains (trop pratique sauf pour s’habiller).
J’aime bien Lakshmi et Parvati, que je vois plus comme des déesses et ce serait chouette que les femmes puissent incarner la déesse en elle avec leurs seules deux mains.
Comme Lakshmi ou Sarasvati
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Isabelle
22 mars, 2017 à 8:37
Coucou Sylvie
Ces paroles d’Astaroth me parlent bien! Un pas , après l’autre .
Ce que j’aime c’est que le ras le bol arrive quand on peut s’en aller et faire autre chose . C’est rassurant.
Bises