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Toujours aimée

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Toujours aimée 17040703041217181814968844

Bonjour à tous,

« Alors tu voudrais connaitre la fin du film The Dreamcatcher ? Pourquoi n’avais-tu pas regardé jusqu’au bout ? », me demande Elémiah.

Mais c’était nul ! Seulement j’ai quand même envie de savoir comment tout se termine. J’aurais mieux fait de lire le livre. J’aime bien Stephen King.

Le souci c’est qu’il parait que la fin du film diffère de celle du livre.

« Pourquoi était-ce nul ? »

Disons qu’il y avait pas mal de coïncidences bien pratiques…

Mais, le côté bande de copains ayant grandi m’a fait penser à Ca. C’est par cette saga que j’ai découvert Stephen King. J’étais jeune ado, je n’ai plus jamais vu les clowns de la même manière. Lol, je plaisante.

Toutefois la vérité est bien que la première fois que j’ai regardé, je n’ai pas eu le courage de visionner la seconde partie. 

Et dans The Dreamcatcher, au début, quand on voit les quatre jeunes dans leur petite ville du Maine, j’ai ressenti le même type d’ambiance que dans Ca, entre les enfants.

C’est ce qui m’a plu. Ensuite, l’expression que Freddy me fourre le fion (répétée souvent par les héros) a pris un sens trop littéral et j’ai fini par lâcher.

« Tu aimes Freddy ? »

J’ai essayé de regarder Les griffes de la nuit, je n’ai pas accroché. J’ai eu ma période film d’horreur pourtant mais bon, cette saga ne me plait pas.

« Tu ne regardes plus de film d’horreur. »

Non. J’aime beaucoup moins. C’est passé.

« Tu regardes peu de films romantiques. »

Mais une majorité sont nuls ! Dès qu’il y en a un bien, je regarde.

« Comme ce téléfilm de l’autre jour ? »

C’est le genre de choses que je ne regarde jamais. Seulement il y avait Jenni Garth dedans alors je me suis dit, je vais regarder deux minutes. Et au bout de deux minutes j’avais vu toute l’intrigue. Seulement j’ai quand même eu envie de voir de quelle manière elle allait pouvoir tomber dans les bras du héros et sauver sa carrière. 

« Dans ce type de téléfilm la fin est souvent prévisible. Mais ce n’est pas pour la fin que tu les regardes, quand tu tombes dessus. C’est pour le déroulement.

Tu ne regardes plus de série et tu n’aimes plus du tout les reines du shopping. Tu n’as jamais apprécié le côté langues de vipère de l’émission, tu ne regardais pas le moment de la notation.

Tu ne relèves jamais non plus quand ta collègue se lance dans les ragots, tu fais celle qui n’entends pas.  

Il y a des choses qui t’ennuient. Qui t’ont toujours ennuyée. Et cet aspect ressort de plus en plus.

Tu ne connais toujours pas le nom de la voisine d’à côté n’est-ce pas ? Et tu serais incapable de reconnaitre les véhicules des parents qui se garent sur le côté au moment de la fin des cours de l’école la plus proche.

Par contre tu sais que tu aimerais bien qu’ils se garent ailleurs.

Il y a quelque chose qui a changé en toi ces derniers mois. Positivement.

Mais tu redeviens très sensible à la méchanceté, la froideur et la jalousie.

Écoute-moi, nous connaissons ta manière de réagir à ces types de violence. Car tu réagis toujours.

Souviens-toi que tu es aimée et que tu seras toujours aimée.

« Merci Elémiah. »

Bonne journée à tous ;)  

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7 Commentaires

  1. Arc

    9 avril, 2017 à 12:09

    Bonjour,

    Ne pas être à l’aise partout : et après ? Le but n’est pas d’être parfaites.
    (« Le but » n’est pas non plus « la confiance », pour ma part en tout cas..)

    Lorsque je sens beaucoup de projections, je ne m’investis pas. Je mets « en attente »… (ou pas)

    « Inaccessible », me dit-on.

    À celui ou celle qui entre nu avec moi dans la source chaude…

    Âme ardente, noir ou blanc, je connais !

    Pour moi non plus « sans amour » n’est pas envisageable. « Degrés d’amour », relents pourris, non merci! Moi, je me sens complète.

    D’où la confiance qui est née en réalisant cela.

    Ceux qui se cherchent un public en proutant leurs « leçons » peuvent aller donc timbrer au chômage me concernant. Bas les pattes !

    Je vous ai manqué ? Hihihi.. (Ce n’est pas vraiment une question.)

    Magnifique journée à tous. Ici il fait un temps splendide. Et mon estomac gronde ;)

  2. crystallia

    8 avril, 2017 à 20:26

    Bonjour,

    Vos mots à toutes sonnent tellement justes.

    Hier encore le fait de me rappeler que j’ai confiance en moi m’a bien aidée je dois dire.

    Et j’admets qu’il y a des situations où je vois combien je suis à l’aise alors que dans d’autres, je me sens comme cet albatros sur la terre ferme.

    Merci à vous.

    Bise ;)

  3. Carène

    8 avril, 2017 à 10:38

    Coucou !

    On se pare d’une armure au fil du temps pour faire face aux coups de la méchanceté, la froideur et la jalousie. Mais cette armure nous coupe de notre sensibilité. La vie nous amène petit à petit à l’enlever pour reconnecter à la sensibilité qui nous caractérise et ainsi exprimer notre voix.
    Forcément le revers de la médaille est que l’on reprend en pleine face cette méchanceté, jalousie ou froideur. J’en ai fait les frais aujourd’hui même de la part d’une rageuse. Avant, je croyais que c’était moi le problème. Heureusement, j’ai appris à me connaître et sachant aujourd’hui qui je suis, les préjugés balancés en pleine figure ne suffisent plus à m’impressionner et courber l’échine. En revanche, cela fait toujours aussi mal de constater l’existence de sentiments si mauvais à mon égard surtout lorsqu’ils ne reposent sur rien de concret. Heureusement, j’ai les gens qui m’entourent et me soutiennent pour me rappeler que je suis aimée telle que je suis. Je peux les compter sur les doigts de mes mains mais c’est déjà tellement précieux.
    Passeuse, du coup je te rejoins sur la confiance qui est loin d’être hors sujet. C’est cette confiance qui fait que l’on s’aime et que l’on arrive à ne plus tenir compte de la méchanceté à notre égard.

    Bises

  4. passeuse

    8 avril, 2017 à 8:51

    La confiance en soi:Quel beau but§
    Quand on l’acquiert, tout change. A l’intérieur de toi, ds ta tête- On sens une force nous envahir.On a moins peur ou plus peur et ce qui nous semblait impossible,maintenant est réalisable
    Et bien sûr, tout change autour de nous, parce que maintenant, on pense différement et donc on agit différement
    Je vous souhaite à tous et toutes de trouver la confiance en vous.
    (je m’excuse, ce n’était pas le sujet, parfois,mon impétuosité m’égare)

  5. passeuse

    7 avril, 2017 à 20:22

    Bonsoir SYLVIE:tout comme vous, je suis sensible_ trés _à la méchanceté,la froideur et la jalousie;
    Je défends toujours la méchanceté, par contre,quelqu’un qui est jaloux ou froid avec moi me laissent de marbre au premier abord mais si ça persiste trop, j’essaie de savoir pourquoi car bien souvent ce sont des ragôts ou malhentendus; Mais si la personne m’indiffère,je m’en fiche complètement.
    Par contre, plus je m’ouvre ,plus je mets de la couleur ds ma vie; je fais des tableaux en papier avec des fleurs, je ne peux plus regarder des séries avec des crimes ou du sang,je découpe des papillons en papier et les colle partout
    Je veux du beau et de la couleur amitié

  6. Arc

    7 avril, 2017 à 10:05

    Hello,

    J’ai pratiquement toujours senti que j’étais entendue, protégée, aimée depuis petite. Pourtant, face à jalousie, méchanceté, stupidité et froideur, j’ai mis beaucoup de temps à ne plus me sentir triste. En plus, je suis quelqu’un qui doutais beaucoup de moi, j’ai beaucoup cherché ce qui clochait chez moi.

    Face à jalousie et tutti quanti, ce n’est pas le fait de me sentir aimée qui a changé quelque chose pour moi. C’est le fait de prendre confiance en moi.

    Aujourd’hui, je prends le parti de réagir, en particulier lorsque d’autres personnes sont témoin. Afin que mon son de cloche contrebalance, prévienne dans la mesure du possible, un effet boule de neige… On est pas dans la petite maison dans la prairie et la « vérité » n’éclate pas au grand jour si on se contente de rester digne silencieusement. Bon, on est dans le domaine des gris, donc forcément je me sens maladroite, et il y a des mais et des mais…

    Le plus simple étant quand-même d’éviter les gris, non ?

    Donc aujourd’hui, je réagis, il y a des effets secondaires, ce n’est pas parfait… mais au moins je ne me sens plus blessée. Plus par le premier con qui passe.

    Alors, quelques fois (rarement), on me parle d’humilité. Parce que je ne tends pas l’autre joue ?

    Je ne ressens plus cette nostalgie non plus depuis que j’ai pris conscience de mon clan astral. Pourquoi ? J’ai pourtant des contact depuis petite. J’avais besoin de ce sentiment de « famille ».

    Et du coup, mes relations avec ma famille biologique a évolué au-delà de ce que j’aurais pu même espérer.

    A plus ;)

  7. Emilie

    7 avril, 2017 à 8:37

    Bonjour Sylvie,

    « Sensible à la méchanceté, la froideur et la jalousie », qui peuvent faire le même effet que des films d’horreur, dont la violence nous brutalise. J’ai eu ce genre de messages à propos de ce que je m’efforce de surmonter pour accepter cette réalité blessante et si j’avais une image, ce serait celle du poème de Charles Baudelaire

    « L’albatros – les fleurs du Mal

    Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
    Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
    Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
    Le navire glissant sur les gouffres amers.

    A peine les ont-ils déposés sur les planches,
    Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
    Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
    Comme des avirons traîner à côté d’eux.

    Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
    Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !
    L’un agace son bec avec un brûle-gueule,
    L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait !

    Le Poète est semblable au prince des nuées
    Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
    Exilé sur le sol au milieu des huées,
    Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. »

    Et tu sais quelle est la première chanson qui passait à la radio ce matin : « Envole-moi »
    Au-delà des ailes, ce qui caractérise l’oiseau, c’est son chant et les petits oiseaux font un bien joli vacarme au levé du soleil.
    Il fait beau, il fait chaud et les oiseaux chantent, n’est-ce pas ?

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