Bonjour à tous,
Elémiah, je veux retourner sur le bon nuage !
« Quel nuage est ce que tu appelles le bon nuage ? »
Le rose !
« Pourquoi ? »
Celui-là, il n’est pas pareil, il fait froid.
« Allons, 22° ce n’est pas le froid du désert de glace. »
Mais j’avais le manteau ! C’est ça, il me manque le manteau ! Il est où ? Avant il était tout le temps sur mes épaules.
« Oui, quand tu en avais besoin. Il fait trop chaud pour un manteau. »
Mais non !!!! Avant c’était mieux, avant tout était chaud en partant du centre. Et cette chaleur se répandait partout. Et même si je voyais le désert de glace, il y avait le manteau qui me rappelait la chaleur du centre !
Je veux que ce soit de nouveau comme ça !!!!
« Tu vas t’habituer. C’est une température neutre. Tes lecteurs connaissent cette température. C’est celle de l’espace où vous êtes bien avec vous-mêmes et prêt à être bien avec d’autres aussi.
Si bien que la chaleur revient quand vous êtes effectivement bien avec d’autres aussi. »
C’est un entre-deux ?
« Pour quelqu’un comme toi, qui se réchauffe dans l’amour, oui. Pour d’autres, pas forcément. Cela peut-être habituel. »
Ce n’est pas de chance pour eux !
« Pourquoi dis-tu ça ? »
Je n’aime pas !
« Tu vas t’habituer. »
Mais non, il y a un vide bizarre !!!!
« C’est normal, ce n’est pas du vide. C’est la sensation d’avoir l’espace nécessaire pour accueillir autrui. »
Mais, autrui a toujours été le bienvenu.
« Oui, encore plus maintenant qu’il y a de l’espace dans ton intérieur. »
Avant c’était juste, du don gratuit…
« L’amour restera gratuit. Au centre il fait toujours 30°, seulement toi tu as envie d’aller voir ce qu’il y a plus loin que le centre, non ? »
Non…
« Mais si. »
Là où je ne capte même pas les énergies ?
« Ce détail ? C’est ce qui te fait peur ? Tu n’as qu’à aller voir doucement. »
Il y a plein de gris !
« Suis la route noire ou blanche. De toute façon tu ne pourras pas emprunter la grise. »
Je veux que ce soit comme avant.
« Là où tout est doré et où on dirait qu’il y a en permanence amour et douceur sur toi ? »
Oui voilà ! Je veux que ce soit comme ça à nouveau ! C’est mieux que ce 22° tout tiède. Je n’aime pas tiède.
« Tu veux 30°. »
Oui.
« C’est possible à nouveau. Même en dehors du centre. »
Non, tu mens.
« Si c’est possible. Nombre de tes lecteurs le pensent d’ailleurs. »
Non mais l’autre, il dure toujours.
« La foi se vit et s’entretient. C’est comme tout ce qui vous tient à cœur. »
Et donc c’est obligatoire de passer par 22° ? Il n’était pas possible de passer de 30° à 30° ?
« D’autres connaissent bien moins que 22°. »
Je vois.
« Non tu ne vois pas. Et justement tu ne verras pas. Apprécie cet air doux même si tu n’as pas l’habitude de l’espace prêt pour autrui. Ce n’est pas du vide, tu le comprendras.
La chaleur du centre est toujours là. Elle t’a longtemps évité de penser comme beaucoup à certains moments que tu n’étais pas faite pour être aimée.
Avec toi nous ne devons jamais traiter de problèmes tels que personne ne m’aime, personne ne m’aimera, je ne suis pas assez bien pour plaire aux autres…
Tout simplement parce que tu ne ressens pas cela. Tu n’as pas besoin des bras de quelqu’un pour avoir enfin le sentiment de recevoir quelque chose.
Tu ne sais pas ce que c’est que de se dire que tu ne comptes pour personne.
Dans ta bulle dorée, les rares fois où tu as réellement ressenti de la tristesse, tu as reçu l’aide dont tu avais besoin pour la dissiper.
Tu n’as jamais eu le sentiment que tu voudrais que n’importe qui t’embrasse, juste pour que quelqu’un te touche.
Ce vide-là, tu ne le connais pas. Et ce que tu ressens aujourd’hui est loin d’être aussi désagréable que tout ceci.
Tu vas rester sur le nuage bleu. Tu y feras des rencontres. Tu verras que l’air peut se réchauffer avec peu de choses finalement. Et cette chaleur-là peut durer aussi. Malgré les aléas de la vie.
Ce sera mieux pour toi. Tu le comprendras. Aujourd’hui comme tu ne te sens plus dans ta bulle, tu es effrayée. Cela passera.
De toute façon, les seules rencontres intéressantes se feront sur la route blanche ou noire pour toi puisque tu exclus le gris. Alors il n’y a rien à craindre.
Petit à petit tu oublieras la bulle dorée. Il ne restera que la certitude que de toute façon tu es aimée en haut comme en bas.
Tu la retrouveras quand tu quitteras cette vie. Mais c’est déjà une autre histoire.
Pour l’instant, prends le temps de t’habituer à 22°. Et doucement tu réaliseras que ce changement, cette évolution, est bénéfique pour toi, pour la personne que tu es. »
Merci Elémiah.
Bonne journée à tous
Anna Live
26 mars, 2018 à 22:11
Coucou Sylvie
« Depuis l’entre-deux » ?!! Je n’avais jamais fait attention à cette catégorie. C’est le terme que j’ai utilisé ce matin pour parler de mon étape du moment et surtout les ressentis…c’est fou comme ce qui est dit là résonne bien avec ce que j’ai écrit ce matin… « le bon nuage », retrouver la bonne chaleur du logis oui je le veux !
Une mine d’Or ton site ! J’aime ta compagnie sur mon Chemin.
Bye !
Amandine
27 février, 2018 à 8:37
Je suis heureuse qu’il existe des solutions merci Sylvie…
Je me suis tracassée a l’idée d’avoir noirci le tableau mais j’étais paniquée j’ai raconté les choses comme tel.
Quel soutien ca été pour moi je te remercie vraiment beaucoup .. Je t’envoie une
Fleur qui sent bon rose doré
Je tiendrai au courant plus tard dans la vie si ca t’intéresse …
Je te souhaite de continuer de ton côté sur ta tres tres belle lancée !
Amandine
26 février, 2018 à 3:52
Rien que le fait, que tu m’ai posé la question je réalise que ça m’a fait beaucoup de bien:) je ressens à nouveau tout la paix et l’amour qui me manquait il y a quelque minutes (sans doute) parce que je l’ai Exprimé …
crystallia
27 février, 2018 à 1:36
Bonsoir,
Ok je vois. Demande l’aide d’un Serviteur sombre et accepte son enseignement en échange.
Bise
Amandine
26 février, 2018 à 3:46
Pour rester optimiste et ne surtout pas t’alarmer je peux t’en dire qu’au moins ça pourra peut être me servir (si je m’en sorts sans bleu encore lol ) à rassurer les personnes qui passent par des événements de ce type..
je pense que ça ne va pas durer ad vitam aeternam aussi. Le temps de m’ancrer correctement sûrement et donc avec le temps .