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Les douleurs

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Les douleurs 17050601021117181815022723

Bonjour à tous,

« Bien dormi ? », me demande Elémiah.

Oui.

« Alors, la température parait agréable, enfin ? »

Oui…

J’ai mal au cou.

« Tu as mal au cou ? »

Oui.

« Ca va passer. Tu vas te réhabituer à dormir sur le côté. »

J’aime sur le ventre.

« Tu verras bien ce qui est le plus confortable. Et qui donne le moins mal au cou. »

Je sais ce qui donne le moins mal au cou. C’est de regarder juste devant moi. Et c’est tout.

Je sais pourquoi il fait froid. Parce que sur ce nuage-là on perçoit aussi les températures environnantes et pour tout le monde il ne fait pas 22°.

Pourquoi est-ce qu’on s’agite quand on a mal quelque part ?

« Pour la même raison qui fait que tu préférais dormir avec le ventilateur allumé quand tu entendais les acouphènes. »

Ils résonnent plus fort quand il y a du bruit durablement. Je ne le savais pas, je l’ai découvert. Les acouphènes c’est ce que j’ai eu de plus difficile à gérer sur le plan de la santé.

Honnêtement.

Il n’y a pas de bouton stop ou de réglage du volume. En outre apparemment, il arrive qu’on ne puisse plus s’en débarrasser. J’ai lu que certains avaient perdu le goût de vivre à cause de ça. D’autant qu’ils peuvent accompagner une surdité.

Toujours honnêtement, je comprends ces personnes. Je n’en suis pas arrivée là, j’étais même bien loin. Mais je comprends.

C’est aussi désagréable et dur qu’une douleur qui ne passe pas. C’est le genre de chose qui peut te faire péter un câble si jamais tu es crevé et que tu constates que malgré tes efforts tu ne parviens ni à te détendre ni à t’endormir.

En plus ils peuvent prendre la forme d’un brouhaha, ce n’est pas juste un petit bruit de fond. J’ai entendu le brouhaha.

Je peux vous dire que ça fait drôle.

Donc il y a des gens qui ont mal comme ça ? A l’intérieur, pas physiquement. Et comme ils ne trouvent pas de remède, ils s’agitent ?

Dans la bulle dorée j’entendais les cris mais ils ne résonnaient pas.

« Cela fait des années que nous travaillons ensemble sur la gestion de ton empathie. »

J’accepte la douleur d’autrui. Mais les gens, ils n’aiment pas avoir mal.

« Tu n’aimais pas les acouphènes. »

J’ai cherché des solutions.

« C’est vrai. Tu sais faire cela, tu sais mobiliser ta volonté pour trouver des solutions. Tu ne commences pas par haïr le monde. Ou pas fuir. Ou par croire à la fatalité. »

La chose tragique, c’est que c’est mon chemin spirituel qui m’a aidé à repousser certains travers. Moi aussi je fuyais en premier etc…

Je vois que d’autres me disent croire en dieu et aller à l’église. Mais dans leur foi ils ne puisent pas les éléments qui pourraient leur permettre à eux aussi de s’éloigner de certains comportements.

Moi aussi j’ai haï le monde. C’était au tout début de mon éveil, tout le monde avait l’air de bien mieux se débrouiller que moi et je me voyais coincée. Heureusement, j’ai appris à ne pas rester là-dessus.

Je sais que certains gèrent les acouphènes avec des méthodes de sophrologie. Pour moi d’entrée ce n’était pas une solution. Si on m’avait dit, c’est l’unique moyen, je me serais mise à pleurer. Parce que cela aurait voulu dire, apprends à vivre avec.

Qui rêve de vivre avec sa douleur ?

Seulement, quand vous m’aidiez à m’endormir sans le ventilateur, vous créiez cette espèce de bulle d’énergies douces et lumineuses et c’est ce qui m’a aidé à comprendre en quoi la sophrologie pouvait être une solution.

Parfois on voudrait une solution précise mais elle n’est pas accessible. D’autres le sont. Qui peuvent convenir à un moment donné.

C’est un travail de comprendre et d’accepter cela. 

Dans les cris qui résonnent j’entends souvent, j’ai mal ou je n’en peux plus.

La vérité est que cela ne va pas être si simple de retrouver 30°.

« Effectivement. Beaucoup de personnes attendent d’autrui qu’il les rendent heureuses. Souvent, les relations humaines vous amènent à 24° dans les meilleurs cas.

Toutefois, 30° reste accessible à ceux qui portent leur soleil en eux. Et tu sais reconnaitre ces personnes. Alors ne t’inquiète pas.

Gère ton empathie en faisant preuve de compassion. Chacun est comme il est et agit comme il le peut.

Il arrive que les gens pensent comme toi, pourquoi devrais-je essayer la sophrologie, c’est une injustice de ne pas avoir de vrai remède.

Il faut du temps par moments pour trouver sa véritable foi. »

Merci Elémiah.

Bonne journée à tous ;)  

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16 Commentaires

  1. lapriereducompositeur

    10 mai, 2017 à 0:47

    Coucou!

    nan mais 30° c’est beauuuucoup trop pour moi! 24° ça m’irait très bien. :) J’y travaille. Seule. (Enfin euh… avec l’aide de mes guides sûrement quand même ^^)

    Bisouuuus!

  2. Emilie

    9 mai, 2017 à 23:22

    Bonjour Arc,
    En cherchant qui était la déesse Kaban dont j’avais cité le nom en rêve, j’ai trouvé amusant de lire qu’une autre divinité Maya avait pour pseudo « Dame arc en ciel » – tu connais peut être ?

  3. Arc

    9 mai, 2017 à 22:56

    Hello,

    Si on était entre nous, j’utiliserais mon prénom depuis longtemps. Cela m’enquiquine un peu je dois dire, ces rares occasions où il nous est demandé de choisir un pseudo. Alors j’opte pour ne pas me casser la tête, et faire un choix dont je vais me rappeler… Arc-en-ciel, je trouvais que cela faisait un peu étendard, alors j’ai raccourci. En effet, j’ai remarqué qu’ Arc pouvait donner lieu à des quiproquos. Comme quoi, quand on interprète en fonction de préjugés… Et Mélissa qui y allait de ses petites piques à l’occasion « Ark… » (pour dire berk) Hihihi… Ce serait envisageable de changer la vibration du pseudo. Tant que le lien entre l’ancien et le nouveau est suffisamment flagrant pour quelqu’un d’attentif.. Bon. Mais je suis déjà limite trop douce.. Arc, cela créait un contraste, comme le cuir noir quand on a un visage d’ange. Arc-en-ciel, ça fait pédale douce, paillettes et petits poneys licorne POWER. Bref.. Faut pas que ça vire dans le marshmallow… Hum. Essayons. Puisque j’ai toute la palette du spectre solaire à ma disposition, pourquoi me limiter à l’intransigeance du cristal ? Faisons un test.
    M’enfin, Arc au moins, ça ne faisait pas niais !

    Bonne nuit ;)

  4. Cel

    9 mai, 2017 à 20:18

    Coucou Sylvie,

    « Moi je n’ai jamais tenu de calendrier, je me fiais à la douleur »
    Je comprends très bien, car c’est exactement mon cas, « heureusement » dans mon malheur, comme mes ovaires ont dystrophiques par ailleurs et marchent mal, je n’avais pas mes règles tous les mois (sinon je crois que je me serai flinguée) et comme j’étais malade presque 1 mois à chaque fois (1 semaine, avant, pendant, après) finalement… j’avais quand même des coupures entre deux.

    Le régime sans gluten a aussi fait du bien chez moi. Et j’ai malgré tout appris à accueillir cette période des règles, à la rendre plus vivable avec des trucs et astuces, du repos. En soi, même si c’est douloureux, je sais aussi que c’est une purification puissante de mes énergies et que j’en ai besoin. J’essaye d’accompagner le mouvement et ça passe mieux (diète, méditation de purification, etc)

    Ce qui me pose réellement problème, ce n’est plus mes règles et la crise qui va avec. Ce sont les autres crises ENTRE qui se multiplient : douleurs aux ovaires, crise de fatigue aigue, fièvre et migraine, vertige etc, mais sans avoir de règles. Et puis surtout les symptômes constant : épuisement, sciatique permanente, problèmes digestif… qui eux semblent s’accentuer.

    Cela m’a fait un choc quand le spécialiste m’a dit « de toute façon, dans votre cas, l’opération semble inévitable » Parce que j’ai l’intestin collé au dos de l’utérus, et que ma sciatique est probablement causé par l’endo aussi… Mais comme toi, je n’ai pas envie d’une méthode aussi brutale : « avec de la chance, on n’aura pas besoin de vous faire une résection de l’intestin, il suffira de le racler » … Que répondre à ça ? Franchement, me faire racler l’intérieur au scalpel pour avoir 30 à 50% de risque de récidive et que ce soit pire après ??? Non merci…

    La question de ce qui se cache derrière mon endométriose est une question que je me pose depuis des années. De ce que j’ai pu explorer et comprendre, elle renvoie à 3 grands domaines (qui sont entremêlés) :
    - Le refus de la maternité
    - Un blocage au niveau de la sexualité
    - Le poids de la maladie

    Concernant le refus de la maternité, je sais que c’est un de mes plus gros nœuds. Ado, j’ai toujours eu cette idée que je ne voulais pas d’enfant : était-ce parce que je savais inconsciemment que mon corps était malade et peut être stérile? Ou cela a –t-il déclenché la maladie ? Aucune idée. Mais refus, blocage.

    Ce refus s’articulait autour de 2 points :

    1) « Je n’en suis pas capable » : mémoire héritée de vies antérieures. Notamment d’une où j’ai eu et abandonné 7 enfants dans un foyer qui les vendait, car je voulais me consacrer à ma carrière artistique (chanteuse ?). Ils étaient issus de mes aventures (pas de contraception efficace) et je m’en suis débarrassée comme d’une grippe.
    Pour conséquence : rejet du rôle de femme au foyer, culpabilité, blessure de l’abandon par la mère ravivé par reflet, conflit entre vie pro et familial, blocage par rapport à l’artistique, auto-jugement et rejet de moi-même

    2) « c’est trop de responsabilités » : mémoires familiales (la grande majorité des femmes de ma branche paternelle ont dû élever leurs enfants seules : décès, maladie du mari ; il y a du lourd aussi côté maternelle – enfant batarde et procès, mari malade…)
    Pour conséquence : peur de tomber enceinte, incapacité à se projeter en couple avec un enfant…
    Depuis mon passage à la Réunion, et mon travail spirituel… j’ai changé d’avis. Si je tombais enceinte, je le garderais. Et maintenant, je sais que « je suis capable d’élever un enfant », cette croyance est tombée. Mais celle des responsabilités… pas encore lol.

    Concernant le blocage de la sexualité, il y a 2 points sus jacents aussi :

    1) La peur des hommes : mémoire de viol dans cette vie et dans les précédentes, ainsi que des mémoires familiales très proches. D’où la peur du désir et du regard des hommes, la peur d’être traitée en objet sexuel. Cela joue clairement sur l’expression de ma féminité et me pousse à la masquer physiquement (ne pas mettre en avant mon corps), mais aussi à être contrôlante ou fuir la sexualité, à avoir peur des hommes.

    2) La douleur et la peur de la douleur. A cause de l’endo, j’ai des nodules de sang très mal placés… D’où le sentiment d’un corps « incapable d’accueillir », une mauvaise image de soi, la peur des rapports, une relation faussé au plaisir (qui se transforme en douleur)

    Et puis il y a tout le volet « poids de la maladie » :
    - Sentiment d’impuissance : efforts sans effets, dépendance au corps médical…
    - La culpabilité : je ne suis pas « productive » comme l’exige la société, je ne réponds pas au modèle de la femme attendue « travailleuse, mère et amante » en même temps…
    - L’isolement : physique, psychologique, social, affectif…
    - La mauvaise santé, la fragilité physique et psy : limitation de ma liberté physique d’agir, mauvaise image de moi-même, etc…

    C’est un peu long, mais je crois que ça brosse bien le portrait des enjeux qui se cache derrière cette maladie chez moi. Comme tu vois, les chantiers sont multiples et titanesques… Probablement bien trop pour une seule vie. Et j’imagine que je peux m’estimer heureuse d’avoir au moins fait tomber une des fausses croyances qui se cache derrière. J’aimerais juste que les efforts payent au moins un peu et descendent au niveau physique…

    Et toi, tes questions t’ont menée quelque part ?

    Bises

  5. crystallia

    8 mai, 2017 à 21:54

    Bonsoir Camille,

    Le découragement je connais aussi.

    Malgré mes fibromes que je voudrais voir s’envoler, je n’ai pas encore pris le temps de me pencher sur les maladies liées à l’expression de notre féminité.

    Et en fait le courage me manque aussi je crois.

    Depuis que je respecte enfin mon régime sans gluten etc, mes règles sont nettement moins douloureuses et les fibromes gonflent moins également.

    En fait, j’ai même vécu de sérieuses mésaventures dues à l’arrivée inopinée de mes règles ces derniers-mois.

    Avec le recul on se dit qu’il vaut mieux en rire. Bref.

    Moi je n’ai jamais tenu de calendrier, je me fiais à la douleur. Oui je suis sérieuse.

    Ce n’est que ces temps-ci que je commence, j’insiste, à me dire que je gagnerais à trouver une méthode douce et agréable pour accueillir ce qui a longtemps été la mauvaise période du mois.

    Cela me pousse à m’interroger sur la place que j’accorde à la femme que je suis et à la façon dont je souhaite la voir s’épanouir.

    Je passe mon temps à entendre que je devrais privilégier une méthode douce pour gérer les fibromes. La seule qui m’avait été proposée était un régime plus sévère que celui que je dois normalement suivre, du sport à intervalles très réguliers et une hygiène de vie qui passait par des bains de bassin d’eau glacée…

    Pendant un an minimum.

    Je ne dis pas que cela n’est pas efficace. Mais tu dois avoir une idée de ma personnalité maintenant. Aussi, tu ne seras pas surprise si je te dis que devant tant de contraintes, j’ai pensé que la chirurgie serait toujours plus intéressante.

    J’ai changé d’avis au sujet de la chirurgie uniquement parce que des messages récurrents me disent que je devrais rester dans la douceur et ne pas voir que des contraintes et des obligations dans la féminité.

    Je n’avais pas ce sentiment-là mais il m’est également rappelé de temps en temps qu’avoir des enfants est un choix. Que je ne suis pas obligée de faire.

    Peut-être que c’est pour que je déculpabilise de m’être suicidée après avoir appris que j’étais tombée enceinte dans une autre vie dont j’ai déjà parlé.

    Les fibromes pourraient être liés à cela.

    Mais que ce soit ou non le cas, je n’arriverais pas à creuser le sujet si je me sens obligée de le faire, je l’ai déjà compris.

    Je me laisse le temps d’aborder les choses sereinement. Déjà, depuis un bon moment, il n’y a plus de vilaine période du mois.

    L’endométriose est nettement plus contraignante que les fibromes, je le sais bien.

    Toutefois il s’agit aussi d’une maladie liée à l’expression de notre féminité.

    Qu’est-ce que tu mets dans la tienne ? Qu’est-ce que tu y relies ?

    Je vais prendre un papier et un crayon et me poser les mêmes questions, tiens.

    Bise ;)

  6. Cel

    8 mai, 2017 à 20:27

    Bonsoir,

    « pourquoi devrais-je essayer la sophrologie, c’est une injustice de ne pas avoir de vrai remède. »
    Pourquoi est- ce que je fais tant d’efforts pour ma santé et aucun ne marche-t-il ?

    Le chemin de ma foi… Je ne saurai pas le décrire, mais je sais que ma foi s’est renforcée depuis mon vécu à la Réunion.
    Néanmoins, je n’ai aucune explication du pourquoi de ma maladie… Enfin pourquoi dans cette vie là..

    Et si le chemin de ma foi est accolé à celui de ma santé alors c’est un parcours du combattant.

    J’ai l’impression que pour un pas en avant, j’en fais deux en arrière. Ou encore, que je fournis des efforts pour monter la colline juste devant moi, pour ensuite tomber dans un vallon encore plus profond, et ainsi de suite.
    Voilà 2 ans que la maladie chronique que j’ai a enfin été nommée. J’ai essayé des tas de traitements, changer mon alimentation et mon rythme de vie, je me suis posée des questions, j’ai essayé de comprendre, de faire un travail psychologique, émotionnel et spirituel. Je pense que tu as une idée de ce dont je parle.

    Tout ça pour arriver où ? Dans une impasse. Pourquoi mes efforts ne paient pas ? Pourquoi le déploiement de la volonté marche chez certains et pas d’autres ?
    Quelle est la porte que je ne vois pas ?

    Je suis épuisée, littéralement épuisée. Je n’ai plus l’énergie de combattre la maladie et de faire encore et encore des efforts sans améliorations… Je ne peux quasiment plus conduire, je ne peux plus travailler, et en crise, je ne peux rien faire du tout… Je n’ai même plus assez d’énergie pour appliquer les conseils de mes guides… Je demande de l’aide, j’essaye d’écouter et d’accueillir, mais je ne reçois pas… Pourquoi ?

    Je ne comprends pas…

    Bises

  7. crystallia

    8 mai, 2017 à 11:44

    Bonjour,

    Des insomnies, je n’ai jamais cherché dans cette direction vu que je n’en ai pas. Mais je suppose que c’est bien aussi déplaisant que les acouphènes…

    Et je pense bien qu’au bout de treize ans tu as déjà essayé nombre de méthodes pour accueillir le calme et le délassement.

    Qu’est-ce que tu fais quand tu ne dors pas ?

    Tu restes dans ton lit ou tu fais quelque chose de productif ?

    Arc-en-ciel, j’aime beaucoup. Je me demandais pourquoi tu avais choisi un pseudo aussi « tranchant ». Parce que pour moi Arc, cela évoquait l’arme.

    Et je me disais, c’est drôle…

    Ceci dit, mon propre pseudo n’a pas de sens précis par contre. Il en fallait un et sans une ribambelle de chiffres derrière, ce que je ne supporte pas. Donc en inventer un était le plus simple.

    C’est marrant que tu parles d’un point derrière chaque oreille. Quand j’avais mal c’est là que mes guides me suggéraient de mettre du Vicks et ça me soulageait toujours !

    Camille, à quoi ressemble le chemin de ta foi ?

    Bise ;)

  8. Cel

    7 mai, 2017 à 22:49

    Coucou

    « Il faut du temps par moments pour trouver sa véritable foi.  »
    Je ne comprends pas Elemiah… Je ne comprends pas.
    J’aimerais bien comprendre…

    Bises

  9. Arc

    7 mai, 2017 à 19:49

    Salut,
    C’est ma foi qui m’a guérie, pas les médecins. Je n’ai aucun mérite pour cela. Ça m’a été donné, c’est tout.
    Quand j’ai vraiment besoin d’aide, je demande. La Source me répond toujours.
    Quand j’ai mal quelque part, si je demande je suis soulagée en principe dans les minutes qui suivent.
    J’ai de la peine à imaginer qu’il n’en soit pas ainsi pour chacun.
    Pour moi, c’est avant tout une question de foi.
    La foi qui n’épargne pas de s’investir de tout notre être là où on le sent, entre parenthèse.

    Je ne sais pas ce que c’est que de se sentir vraiment seule. Même humainement, je ne l’ai jamais vraiment été. Même au début de mon « éveil ». Je ne rame pas pour trouver quelqu’un avec qui partir en vacances. Et je ne partirais pas avec des âmes avec lesquelles un lien spécial n’aurait pas été tissé.

    Tout n’est pas toujours parfait néanmoins à mes yeux d’incarnée hyper(extra/supra)sensible. J’apprends à gérer et à accueillir moi aussi. Peut-être que j’aurais viré misanthrope si je n’avais ce grand cœur. Pour autant, je ne sponsorise pas les gourous en puissance et ne suis pas assistante sociale. Moi j’apprends à densifier mon égo, alors que souvent c’est plutôt l’inverse. Mais même lorsque je place une limite, me positionne ou dans d’autres circonstances, la compassion émerge en arrière-plan. Je ne le montre pas forcément, mais force est de constater que c’est une de mes qualités intrinsèques. Ça compense mon fort caractère (rires).

    Bizarrement, me laisser traverser par la lumière m’est facile. Naturel.
    La véritable couleur de la lumière est multicolore. Non blanche ou jaune.
    Telle est ma couleur d’incarnation. Ce n’est pas un jugement de valeur.
    C’est vrai que ce n’est pas le cas de figure le plus fréquent ceci dit.

    Il n’y a pas le même degré d’exigence pour conduire un vélomoteur, une voiture ou un avion, et c’est normal.
    Prendre le temps qu’il faut pour bien faire les choses et être satisfaite de chaque étape, cela me ressemble.

    Accuser les autres de notre mal-être ne résous rien en effet.

    Suis contente que tes acouphènes s’apaisent. Une sangsue sur un point précis derrière chaque oreille : pas très ragoûtant, mais peut-être pas si con…

    Aujourd’hui il a plu, et c’était une très belle journée.
    Bise Arc-en-ciel ;) (d’où le choix du pseudo, à l’époque)

  10. Myriam

    7 mai, 2017 à 16:23

    BONJOUR sYLVIE/

    Qu’il est beau ce texte!c’est si vrai!
    Il faut du temps pour comprendre_ comprendre, pourquoi celà m’arrive-t_il? à moi, maintenant.Et effectiveent, il y a des personnes qui ont besoin de temps pour comprendre que ce qui arrive n’est pas le fruit du hasard..Il m’a fallu 15 ans -avec ma première varice et il y a 2 ans, la dernière opération.
    Avec le recul, je dirais que l’important, c’est de comprendre_le pourquoi, du comment.Peu importe le temps! Bien sûr, j’aurai préfèré comprendre de suite mais, celà ne devait pas se passer comme ça.Et je préfère avancer, plus tôt que ressasser le passé.
    Quand , on se « penche » sur la question, on s’aperçoit que tout est calculé, précisément pour avancer sur son chemin de vie personnel.
    C’est comme des indice semés sur ton chemin.A toi de les trouver, de les comprendre et les mettre en place ,et de voir ce que ça donne.
    Quand à la douleur, elle est là comme un signe pour nous faire comprendre qu’il y a un dysfonctionnement_moral, affectif ou physique.
    C’est comme un signal d’alerte qui dirait »attention » , réfléchie_ ça ne va pas!
    En parlant de dysfonctionnement_ que dirais-tu sur les insomnnies, la mienne.
    J’ai compris de puis pas mal de temps qu’elle venait de ma peur que j’avais eu il y a plusieurs années – quand je ne savais rien encore( voir post antérieur) d-une basse âme qui est venu ,est que j’ai fait partir.
    Puis, i y a eu ( ne riait pas), la terreur du serpent – que je croyais entendre ds ma chambre.Mais depuis, j’ai compris , anrcé et lâcher prise mais mes insomnie sont toujours là( depuis la naissance de mon fils), j’ai cru aussi un moment que ça venait de là mais j’ai creusé de ce coté là aussi mais non.
    DE plus, je sais que malgré 13 ans d’insomnies- je suis plus tôt en forme et donc je sais que mes guides m’aident ds ce sens.
    D’ailleurs quand, je suis trop fatiguée, je demande de l’aide et l’obtient.
    J’ai finalement, pris le parti de laisser faire en me disant qu’il y avait surement une raison que je ne dois pas encore découvrir car ce n’est pas le moment.
    Est ce que j’ai raison? pEux -tu demander à Elémiah, merci
    Si ce n’est pas le moment,je comprends_ je ne dirai pas que c’est facile mais ce n’est pas difficile, non plus.Du moins, la plupart du temps.
    Pardon , pour la longueur et bises à tous.
    Je suis tellement heureuse de la fête hier soir et en génèral.que d’amour!

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