Bonjour à tous,
« Donc tu vois la sixième montagne. », me dit Jophiel.
Oui, elle est là, depuis qu’on en a parlé lol.
« Le fait de la voir maintenant ne t’apportera rien de particulier. Tu ne peux pas encore retrouver le chemin vers la vallée de la première montagne, n’est-ce pas ? »
Non, c’est tout noir, je ne l’ai jamais vue cette vallée. Je ne connais que la montagne. Dis-moi, tu peux indiquer à mes lecteurs comment trouver la vallée de la quatrième montagne ? Certains ne veulent plus rester dessus.
« Le déni, le refus, l’entêtement n’indiquent jamais la bonne direction. S’ils sont dessus c’est que là est leur place. Toi tu ne pleures pas parce que tu es célibataire, tu ne te lamentes pas.
Les autres aussi ont les moyens de comprendre et assumer leur parcours personnel.
La vallée sera accessible quand certaines choses auront été comprises et acceptées. Mais cette vallée n’est pas grande. C’est sur la montagne que se trouvent les enseignements.
Vous ne devriez pas avoir peur du désert. Des erreurs. De l’errance. Pour arriver d’un point A à un point B, il faut combler la route qu’il y a entre ces deux points.
Revenons à la première montagne. Y a-t-il un jeune homme actuellement qui t’intéresse ? »
Non. Et je n’ai reçu aucun message particulier, je ne crois pas que l’ascension de la troisième montagne soit pour tout de suite…
« La énième ascension ou L’ascension ? »
Lol !
« La cinquième montagne est particulière. Très peu fréquentée. C’est celle qui offre la plus belle vue toutefois. Ce n’est pas une énième ascension qui permet d’y accéder. »
Lolllll !!!!!!
« Tu ne t’en souviens pas mais tu es déjà arrivée à son sommet. C’était il y a longtemps, dans un précédent cycle. Tu es arrivée au sommet et tu es redescendue accompagnée, en retrouvant la vallée pour le reste de cette existence. Ce n’est qu’à la fin que tu t’es rendue sur le chemin entre les deux vallées des montagnes faciles.
Personne ne se méfie de la première montagne. Pourquoi ? La réciprocité, c’est ce que vous recherchez. Nulle raison de se méfier. Pourtant, l’entrée du désert ne se trouve pas au pied de la troisième ou quatrième montagne.
Le cœur aussi a besoin de s’élever. Aimer s’apprend, comme le reste.
Et les enfants que vous avez ou non, où se trouvent-ils ? Sur la montagne ? Dans la vallée ? En-dehors de cet espace ? Est-ce important ?
La vie c’est la création. Comment créez-vous ? Comment aimez-vous ce que vous créez ?
La nuit du cœur ce n’est pas la nuit des amants qui rêvent de la cinquième montagne. C’est celle du cœur qui cherche à comprendre comment créer, quoi et pour quelle raison.
La nuit de l’âme peut avoir ouvert la conscience de telle sorte que la sixième montagne devienne visible.
Sans l’expérience de l’ascension de la cinquième montagne, l’ascension de la sixième n’a pas de sens profond.
Les amants qui rêvent dorment encore sur la quatrième. Ceux de la cinquième risqueraient l’équilibre de leur vie entière pour passer cinq minutes à discuter avec leur personne spéciale. Avec ta tête, comprends-tu la différence ? Nous savons que oui.
Je te ramène dans la vallée de la deuxième montagne et tu vas rester là quelques temps. Cela t’aidera à réaliser l’ascension de la montagne de la mort. »
Il faut vraiment qu’on lui trouve un autre nom !
« La montagne de la transformation ? »
J’aime mieux celui-là.
« Comme tu voudras, seul importe le fait que tu ne la fuis pas. »
J’ai bien compris ne t’inquiète pas.
Merci Jophiel.
Bonne journée à tous
crystallia
28 juin, 2017 à 18:02
Salut,
Moi aussi c’est la cinquième qui m’appelle en vérité.
Liliane, tu restes où tu veux.
Bise
Liliane
28 juin, 2017 à 17:15
Salut,
Pour être honnête je crois que je ne veux plus monter sur aucune de ces montagnes, je boude, je reste dans la vallée et peu importe laquelle parce que les chances d’errer dans la construction d’une piste sont plus grandes que celles pour construire une autoroute et je crois sincèrement que je suis entrain de construire une autoroute. Il faut composer avec beaucoup de choses et là je suis fatiguée des montées et descentes, il est où le bouton pause ? bref comme je disais moi je ne grimpe plus, je n’ai plus envie, je reste là.
Bises
Camille-Strawberry
28 juin, 2017 à 12:26
Coucou
Moi j’aime bien la 5ème montagne. Déjà, quand je lisais qu’il y en avait 4, moi je voulais être sur la 5. J’ai bien aimé lire qu’il y en avait 6. Ca m’a fait sourire. Et encore plus de lire cet article.
J’aime bien cette montagne. Elle me parle. C’est un dur effort mais la récompense est de taille. Oui voilà. Cette montagne est spéciale.
Bises
Eve
28 juin, 2017 à 5:24
Merci Sylvie
crystallia
28 juin, 2017 à 2:07
Coucou !
Eve, je te le souhaite du coup ! Ce serait sympa.
Atellys, pour trouver un manteau, il suffit de demander à intégrer la leçon d’une autre manière.
Jusqu’à ce que ce nous devions tiré de la relation qui n’a pas marché s’affiche devant nous, dans un cadre neutre, qui ne nous fait pas souffrir mais qui nous permet quand même de comprendre.
Bise
Eve
28 juin, 2017 à 1:20
Bonjour Sylvie et bonjour Jophiel,
Oui! Oui! Oui! Moi, il y a un jeune homme qui m’intéresse! Suis-je également sur la montagne de la transformation? J’aimerai bien…
Bises
atellys
28 juin, 2017 à 1:19
Coucou Sylvie
Je comprends mieux pourquoi tu disais un jour que certains nous étions nos relations affectives nous servaient d’enseignements spirituels.
Je trouve ces articles très intéressanst bien que le premier de la série m’ait complètement bouleversée ( et que j’ai dû m’accrocher un peu pour saisir les métaphores) lorsque tu as parlé du la nuit du coeur..le désert dans le coeur je connais bien, la 4 ème montagne aussi d’ailleurs lol. N’empêche à la lecture des articles je me dis que voir la 2ème montagne permet aussi d’éviter les écueils pour peu qu’on sache la voir. Sinon la 4ème reste celle des coups de poker: on se dit » ah ça y’est je pense avoir trouvé » on se dit qu’on tente et qu’on verra en chemin même si parfois la descente est rude aussi… et le désert fait peur parce qu’il nous renvoie à nous même, et parfois on aime pas ce qu’on y trouve et sans manteau le parcours s’avère très désagréable.
Ceci étant c’est vrai que dans l’absolu l’essentiel c’est d’expérimenter, on finit toujours par apprendre . N’empêche je crois être bien loin de la 5ème et 6 ème montagne. On dirait que les vallées ressemblent à des zones de repos , non !? Et entre les vallées on expérimente, on tâte, on se cogne parfois, on chemine
Mais d’après ce que je comprends la nuit du coeur c’est aussi non seulement comment créer mais trouver sa place finalement non ? , ce qui nous fait vibrer profondément et pourquoi… mum..je vais réfléchir à tout ça
Merci en tout cas pour ces articles
Eve
28 juin, 2017 à 1:19
Bonjour Sylvie et bonjour Jophiel,
Oui! Oui! Oui! Moi, il y a un jeune homme qui m’intéresse! Suis-je égsur la montagne de la transformation? J’aimerai bien…