Bonjour à tous,
« L’idéal pour vous c’est quand ce que vous voudriez et ce qui est se rejoignent.
Il arrive que cela se fasse sans que vous n’ayez à bouger le petit doigt et il arrive que vous deviez déplacer des montagnes.
Ce qui compte réellement au final, c’est que vous soyez en mesure d’apprécier tant le chemin parcouru que le fait que finalement, vous ayez pu établir l’équilibre.
Là où se trouve le contentement, il n’y a plus de place pour l’amertume, le désir de revanche, la jalousie. Ne reste que la satisfaction. Celle qui peut ouvrir vers le partage volontaire et éclairé.
Ne propose pas du pain à celui qui n’a pas ou plus de dent. Tends-lui la main quand même.
C’est un apprentissage que de savoir de quelle manière donner à chaque instant, donner de manière éclairée, sans jamais imposer.
C’est un apprentissage qui passe par le rejet de la personne que vous êtes et cela est normal tant que vous ne comprenez pas que chaque situation peut amener une réponse différente.
Cette souplesse d’esprit nécessite une ouverture du cœur qui n’est jamais innée mais bien acquise.
Sache que sur ce chemin souvent ingrat du don de soi, la satisfaction se trouve dans la compréhension du fait que l’on ne donne vraiment qu’en prêtant quelques outils, eux-mêmes empruntés un peu plus tôt et qui n’ont pas vocation à être récupérés.
Vous ne pouvez rien donner de plus précieux que des outils pour voir, déterrer, lire, déchiffrer des panneaux.
Vous avez les vôtres à suivre déjà, cela est juste et bien suffisant.
Pour qui comprend que l’équilibre pour soi est la clé qui permet d’accepter l’équilibre pour les autres.
Ainsi arrive toujours le moment où vous devez laissez aller vos enfants tout en sachant que cela ne signifie pas leur tourner le dos.
Arrive le moment où vous devez aider vos parents tout en sachant que seule la tombe les attend au final.
Arrive le moment où vous devez assumer votre propre bilan tout en étant conscient que vous avez fait l’usage que vous vouliez et non pas que vous pouviez, des outils qui vous avaient été prêtés.
Comprends, si demain une tempête rase ta maison, tu auras toujours deux vraies possibilités à suivre. Tu ne seras pas obligée d’en chercher une troisième, une quatrième, une cinquième…
Et quand tu choisis d’agir ainsi, tu choisis en fait la seconde option.
Souviens-toi donc, pour éviter de tourner en rond et de fuir le jour où tu verras arriver le bilan, que ce qui est facile c’est le chemin qui permet de n’avoir pas de regret.
Reconstruire avec deux mains découragées peut sur le long terme s’avérer bien moins difficile que de fuir devant l’ampleur de la tâche à accomplir. Si tu fuis une fois tu fuiras toutes les fois.
Si tu te bats une fois, tu trouveras de nouveaux outils et tu comprendras qu’il y aura toujours pour toi de nouveaux outils.
Tu comprends que plus tard ou attends, sont des promesses et non pas de vaines paroles réconfortantes.
Tu sauras que tu as ce qu’il faut pour toujours aller de l’avant.
Ce message est pour Carène. Elle le comprendra. Quand elle le lira. »
Ok, merci Elémiah.
Bonne journée à tous
Zebullon
25 septembre, 2017 à 23:44
Bonjour
Et juste Merci ^^
crystallia
25 septembre, 2017 à 1:12
Coucou Camille,
On prend ce qui nous touche ou nous convient.
Bise
Camille-Strawberry
24 septembre, 2017 à 22:58
Coucou
Bizarrement, je ne lis plus trp le blog. Je le survole et ne me laisse capter que par les effluves qui me font lire ou non, en diagonale ou non.
Je ne sais pas quelles types d’énergie à Elémiah, mais je sens une très belle puissance dans l’ombre qui en ressort et c’est très agréable.
J’aime bcp ce qui se dégage de cet article
Bises â tous, et courage dans vos épreuves.