Bonjour à tous,
« Je vais te raconter une histoire, me douce enfant. », me dit Astaroth.
Je t’écoute.
« Une magnifique jeune fille dormait profondément lorsque sa route croisa celle de son prince parfait. Il la reconnue mais ne put attirer son attention en raison de son profond sommeil.
Il dut se résoudre à aller de l’avant. Et il y parvint brillamment, avec du temps et du travail. Il trouva un chemin qui lui convenait à plusieurs égards.
Le souci c’est que son cœur lui réclamait la magnifique jeune fille.
Or il ne voulait pas revoir la belle endormie. Il avait été assez difficile de la rencontrer une première fois et de ne pas pouvoir entrer en contact avec elle.
Il recevait des signes, lui disant qu’elle s’était éveillée et qu’elle aussi avait petit à petit retrouvé la mémoire.
Par contre, son cœur à elle était resté figé dans un sombre et lointain passé.
Il comprit un jour qu’il devrait attendre qu’elle souhaite le revoir. Il ne savait pas comment il le saurait, il savait juste qu’il saurait.
Et un matin, il sut.
Ce fut le dernier jour de sa vie. Le premier de celle de la magnifique jeune fille. »
Je n’ai pas tout compris !
« Vraiment ? Eh bien, la montagne entre eux disparaitra peut-être. »
La montagne entre eux ?
« La montagne oui. Cette histoire t’a plu ? »
Je ne sais pas.
« Alors je te laisse y penser tranquillement. C’est une de ces histoires qui peut avoir plusieurs interprétations. Il y a celle qui te parle et celles qui parlent plus à d’autres.
Toutes se valent. Tout dépend de celui de ces deux personnages qui vous touche le plus. »
Là je comprends…
« Ce que tu comprends te concerne, ce que d’autres comprennent les concernent. Petites et grandes montagnes. »
Cela, je comprends aussi, merci à toi.
Belle journée à tous
Camille-Strawberry
29 décembre, 2017 à 20:07
Coucou Sylvie,
Mais c’est pas toi justement qui me parlait de miracle la fois prochaine.
Séparer une gaufre en deux, en créer une deuxième, voir une montagne, hop ! la faire disparaitre et puis c’est tout !
Tu as vu, j’applique bien les leçons !
Pas taper !
Bises
crystallia
28 décembre, 2017 à 1:54
Coucou,
Faut voir comment elle disparait.
Je sors aussi.
Bise