Bonjour à tous,
« Certaines choses sont compliquées. Il n’y a presque plus de place sur ta coiffeuse. Qui offre pourtant pas mal de rangements. Seulement tu y ranges pas mal de choses.
Du parfum, de la crème, du maquillage…
Des choses nécessaires à ton sens. Des choses nécessaires, pourquoi pas.
Certaines choses sont compliquées et ne devraient l’être que pour les personnes concernées. »
Vous me dites que ma mère en veut toujours inconsciemment à mon père pour ce qui s’est passé lors de leur premier mariage ?
« Nous savons que tu ne souhaites pas entrer dans les détails en ce qui concerne la relation de tes parents. Nous te disons simplement que ce n’est pas pour rien que ta mère n’est pas pressée que tu partes. »
J’entends.
« Mais tu partiras et elle le sait. Et elle sera contente pour toi. Tu sais, certaines choses sont compliquées.
Ton oncle est parti quelques temps après le décès de ta tante rejoindre une autre femme et finalement, tout ne se passe pas comme il le souhaiterait. »
Astaroth, je comprends que toutes les relations n’évoluent pas comme on le voudrait.
« Bien sûr que tu comprends. Cette explication très subtile que le charmant jeune homme et toi aviez eu prouve bien que tu comprends. Vous saviez tous deux ce qui aurait pu se passer, aucun de vous deux n’a de regret.
Vous aimez être amis. »
Oui.
« Ton oncle se dit qu’il vit ce qu’il y a à vivre et pour le reste, il fera ce qu’il doit. »
A son âge, il souhaite profiter de la vie alors si demain tout s’arrête, il fera autrement.
« Certaines choses sont compliquées. Le bien-être est compliqué. Pour beaucoup.
Tu te souviens de cette femme de 70 ans qui voulait retrouver l’amour ? »
Je me souviens d’elle, j’espère qu’elle l’a trouvé.
« Certaines choses sont compliquées. Vois-tu lesquelles ou faut-il que j’éclaire ta lanterne ? »
Éclaire-moi, tu sais bien que plus c’est près de moi, moins je vois.
« Beaucoup de choses peuvent séparer des amoureux ou amants potentiels. Beaucoup de murs sont érigés en silence dans vos inconscients.
La douleur, le désir de vengeance, la honte, pour ne citer que trois formes de briques.
L’incompréhension, l’égoïsme, la sexualité est un faux mur en revanche.
Mais peu importe.
De toute façon tout cela ne t’intéresse pas. Ce qui t’intéresse c’est ce qui te touche. Ce qui se passe autour de toi te touche.
Comprends juste ceci, personne ne peut rendre un tiers heureux, personne. Il faut le vouloir pour être heureux. Il faut vouloir vivre.
Nous voyons que tu veux vivre. Regarde juste devant toi et poursuis tranquillement ta route. »
Merci Astaroth.
Bonne journée à tous
Camille-Strawberry
13 janvier, 2018 à 0:27
Coucou Sylvie,
Oh my god, Astaroth, sors de ce corps ! Si tu voulais me parler, il fallait venir me voir directement LOL !
Je sors
Ton texte m’agace autant qu’il me rappelle ce que mes guides m’ont déjà dit plus d’une fois ! Ca m’énerve ! LOL
En attendant, j’ai trouvé des recettes de brioches, et de pain polaire (pain suédois) et ca tombe bien, j’ai une MAP. Je vais l’inaugurer bientôt
des bisous
alexandre
12 janvier, 2018 à 23:28
C autre chose désolé pour l oubli
alexandre
12 janvier, 2018 à 23:26
Bonsoir Sylvie,
J aime beaucoup la fin d’Eton article.Astaroth a malheureusement raison, personne ne peut faire notre bonheur ,il ne dépend que de nous même. Perso, je comprends personne d’humain, l amour d’un an animal c est autre car il est sans conditions et indéfectible. Mais je crois qu’il a raison quand il dit qu’il faut vouloir vivre. Après, c est a chacun de trouver sa raison de vivre. Je pense que lorsqu’on réalisé ces notions , nous devenons plus humbles et sages dans nos vies.Le bonheur est simple comme un bon repas ou virée a la plage… A nous d en être conscients bises
Passeuse
12 janvier, 2018 à 20:32
RE:moi aussi, je suis touchée par ton vécu Djayanna
50 bb sur 750 000, c’est beaucoup!
J’imagine bien ce que vous avez pu ressentir!
Mais les enfants sont merveilleux et une source de joie.
ILs ont tellement de choses à nous apprendre.
Pour en revenir à ta question » beaucoup de murs sont érigés ds vos subconscient »
Ce n’est pas facile mais on peut fracasser les murs.
IL faut chercher et connaitre la cause qui a permit que le mur s’érige puis il y a un travail à faire .
- pardonner et à celui ou celle qui est la cause du mur( vraiment),sans préjugés, ni haine, ni en vouloir..
_ se pardonner à soi
et enfin , envoyer de l’amour à votre mur( vraiment) idem
Ces 3 principes sont un tout et il faut les faire ds l’ordre.
ça fonctionne , en vraie.
C’est comme ça que j’ai compris d’où venait toutes mes phlébites à répétition.
( 11 opérations) et depuis ça va!
Mais plus le mur est haut et plus il est là depuis longtemps, plus c’est long.
Tout dépend de sa motivation!
Je te recommande 2 livres:TRansformez votre vie de Louise hay qui explique très simplement_ d’où viennent nos murs et comment les faire disparaître et hoponopono,une autre méthode.
Moi, j’ai préféré le bouquin de Louise.
Voilà bises
enfin, envoyer de l’amour à votre mur( vraiment) idem!
Djayanna
12 janvier, 2018 à 18:22
Bonjour Sylvie, bonjour à tous.
Moi aussi ça me touche beaucoup tout ça, et ton témoignage me ramène à mon propre vécu Passeuse… Mon fils est né à 7 mois et demi. Il était malade, chylotorax décelé à 6 mois de grossesse. L’année où il est né c’est 50 bébé sur 750 000 naissances. Beaucoup d’angoisse et de complications! Sa première intervention chirurgicale il l’a eu dans mon ventre à 7 mois de grossesse. Mais il voulait vivre, et son père et moi le voulions tellement aussi. J’avais demandé a ma famille de ne montrer aucun apitoiement lors des visites… Pas de: oh le pauvre et tout ça. Pas d’onde de tristesse ou quoi que ce soit! Tout le monde a fait des efforts. Il s’est battu, il a survécu. Aujourd’hui il a 4 ans et demi et il est en pleine forme!
Ce sont de bien jolies leçons de vie que nous donne souvent les tout petits.
Pour en revenir à ton post du jour, Sylvie, c’est compliqué quand même…
Beaucoup de murs sont érigés en silence dans vos inconscients.
Ces murs sont des obstacles, mais comment les démolir s’ils se cachent dans nos inconscients!!
Pour finir un gros merci à tout le monde ici!! C’est toujours un plaisir de tous vous lire, c’est enrichissant, instructif, touchant, sincère et ça aide vraiment beaucoup.
Et un gros big up à toi, Sylvie, qui fait que tout cela soit possible!
Bonne soirée
Bisous
Passeuse
12 janvier, 2018 à 14:35
Chère Ana live:
Maintenant, c’est moi qui pleure_ de joie devant un tel remerciement.
Je n’y suis pas habituée!
Je ne fais rien de spécial, je rends juste l’amour et la compréhension que j’ai reçu ici.
Tu sais, quand on est ds la Lumière, c’est une joie de pouvoir aider.
C’est aussi mon coté « enseignante ».
J’aime ça! et je suis heureuse si ma modeste participation peut aider.
Je remercie Sylvie aussi pour ses messages et ses guides.
bises affectueuses à vous tous
Anna Live
12 janvier, 2018 à 11:51
Chère Passeuse
Un magnétiseur m’a dit il y a peu que quand il travaille pour moi il voit un Bébé qui s’accroche dans le ventre de sa mère. Ça faisait sens dans mon histoire que je ne détaillerai mais ce que tu racontes aujourd’hui m’apporte un éclairage de compréhension vital ! Et les larmes qui ont coulé après de t’avoir lu sont salvatrices !
Je n’ai que le mot Merci pour t’exprimer ma gratitude et il me semble bien petit à côté de ce que ton généreux témoignage a ouvert. Il y avait un gouffre pour moi entre vouloir vivre et être heureuse Ton texte a posé une passerelle . …sans jeu de mots
Je t’embrasse sincèrement.
Anna
Emilie
12 janvier, 2018 à 10:23
Bonjour Sylvie,
On m’a transmis un beau message de ma mère qui nous a quitté depuis 8 ans. Elle disait qu’elle était heureuse et heureuse de la vie qu’elle avait eu même si elle avait été malade. Je crois qu’elle en a voulu toute sa vie à mon père bien qu’elle l’aimait . Elle n’aurait probablement jamais été aussi malade sans cette pierre dans son jardin. C’est effectivement compliqué. Je suis persuadée que ta maman ne veut que ton bonheur.
Anna Live
12 janvier, 2018 à 10:00
Bonjour Sylvie
Merci de ce message qui a ouvert au témoignage de Passeuse. Il me laissait un peu perplexe et coincée entre un sois heureuse/ soyons heureux qui me semble en effet la seule voie à prendre et le il faut vouloir vivre qui apparaissait a mes yeux comme une injonction quelque peu paradoxale. dur dexprimer ce noeud mais il semble que la « petite histoire » de Passeuse l’a délié.
Passeuse
12 janvier, 2018 à 9:14
Bonjour Sylvie:
» Il faut le vouloir pour être heureux_Il faut vouloir vivre_
Une petite histoire:Mon fils est né à 7 mois de grossesse,donc grand prématuré.
Couveuse et néonatologie_Bien sûr, je suis restée à l’hôpital.
Tout petit 1kg 200,branché partout.
Il n’est resté que 3 semaines ds la couveuse.15 jours où je tirais mon lait tous les jours.On le nourrissais avec une sonde qui allait ds sa bouche.
15 jours où je passais toute mes journées avec lui,à lui parler, lui dire qu’il fallait qu’il s’accroche, que je l’aimais.
Mon mari est reparti chez nous:ma fille avait 5 ans.Il n’y avait que son papa et moi qui pouvions le voir.
Et petit à petit , il a pris du poids et ses organes vitaux ont continué à se développer.
Et au bout de 10 jours, ma fille a pu venir voir son petit frère,a pu le tenir ds ses bras, et nous aussi.
On m’a dit » On va enlever la sonde et vous pouvez essayer de le nourrir au biberon.Mais au bout de 4 jours, il ne buvais toujours pas_trop petit, il ne sais pas .C’est embêtant par ce que s’il ne tête pas, il ne peut pas sortir.
Et ma fille trouve le temps longs sans sa maman.
Alors, je m’isole 1 jour,sans aller voir mon fils _ pour réfléchir.
Le lendemain, je reviens à la néonatologie et je parle à mon fils: je lui dit qu’il faut qu’il tête pour grandir,que son papa et sa soeur se languisse de lui, que toute la famille l’attend avec impatience . qu’on l ‘aime tous et qu’on voudrait l’emmener chez nous, ds sa maison.
A coté de lui, ds une autre couveuse , un bb, plus gros que mon fils se laisse mourir.Il est là depuis 1 mois et personne est venu le voir.
En désespoir de cause, les parents appellent la maman et ds l’ après_ midi, je vois une fille de 16 ans arriver.Elle et rester 1 heure avec son enfant mais cela n’a pas suffit.Vous comprenez.
Le lendemain, je reviens et les sage-femmes me disent » allez, on re essaie de faire t^ter votre fils et la, il a tout bu son petit biberon.
Et tous les jours , pendant 3 jours, il a bu son biberon et son poids a augmenté et le pédiatre , à la fin de la matinée a ausculté mon fils et nous a dit » que tout allait bien » .Et nous avons pu partir chez nous, avec notre fils.
Il devait encore rester 1 ou 2 jours pour surveiller mais nous avons signer une décharge et nous sommes partis.
Et ……..en 1 semaine, il a pris tout le poids d’un bb normal( 3kq).
Une infirmière de l’hôpital est venu le voir pour vérifier que tout aller bien et devant sa prise de poids m’a dit » d’habitude,nous suivons les bb grand prématuré pendant quelques temps mais là, je ne reviendrai pas,tout va bien, il n’en a pas besoin »
IL faut vouloir vivre, il faut vouloir être heureux.