Bonjour à tous,
« Cette semaine, on se promène à Trinité. », me dit Gabriel.
Oui, Trinité.
« Tu n’as pas de photos plus urbaines ? »
Je trouve aux immeubles modernes un charme très limité.
« Et ceux qui sont moins modernes ? »
Il faudrait que je prenne le temps. Et qu’il n’y ait pas de monde. Un dimanche…
« Du temps tu en as. »
Lol oui.
« Bon, tu es parvenue à comprendre que travailler plus n’est pas ce qui accroitra ta qualité de vie. »
Oui, j’ai entendu.
« Cette bonne copine te disait justement la même chose. »
Oui, effectivement…
« Ton frère fait ce qu’il faut pour mettre sur pied ce voyage dont il rêve. »
Oui, c’est ce que je vois lol !!!
« Que fais-tu pour acheter ton sac ? »
Comment ? J’ai réfléchi, je n’en veux pas.
« C’est vrai ? Même pas un des sacs Sylvie ? »
J’aime bien le rose. Ou celui avec les motifs. Mais non.
« Bon. Cette décision n’a rien à voir avec le fait qu’un de ces sacs coûte quasiment le même prix que tes boucles d’oreilles en diamant avant la très généreuse remise qui t’avait été consentie ? »
Une chance que j’aie pris la peine de discuter avec le vendeur ce jour-là. Comment je vais faire pour sortir de chez moi avec ce sac ? Et aller rencontrer des gens que je connais avec ce sac ?
Et même aller au travail avec car, moi je n’ai pas une garde-robe pour chaque évènement. Je porte ce que j’ai.
Comment tu veux que je sorte de la maison avec un sac Gucci pour aller rencontrer les personnes que je connais et qui me disent des choses comme, encore en voyage ? On reconnait les célibataires.
Là c’est bon, je n’aurai plus aucune copine.
« Et que pensent les hommes ? »
Que je dois être une petite amie qui coûte cher.
« D’une part et nous n’allons pas revenir dessus, oui, tu es quelqu’un qui mérite que l’on s’investisse, peu importe la manière.
D’autre part, tu n’as pas besoin de copine qui ont besoin que tu sois là quand elles sont mal mais qui ne se réjouissent pas avec toi. »
Le problème c’est qu’entre les enfants, la maison, la vie en fait, elles n’ont pas les moyens de s’offrir le sac Gucci. Alors qu’elles le voudraient.
« Tu as compris que le fond du problème ce n’est pas le sac. Ou le fait que tu changes de bijoux tous les jours. »
Parce que j’aime ça. Mais tous ne sont pas en diamant.
« Peu importe. Quand bien même certains sont en argent, ils sont différents tous les jours. »
J’entends.
« Reprenons. Le placard à bonbons. Que se passe-t-il quand le placard est vide ? »
Il faut aller au supermarché !
« Si ce n’est pas possible ? »
C’est la dèche ! C’est comme tombé en rade de chocolat un weekend !
« Eh bien, imagine que le rayon confiserie du supermarché soit vide pour une longue, longue durée…
C’est cela devoir faire semblant de ne pas remarquer ce qui pourrait te plaire parce que ce n’est pas dans tes moyens.
Plus de placard à bonbons. »
J’ai été dans cette situation, je n’ai pas jalousé mes copines.
« Ton initiation avait déjà commencé, nous étions là avec toi. Imagine la même chose sans rêve apaisant et éclairant, sans message, sans soutien céleste et terrestre.
Juste les rayonnages vides là où il devrait y avoir des bonbons. »
Je vois.
« Dans ce contexte, arrive une connaissance dégustant ton chocolat préféré, le sourire aux lèvres. Alors que toi, tu sais que les rayons vont rester vides un bon moment. »
Je vois.
« Sans le placard à bonbons, apparaissent les questions. Celles que vous connaissez mais auxquelles vous ne prêtez pas attention.
Arrêtons-nous sur l’une d’elles, quand ma vie va-t-elle enfin commencer ?
Arrêtons-nous sur celle-là. Affreuse question passée 20 ans n’est-ce pas ? Objectivement la vie a largement commencé.
Alors quelle frustration se cache ici ? Quand vais-je enfin avoir la vie dont je rêve ? Voilà la vraie question. Et voici ce qui se cache derrière, je suis en train de rater ma vie et de toute façon je la déteste.
Avec toi nous utilisons souvent des métaphores légères. D’une part pour que tu ne te fermes pas et d’autre part pour que cet enseignement reflète aussi ta personnalité.
Tu aimes le modèle Sylvie avec les broderies ? »
Plus que celui avec les papillons…
« Le bleu clair ? »
Bof. A choisir je prendrai le petit avec les broderies.
« Le noir avec les papillons ? »
Ils sont gros les papillons…
« Personne ne peut rester assis sereinement devant, je suis en train de rater ma vie, je la déteste. Alors vous nuancez. Vous avez fait de beaux enfants. Vous avez quelqu’un à vos côtés. Vous avez un travail intéressant ou qui vous permet de vivre confortablement.
Vous nuancez.
Tu n’as pas besoin d’un énième sac et tu le sais. Mais tu trouverais du sens à investir dans un sac de créateur qui s’appelle Sylvie. Tu aimes bien le bleu avec les fleurs. »
Oui.
« Tu ne cours pas après les objets luxueux mais après autre chose. Certains de tes lecteurs ont compris, d’autres pensent que tu n’as pas encore réalisé que ce qui compte réellement ce n’est pas ce que l’on possède.
Il est facile d’oublier que tu es passée par le chemin où la première chose que tu as dû apprendre est ? »
Ma valeur ne dépend pas de ce que j’ai.
« Et tu ne l’as jamais oublié. Quelle était la seconde leçon ? »
Tout ce que j’ai doit avoir de l’importance. 50 bijoux fantaisie qui ne représentent rien à mes yeux sont 50 objets gâchés qui auraient pu trouver sens aux yeux de quelqu’un d’autre.
50 bijoux de valeur qui ne représentent rien à mes yeux sont 50 objets gâchés qui auraient pu trouver sens aux yeux de quelqu’un d’autre.
Ce n’est pas une question d’argent.
Ce qui compte c’est la façon dont l’on désire se traiter soi-même. L’importance que l’on accorde à ce cadeau qu’est notre présente incarnation.
« Tu n’as pas besoin de copines qui sont contentes d’être entourées de personnes qui connaissent les mêmes problèmes qu’elles. Tu le comprends ? »
Je le comprends. Merci Gabriel.
Belle journée à vous 
Passeuse
22 janvier, 2018 à 21:25
re/Ana live et Carène
A force de vous lire ,j’ai eu envie d’en savoir plus et je suis allée sur le lien que tu as mis Carène.
J’ai calculé pour tout la famille et tout concorde.
Merci, les filles_ j’ai appris quelque chose ce soir!
Astrologiquement votre!BISES ASTRAL§
Anna Live
22 janvier, 2018 à 20:11
Bonsoir,
Merci beaucoup Carène !
J’ai eu beau cherché je n’avais pas trouvé grand chose. Ce site est clair et précis et il parle d’un enregistrement que je vais écouter… . Tu ne sais pas encore tout ou tu as oublié mais bientôt la formation pour réviser et approfondir ! Je te le souhaite si c’est ce que tu souhaites et ça promet du bon !
Voilà trois fois aujourd’hui (sans compter le coup de boost déclenché par le post de Sylvie ce jour), que je m’entends dire par Lucie d’abord, un magnétiseur ensuite et toi Carène par le biais de ce lien ce qui suit et que j’ai copié-collé sur le site que tu m’as envoyé :
« La vibration 4 doit apprendre à organiser les choses, à les structurer, à vivre sur terre. Après s’être découvert, avoir accueillis l’autre et avoir appris à communiquer, elle doit apprendre à organiser la vie terrestre. »
Comme Sylvie tu disais du 2 il y a quelques post (années ?) en arrière, moi en découvrant que j’étais 4 j’ai trouvé ça nul ! Je lisais : Méticuleux, organisé, carré…pfff..c’est pas moi ça et c’est rasoir ! …mais, maintenant à lire dans cette formulation, j’entrevois ce que ça me permettrait de réaliser et je vais m’astreindre avec plaisir à organiser ma vie terrestre. Ce que j’ai un peu commencé dans l’achat de ma maison mais dont je ne percevais pas bien le sens pour moi.
A 50 ans j’en suis à l’étape d’organiser ma vie terrestre…j’espère qu’il me reste un peu de temps sur Terre :/ C’est fou comme c’était long d’apprendre à vivre avec les autres…j’espère que je serai plus rapide à organiser ma vie terrestre…lolll
Pour le 22 tu m’étonnes ! Je comprends mieux ce bouillonnement de folies des grandeurs que je ne cesse de faire taire tout en trouvant fort injuste d’avoir de tels désirs que je ne peux accomplir. Mais dans le fond toute ma vie je me suis dit, si tu as ces désirs en tête c’est que tu dois avoir les moyens de les accomplir, la vie n’est pas si injuste.
« La vibration 22 a pour objectif de construire un projet divin, d’organiser les choses, des bases sur lesquels les personnes pourront s’appuyer pour avancer. La complexité va être de faire descendre dans la matière les structures divines et de les adapter à nos modes de fonctionnement. »
Bon j’ai jamais eu de projet divin…mais…à bien y réfléchir…lolll
@Lucie ? Tu aurais pas une vibration d’âme 4/22 par hasard ?
Bilan : Redescendre sur Terre et concrétiser ses rêves les plus fous dans et avec la matière !
Contente ce matin et toujours contente ce soir
Souffle (divin) de bises à tous
alexandre
22 janvier, 2018 à 13:01
Bonjour Sylvie,
Ah l argent et le sentiment d avoir rate son existence que peuvent avoir certaines personnes. Un vaste sujet …. Je pense que tout échec est une victoire mystérieuse et que l on ne peut pas tout développer et réussir dans la vie. L échec nous apprend non a nuancer mais a relativiser. Certes, on peut se dire avoir développé d autres richesses (_philosophiques,spirituelles) mais je crois que cela nous ramène a une question plus fondamentale: quel sens et quelle importance accordent on a nos existences? Pour finir, je dirais qu’il y a des milliers de chemins vers le bonheur.Perso,j admire énormément le peuple gitan car pour eux ,la personne la plus riche est celle qui a le moins de possessions et donc qui est la plus « libre ».Leur mode de vie proche de la nature m émerveille. Les plus grandes richesses que l on puissent trouver sont dans la nature non dans notre société. Bises
Carène
22 janvier, 2018 à 11:47
Bonjour,
@ Anna
J’ai trouvé ça pour ton 22 : http://www.annesophiepau.com/numerologie-quelles-question-vous-pose-la-vie/
Ca résonne bien par rapport à ce que tu dis dans ton com. Tes rêves de grandeurs s’expliquent !!
Aussi pour compléter tu peux regarder individuellement chaque nombre pour ton jour, ton mois et ton année. Ainsi cela te permet d’identifier les outils qui te sont données dans cette incarnation pour réaliser ton 22.
Je sais que l’année représente le plan physique. En revanche, le jour et le mois correspondent aux plans de l’âme et de l’esprit mais je ne sais plus dans quel sens. J’ai su mais je sais plus.
@ Sylvie
Actuellement, j’ai un placard à bonbons dans lequel j’ai des bonbons qui me donnent une indigestion. J’admets que les ptites fraise tagada que je vois dans ton placard me font envie mais cela ne m’empêche pas d’être heureuse de te voir t’en délecter tout en me demandant ce que je peux modifier dans ma vie pour mettre dans mon placard des nouveaux bonbons compatibles avec mon système digestif (pas forcément des fraises tagada !!). Le tâtonnement en ce sens s’avère fastidieux mais je suis tenace..
Bises
Emilie
22 janvier, 2018 à 11:23
coucou Sylvie,
Tiens voilà le retour du sac Gucci Sylvie et du « parce que je le vaut bien » !
J’aime bien les sacs Gucci et leur extravagance (qui va avec leur prix). Ils ont cet aspect décalé si séduisant qui les rendent un peu compliqué à porter. Depuis quelques mois je cherche un nouveau sac qui me plaise sans être extravagamment cher – je viens de comprendre que c’est un sac de couleur qui me plairait. Accepter sa propre extravagance et assumer son décalage, cela peut prendre du temps.
Les copines sont comme des miroirs qui renvoient une image de nous pas toujours fidèle. Je me suis faite une nouvelle copine que j’ai baptisé ma copine de malheur (on peut dire ça comme ça). Elle a éveillé mon intérêt car elle avait ce sourire paisible qui lui donnait l’air d’être ailleurs. Un jour son sourire s’est effacé et je lui ai parlé; je l’ai fait rire jusqu’à ce qu’elle retrouve son joli sourire. Ce ne sera jamais une amie proche mais ce que l’on a partagé a de la valeur pour elle et pour moi. Quand nous nous croisons, nous nous sourions franchement parce qu’elle aime comment je peux l’ecouter et que j’aime comment elle sait sourire. Avec les bonnes copines, on peut partager ce qui compte sans craindre la vision déformé d’un mauvais miroir.
Anna Live
22 janvier, 2018 à 10:18
Hey !
@ passeuse je t’ai très bien traduis dans ton vif ! Merci de cet encourageant témoignage
@Lucie. De tout coeur avec toi dans ce relevé de manchesu Tume permets d’ajouter ce point que je n’avais pas posé pour moi-même : faut bosser son rêve. ..concrètement.
Allez au boulot ! C’est chouette de savoir qu’en plus on a des acolytes qui font pareil de leur côté
Mille tendresses à tous
Passeuse
22 janvier, 2018 à 9:18
( pardon, pour les fautes et les oublies, je suis trop vives parfois!)
Je n’ai pas relu).
Passeuse
22 janvier, 2018 à 9:12
Bonjour Sylvie:
POur être clair, c’est clair et c’est parfait!
DEpuis toujours,je ne m’entoure que de personnes_non,pas forcément positives mais de celles qui ne sont ni aigris(‘e), ni jalouses, ni rabat_ joies.
C »est personnes là, je ne les supportent pas!
Pendant des années, j’ai travaillé, travaillé ,du lundi au samedi.
Cet argent servait au plaisir- sortie,vacances,refaire une pièce de la maison.
Au début, je travaillais le samedi, en plus, pour m’évader de la maison( mauvaise ambiance) puis financièrement , mon mari pensait que ça serai mieux.
MAis tu sais quoi, mais si j’aimais mon travail sauf la dernière année, j’ai fini par comprendre au bout de 4 ans que d’avoir plus d’argent ne me satisfaisait pas.
CErte,partir en vacances,faire une sortie était agréable mais après_ après tout redevenait pareil.
C’est à ce moment là que je me suis posée les bonnes questions et que j’en suis arrivée là où j’en suis.
J’en moins d’argent_ nous avons moins d’argent mais qu’est ce qu’on est plus heureux!
C’est le fait d’avoir compris- pour moi _ qui j’étais et ma réalisation matérielle qui crée tout ce bonheur.
Et mon mari a compris lui aussi que la valeur ne dépend de ce qu’il possède.
Et le »je mérite quelqu’un qui mérite que l’on s’investisse pour moi » je l’ai compris de puis longtemps mais mon mari ne l’a compris _ l’avais plus tôt oublié_ mais ça revient _ our mon plus grand bonheur.
C’est plutôt moi, qui avait oublié de m’investir pour moi: toutes ces années,j’ai était une bonne épouse, puis une bonne maman, puis j’ai voulu »sauver mon mari » et je me suis complètement oublié moi.Juste assez pour survivre!
Mais je me suis ré appropriée ma fonction de femme, depuis 2 ans et je ne m’oublie plus.Je me fais plaisir – sans gêne et sans remord.
Ma vie , elle est exactement comme je là rêve et ce n’est qu’un début.
J’ai mis du temps avant de comprendre et de savoir mais maintenant, je fonce, avec une délicieuse envie_ envie d’avoir envie.
Et je ne me mets pas de limite, peu importe le temps c’est un sentiment tellement merveilleux de faire ce que l’on a envie de faire.
Et le plus extra , c’est que mon mari commence à le comprendre, ma fille aussi et mon fils l’a compris.
Alors, allons AU BOUT DE NOS RËVES_ TOUJOURS.
mERCI Sylvie ET Gabriel( j’adore ce prénom).
Sylvie, j’adore le vert de ta photo.
Bonne journée
Lucie
22 janvier, 2018 à 9:12
Bonjour,
Merci à vous trois, Gabriel, Sylvie et toi Anna.
Il y a quelques mois, Sylvie, tu m’avais conseillé « d’apprendre à laisser les autres à gérer sans moi et à moins m’impliquer dans ce qui se passe autour de moi….. » J’avais lu et entendu la leçon. Mais je ne l’avais pas accepté en totalité.
Et surtout j’avais occulté la partie la plus importante apprendre à m’aimer,à vivre mes rêves et ne pas me cacher derrière l’aide que j’apporte à ma fille, ou l’accompagnement que je fais auprès de mon mari dans la cadre de sa maladie. C’est difficile de changer des années de « dépendance » dans l’aide aux autres.
J’ai reçu d’autres messages de temps en temps, mais il n’est a pas plus sourd que celle qui ne veut pas entendre….
Depuis quelques jours, les rappels se font plus rapprochés et de plus en plus clairs. Aujourd’hui, je démarre la semaine et vous en repassez une nouvelle couche. Ok! Ok! Ok! j’ai compris, je relève mes manches et je me mets au boulot.
Encore merci pour ces messages, bonne journée, bises
Anna Live
22 janvier, 2018 à 6:42
Bonjour Sylvie
Ah ça c’est sûr ! Le cercle d’amis changent quand nous modifions notre mode de vie et de pensée notre vie. Dans la mienne, plus de copines qui ne se réjouissent pas de ce que je vis et qui n’aiment pas leur propre vie et aiment s’en plaiindre plus que de la transformer. Bref, du partage, de la réciprocité ou rien.
Il reste un fond de : quand vais-je avoir la vie dont je reve ? Sans en être à nuancer ce que je vis pour ne pas réaliser que je ne la vis pas, j’aime ou j’en suis mais je me disais hier que je ne la rêve pas assez. Je ne m’autorise pas encore de grands reves que je pourrais réaliser souvent parce qu’ils demanderaient beaucoup d’argent ou trop fantasques.
Ton message me permet de voir la question autrement je peux rêver plus (et non travailler plus !) et atteindre ses reves dune facon ou d’une autre car
1- je suis (aussi) quelqu’un qui mérite que l’on s’investisse. Y en a tils qui ne le meritent pas ? Peut être dans le fond, j’ai souvent trop pensé qu’on est tous égaux…..dans/a la Source certes mais pas au supermarché lollll
Ce qui compte c’est comment on desire se traiter soi-même. Il est temps que je me traite encore mieux !
2- Ma valeur ne dépend pas de ce que j’ai ! Cette leçon est capitale ! Je l’avais apprise et bien retenue mais je ne l’ai pas bien employé en fonction de qui je suis. Du coup j’ai pas grand chose de valeur alors que j’aime ça ! Ça va changer ! Beaucoup de choses ont du sens pour moi que je ne peux faire ou m’ acheter car je les ai relégué à une vie de rêves qui ne peut être la mienne….pfffffff n’importe quoi ! Merci Sylvie. Et vis tes rêves ! Un rêve ça a toujours du sens pour soi même si on le comprend pas de suite et que personne d’autre que soi peu en comprendre la substance….il nous rapproche de qui on est vraiment
Je t’embrasse ! Ce message me fait contente. Il est doux et ferme Gabriel je l’aime bien . Merci à lui aussi