Bonjour à tous,
« Ne sois pas si contrariée, tu peux faire nettoyer ton appareil photo. », me dit Ariel.
C’est ce que je vais faire. Il y a une poussière sur le capteur !
« Tu l’amèneras dans la semaine. »
Oui !
« Tu as quand même fait de belles photos aujourd’hui. »
Oui mais il y a la poussière…
« Tu étais contente de la balade. Tu as visité un coin nouveau pour toi. C’est bien non ? »
Oui…
« Tu vas faire la randonnée de l’Anse Moustique aussi ? Ou tu veux faire la savane des Pétrifications ? »
Je voulais faire la savane mais au moins l’Anse Moustique c’est ombragé. J’ai pris un coup de chaleur en Guadeloupe sur le site de la Pointe des Châteaux.
« S’il fait beau tu feras l’Anse Moustique alors. Tu verras que tu prendras de belles photos, comme d’habitude. »
Je n’aurai pas le temps de faire enlever le grain de poussière avant.
« Ce ne sera pas grave. S’il est visible sur certains clichés, tu n’auras qu’à l’effacer avec la gomme de ton logiciel de retouche d’images. »
Il faut utiliser le tampon plutôt.
« Tu vois, tu sais comment arranger ce petit souci passager, n’est-ce pas ? »
Oui.
« Donc il n’y a pas de drame. Dans quelques jours ce sera réparé, en attendant, tu sais comment faire avec. Un grain de poussière n’est rien d’autre qu’un grain de poussière. Tes mains sont tellement plus grandes. »
Merci Ariel.
Bonne journée à tous 
Anna Liva
17 mai, 2018 à 20:42
@Carène
Je faisais un jeu de mots sur le mot « lien » pour te remercier sans savoir ce qu’il est et à quoi il tient. Sans chercher non plus. Ma précision est venue comme ta question sur mes ancêtres. Toi comme moi on a eu bien fait de se le dire. Ouf !
Creuse, creuse lolll
J’ai trouvé la belle légende des deux loups. Merci !
Dans l’état de paix et de sérénité dont je parlais tu as raison je le trouve et le maintient en incluant toutes les émotions et d’ailleurs en m’appliquant a ne pas les distinguer comme bonnes ou mauvaises. C’est d’ailleurs fou comme un sentiment négatif peut se transformer en quelque chose soit de tout à fait insignifiant soit d’extraordinaire. Puis se noie dans le calme.
Mais, je n’allais sûrement pas rejeter toutes les bonnes émotions et attentions que chacune m’avez apporté hier
Un délicieux mélange ajouté à ma pâte intérieure (comme dit Emilie) et lui donnait moins son aspect bouillie
La nuit fût bonne pour toi aussi. Tant mieux !
Bise !
crystallia
17 mai, 2018 à 11:58
Coucou,
Pour ma part j’évite encore soigneusement de relire certains articles. En fait, ceux d’avant 2014.
Mes guides me disent de prendre mon temps, que rien ne presse.
Je suis leur conseil ! Je les relirai si un jour j’en ai envie.
En plus un titre comme A l’encre de mes peines, j’ai essayé de le parcourir l’autre jour…
Pour moi quand j’écris ici, il y a une opération qui se fait à un autre niveau, pour moi.
Et la façon dont les articles me touchent est différente de la façon dont ils vous touchent.
Quand l’opération est passée, elle est passée pour moi.
Du coup revenir…
Bref.
Belle journée à vous.
Bise
Carène
17 mai, 2018 à 11:28
@Anna
J’entends ce que tu dis et suis d’accord avec l’idée que certaines chansons nous font ruminer nos peines.
Mais d’autres chansons éveillent le calme, la douceur, l’apaisement. C’est le cas en effet de celle-ci pour moi car je la reçois comme passeuse et toi. D’autant que Kinna évoque dedans, certes sa quête (telle que décrite dans l’article « A l’encre de nos peines. »), mais surtout sa résilience à travers une connexion au divin. C’est l’art de la sublimation comme tu dis, l’art de transformer le plomb en or.
Heureusement, maintenant j’arrive à vivre en conscience ce que je nourris à travers mes écoutes musicales. Pour moi, certaines voix sont guérisseuses. Et je me guéris aussi parfois en chantant en chœur avec le juke box.
De toutes façons, musique ou autre, il y a lieu, comme la légende des 2 loups le sous-tend (si tu connais pas, une recherche rapide sur internet te permettra de la trouver), de prêter attention à celui des 2 que l’on nourrit.
Au final, choisir la joie, la sérénité ou la douceur revient à nourrir plutôt le bon que le mauvais. J’imagine que l’on va se tourner vers l’une ou vers l’autre en fonction du besoin du moment.
Cela étant dit, dans cette volonté de nourrir à tout prix ce que l’on juge positif ou bon, il faut aussi faire attention à ne pas nier certaines émotions qui émergent et demandent simplement à être évacuées.
Au final, pour moi, la clé est de reconnaître l’émotion inconfortable puis s’en détacher pour l’observer sans jugement prendre le chemin de la sortie.
Une dernière confidence : ta précision n’était pas de trop…
Je ne vois pas bien à quoi cela est lié mais te remercie pour le reflet dans le miroir. J’y appose une petite étiquette : « A creuser !! »
Bises à toutes les 2
passeuse
17 mai, 2018 à 7:00
RE @ Carène
Je viens d’écouter ton lien et plus Et sa douceur Me touche profondément!
Une source d’eau pure!
Merci !
Belle et agréable journée à toi.